Sidi Naïl

by Hope Jzr
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L’excellente étude de l’interprète militaire Arnaud sur les Ouled Naïl nous a été d’un grand secours pour fixer plusieurs points de la légende des saints Naïliens, que notre conteur avait laissés, soit par ignorance, soit pour toute autre cause, dans une obscurité enlevant une grande partie de son charme à la tradition.
Grâce au consciencieux travail du savant interprète, nous avons pu rétablir dans toute leur intégrité les faits miraculeux que notre raoui (narrateur) avait tronqués ou altérés.
Les terres de parcours des nombreuses tribus nomades désignées sous l’appellation collective d’Ouled Naïl sont comprises entre Biskra, Bou Saâda, les djebel (montagnes) Sendjas, Sebaâ Rous et Oukit, la limite de la province d’Oran jusqu’au djebel Serdoun, Djebel El Eumour, Laghouat, Oued El Djedi et Touggourt.
Mais ces limites sont loin d’être absolues, et le besoin de paître leurs troupeaux oblige les populations nomades de les dépasser, soit au nord, quand la sécheresse a rongé les fourrages du Sahara, soit au sud, quand les pluies y ont fait pousser l’herbe, née presque instantanément sous la fraîcheur d’une ondée bienfaisante.
C’est dans ces immenses espaces bossués de dunes que se meuvent les descendants de Sidi Naïl, l’un des saints les plus illustres de notre Sahara algérien, et le premier auteur de ces ravissantes créatures de Dieu qu’on appelle les Naïliat, lesquelles, de tout temps, ont joui du don funeste d’incendier, les cœurs des Croyants, voire même de ceux qui ne le sont pas.
Sidi Naïl était de noblesse religieuse ; il descendait en ligne directe de Moulay Idris El Kebir, celui qui jeta les premiers fondements du royaume de Fez, et qui était de la descendance d’Ali, le gendre du Prophète Mohammed ﷺ.
Sidi Naïl était donc chérif, et il pouvait prouver par sa chedjara (arbre généalogique) qu’il était noble à 22 degrés en remontant jusqu’au Prophète seulement, ce qui lui faisait déjà un nombre, de quartiers assez raisonnable ; mais, comme il lui était on ne peut plus facile de remonter la chaîne du tempe jusqu’au premier homme, -notre seigneur Adam-, on voit de suite à quel chiffre vertigineux de ces quartiers cela menacerait de nous conduire, si l’on remarque que Louis XVI, qui n’était qu’au 29e degré depuis Robert-le-Fort, en comptait pourtant 536 870 912.
D’après la tradition, Sidi Naïl serait né à Figuig, vers l’an 1365 de notre ère. Lors de l’expulsion des Maures de l’Espagne, il était gouverneur de la province de Sous (Province située sur la côte occidentale du Maroc), non loin de laquelle se trouvait la célèbre saoula de Saquiet El Hamra, foyer religieux d’où, -nous le savons-, s’élancèrent les marabouts missionnaires qui entreprirent d’introduire l’élément arabe chez les soupçonneux Berbères ou Kabyles qui habitaient les montagnes du Tell et les ksour du Sahara, et de réveiller la foi musulmane dans des contrées où elle n’avait jamais été bien assise.
C’est évidemment dans la fréquentation des saints marabouts du Sud marocain que Sidi Naïl puisa ces principes de piété qui, plus tard, lui valurent une réputation de sainteté dont il jouit surtout dans les dernières années de sa vie.
La tradition rapporte que Sidi Naïl était fort bien en cour, et que son souverain, le sultan Hassan, le tenait en haute estime et considération, et ce fut à ce point que de graves différends s’étant élevés entre Maroc et Tunis, et les deux sultans ayant résolu de s’en remettre au sort des armes pour vider leur querelle, Hassan fit choix de Sidi Naïl pour le seconder, en qualité de premier lieutenant, dans cette lointaine et aventureuse expédition.
Le sultan marocain envahit donc, à la tête d’une puissante armée, les possessions tunisiennes par le Sud ; mais il fut battu, et il périt dans la météo.
Sidi Naïl parvint à réunir quelques débris de l’armée du sultan de l’Ouest ; mais, craignant que le successeur de Hassan ne lui imputât un désastre dans lequel sa responsabilité était bien un peu engagée, Sidi Naïl, disons-nous, décidé à ne point rentrer au Maroc, résolut de se fixer à Bled Mendas (Relizane), dans les montagnes des Flitta, où il fut bientôt rejoint par sa famille et par sa nombreuse parenté.
La confédération flitta représente une fraction très particulière du monde arabe qui peuple l’Algérie. Elle s’en détache à la fois par ses caractères physiques et psychologiques.
Bien que de religion musulmane, les Flittas ont conservé des rites et coutumes empreints de paganisme.
Le pays flitta
Les douars -hameaux- flittas s’inscrivent dans la région de Zemmora, région située au Sud-Est d’Oran.
Un jour, Sidi Naïl eut l’imprudence de descendre dans la plaine, avec une partie de sa famille, pour traiter avec les Flitta d’un achat de blé dont il avait besoin pour la nourriture de la fraction qui s’était groupée autour de lui ; ais, enflammés spontanément par les charmes irrésistibles des filles de Naïl et de ses compagnons, ces grossiers Flittiens, qui, en fait de femmes, n’avaient jamais rien vu, même dans leurs rêves, de si séduisant et de si parfait, ne voulurent livrer leur blé qu’autant que les Naïliens leur laisseraient en échange quelques exemplaires de ces ravissantes houris.
