Mr HASSEN KACIMI « C’est la force de l’État algérien qui crée la panique au sein de certains cercles étrangers subversifs »

Comment les forces hostiles préparent l’affaiblissement et l’effondrement de l’État.
L’anomie sociale est une nouvelle stratégie subversive consistant à détruire l’identité des populations, sans repères, sans valeurs, prisonnières, comme des esclaves des nouveaux fléaux sociétaux, tels que la violence, la criminalité, les drogues et les psychotropes, favorisant le démantèlement de la cellule familiale, préparant l’installation du chaos et du désordre, qui sont les prémices d’un affaiblissement de l’État et de son effondrement.

C’est un processus qui s’installe dans la durée et qui a pour objectif de prendre possession du cerveau des populations pour les asservir, en détruisant leur identité.

Cette quantité industrielle de drogue et de psychotropes qui envahit l’Algérie fait partie de cette guerre hybride menée contre la population algérienne.

L’orchestre symphonique des harkis installé à Paris mobilise tous les moyens pour lancer des fake news annonçant, sous diverses formes, l’effondrement imminent de l’Algérie.
Sur les réseaux sociaux, les mêmes personnages véreux, spécialisés dans la propagande, sous commandement des services spéciaux français, ont mené tambour battant une campagne virulente, annonçant un effondrement des réserves de change algériennes à 40 milliards de dollars.

Cette information s’est avérée un pétard mouillé lorsque le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, lors d’un entretien avec la presse, a démenti cette fausse information, confirmant que les réserves de change de l’Algérie sont à 70 milliards de dollars.

Plusieurs campagnes de propagande, principalement de France et du Maroc, sont ainsi orchestrées pour démobiliser la population algérienne et créer un climat de doute et de suspicion.

Les institutions les plus sensibles de l’Algérie sont visées par la diffusion de viles informations, prenant la forme de la piraterie terroriste qui cible l’État, sa population et sa souveraineté.
L’Algérie sait pertinemment que les forces qui nous sont hostiles cherchent à recruter des leviers locaux, des sous-traitants inconnus, pour mener des actions subversives sur le territoire national.

C’est une menace réelle à prendre avec beaucoup de sérieux. Les espions sont invisibles, mais ils sont présents, même parmi les migrants qui ont été missionnés pour des missions de renseignement, de collecte d’information.

Les plus dangereux sont ceux qui évoluent dans l’anonymat comme des satellites de puissances étrangères hostiles à l’Algérie.

Le devoir civique est d’informer et de signaler tout fait ou acte suspect.

Le sens civique de la population sera mis à l’épreuve, lors de ces actions spéciales de services étrangers qui seront sans aucun doute neutralisées grâce à la vigilance, à la mobilisation, par le signalement aux autorités de tout acte suspect ou illicite.

C’est la force de l’État algérien qui crée la panique au sein de certains cercles étrangers subversifs.

L’État algérien frappera avec rigueur et avec force toute tentative de porter atteinte à notre sécurité et à notre stabilité, et à ce niveau, la tolérance est zéro.