La ligne qui sépare la traîtrise de la liberté d’expression est conjoncturelle. Ceux qui parmi nous prennent l’exemple de l’occident comme leader incontesté de la liberté d’expression doivent admettre aujourd’hui que la participation active de la grande majorité des pays occidentaux au génocide du siècle à Gaza a complètement anéantie ce mythe de la liberté d’expression à l’occidentale. Effectivement tout ceux qui ont publiquement et sur les reseaux sociaux pleuré les atrocités extrêmes commises contre le peuple palestinien l’ont payé au prix fort. Emprisonnement, harcèlement, intimidations et dans plusieurs cas menaces de mort. Les américains avec plusieurs pays européens ne se sont pas seulement contenté de complètement ignoré ce concept de liberté de la parole et de l’écrit, ils ont dans certains cas tourné le dos à leur propre constitution.
Chez nous, nous pouvons présumer qu’il existe un consensus national sur le fait que notre pays se retrouve aujourd’hui sur la ligne de mire d’un project de déstabilisation, division et éventuellement de destruction. Ceux d’entre nous qui il y a seulement quelques années refutaient l’existence même d’une menace extérieure et qui plus tard se sont partiellement ravisé pour la qualifier d’exagéree devraient en toute honnêteté admettre que ce projet démoniaque et machiavélique existe bien et qu’il est actuellement en cours de réalisation.
Dans ce cas de figure, la ligne qui sépare le droit à la parole et la traîtrise s’effrite totalement. Toute atteinte à l’intégrité territoriale du pays, toute critique visant l’état Algérien, ses forces de sécurité et ses forces armées, tout discours défaitiste, peuvent et doivent être considérés comme de la haute trahison.
Les traîtres de gouttière comme Bensedira, Zitout et compagnie et les mercenaires de la plume comme Sansal et Daoud avec quelques politiciens de sallon qui ne cachent plus leur allégeance à des mouvements et des idéologies extrémistes qui ont depuis leur création servis les intérêts de nos ennemis, deviennent une menace directe et existentielle à la nation et au peuple Algérien.
Le maître marionnettiste dans tout ce qui se passe à travers le monde et depuis quelques décennies maintenant est sans équivoque l’idéologie sioniste. C’est elle qui tire les ficelles des Finances et des politiques des super puissances de l’occident qui à leur tour lui servent de relais comme marionnettistes auxiliaires pour faire danser toutes les marionnettes qui parfois sont contraintes à la soumission mais qui souvent sont soucieuses de préserver un status quo et s’agenouillent volontairement.
Nous avons choisi la voie de la dignité contre l’humiliation, de l’honnêteté diplomatique et politique contre l’hypocrisie et du droit international contre la loi de la jungle. Un choix dicté par notre histoire et nos martyrs, c’est le bon choix.
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COMMENTAIRE tiré d’une page Facebook
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« Quand Paris Joue avec le Feu : Une Manœuvre Dangereuse contre l’Algérie
Si la France autorise un événement pareil sur son sol, et en plein Paris, alors il ne s’agit plus d’un simple geste isolé ou d’une initiative personnelle de Ferhat Mhenni. Dans ce cas, la responsabilité est entièrement française. Car un événement de cette nature , touchant directement à l’intégrité territoriale et à la stabilité d’un État souverain — ne peut ni être improvisé, ni toléré par hasard.
C’est une action planifiée, orchestrée et mise en œuvre avec la complicité, ou du moins la complaisance, des autorités françaises.
Et là, nous ne parlons plus d’expression politique interne, mais d’une manœuvre dangereuse visant l’Algérie. Cela constituerait un signal clair que certains cercles en France cherchent délibérément à créer des tensions, tester les lignes rouges algériennes, ou utiliser la question identitaire comme outil de pression géopolitique contre Alger.
Face à une telle provocation, l’Algérie ne peut pas rester passive.
Elle devra reconsidérer profondément la nature de ses relations avec la France, prendre une distance politique, et même , si la situation atteint ce degré de gravité , envisager la rupture des relations diplomatiques.
Un pays qui tolère sur son sol des actions menaçant l’unité d’un autre État souverain assume pleinement les conséquences de ce choix. »