Indigné de cette proposition, Sidi Naïl refusa de souscrire à ce honteux marché : des filles de chérifs à ces mangeurs de glands !…
Vraiment, ces Kabyles ne doutent de rien ! Sidi Naïl, disons-nous, leva son camp sans retard, ne voulant pas rester un instant de plus au milieu d’une population ai effrontément immorale.
En quittant le pays des Flitta, le chef des Ouled Naïl s’écriait avec une amertume qui attestait toute la profondeur de la pureté de ses tuteurs ; «L’immoralité et l’abjection des gens du Mendas ont atteint un tel développement que l’étendue de mon regard ne saurait en apercevoir les limites. Mieux vaut l’existence pénible du Bou Biadha, qui vit dans les sables, que Mendas et son blé.
En quittant le pays des Flitta, Sidi Naïl, accompagné de tout son monde, avait pris une direction Sud, qu’il suivit longtemps sans trouver un pays qui le satisfit complètement.
Pourtant, El Atba, près d’Aïn Er Rich, dans le sud de Bou Saâda, parut lui convenir et remplir les conditions cherchées. Il s’y fixa, du moins temporairement, sans trop demander le consentement des fractions qui s’y étaient installées, et qui, du reste, n’y avaient qu’un droit de priorité.
Cependant, quelques années plus tard, Sidi Naïl s’aperçut qu’El Atba n’était pas tout à fait encore le pays qu’il avait rêvé ; il remonta vers le nord, dans la direction de Sour El Ghozlan, et se mit à la recherche d’une contrée plus riche en herbages, en terres cultivables et en eaux.
Le Bou Biadha est un petit lézard qui vit dans les touffes de guethaf, plante du Battra qu’on rencontre plus particulièrement dans les terrains salants.
Lorsqu’un chef prenait possession d’un pâturage, il n’employait d’autre formalité que de faire aboyer sa meute. Le rayon sonore de cette proclamation traçait aussitôt celui d’un domaine interdit aux troupeaux d’alentour – Sédillot – Histoire des Arabes.
Point sur lequel nous avons bâti, en 1848, la ville d’Aumale
C’est en explorant la vallée de l’oued El Lahm que la mort le surprit sur l’oued Sbiceb, affluent de ce premier cours d’eau. Sa dépouille mortelle fut déposée sur le point même où il avait cessé de vivre, et la piété de ses descendants lui éleva une koubba sur son tombeau.
Pendant sa vie terrestre, Sidi Naïl eut beaucoup à souffrir de l’injustice et de la méchanceté des hommes ; aussi ne le leur a-t-il point pardonné, même au delà du tombeau.
En effet, il ne tolère autour de ses restes mortels que la dépouille de jeunes enfants, et pour cette raison qu’ils n’ont pu encore ni connaître le péché, ni persécuter leurs contemporains.
Et c’est tellement vrai que, chaque fois qu’on a tenté d’enterrer un homme fait près de la koubba de l’implacable ouali, la terre en a rejeté le cadavre, ou elle l’a englouti sans en laisser la moindre trace.
Sidi Naïl laissa quatre fils : Ahmed, Zekri, Yahya et Melik. À l’exception d’Ahmed, qui mourut sans postérité, les trois autres et leurs descendants devinrent la source des nombreuses tribus qui composent la grande fraction des Ouled Naïl.
Cependant, un accident conjugal arrivé à Sidi Naïl, -hélas ! les saints n’en sont pas exempts ! a fait élever quelques doutes sur l’authenticité de la descendance de l’illustre et pieux chérif.
Voici comment les choses se seraient passées :
Un jour, dans les dernières années de sa vie, il songea avec une certaine terreur que, lui, descendant du Prophète Mohammed ﷺ, n’avait point encore accompli le pèlerinage au tombeau de son illustre ancêtre, pèlerinage qui est d’obligation pour tout bon Musulman, car le Prophète Mohammed ﷺ a dit : «Accomplissez le pèlerinage à La Mecque et la visite des Lieux Saints.»
À son âge, il n’y avait plus à reculer, car la mort pouvait le surprendre d’un jour à l’autre. Il se décida donc à se mettre en route pour les Villes saintes et respectées. Avant d’entreprendre ce voyage, qui pouvait être fort long, Sidi Naïl confit a sa femme et ses enfants à Sidi Melik, qui était son ami et son confident.
Le saint homme partit ensuite tout à fait rassuré sur le sort de sa maison pendant son absence. Mais les jours succédaient aux jours, et les mois aux mois, et pourtant Sidi Naïl ne revenait point, ni ne donnait de ses nouvelles ; sa veuve, tout naturellement, se persuada que son saint époux avait rendu sou âme à Dieu ; ce fut aussi l’avis de Sidi Melik,
qui, -nous ne pouvons le dissimuler-, brûlait d’une flamme criminelle pour la femme de son ami.
Du reste, le bruit de la mort de Sidi Naïl courait depuis longtemps déjà dans le pays ; ou prétendait qu’il avait été apporté par un thaleb arrivé récemment d’Orient.
Sans se donner la peine de prendre des Informations plus précises, la belle Cheliha, pressée par Sidi Melik, à qui, dit la légende, elle avait donné déjà quelques preuves de son amour, consentit à devenir sa femme tout à fait. Mais, au bout de trois années d’absence, Sidi Naïl revint à l’improviste et sans s’être fait annoncer. En faisant le compte de ses enfants, le saint homme ne fut pas sans s’apercevoir qu’il en avait un de plus qu’à son départ, et que l’âge de cette créature, même en exagérant de beaucoup le temps qu’elle avait dû passer dans le sein de sa mère, ne lui permettait guère de s’en attribuer la paternité.
Après cela, il pouvait bien y avoir là un miracle : Dieu est si bon pour ses serviteurs ! Quoi qu’il en soit, Sidi Naïl, qui détestait le scandale, reprit sa femme sans faire la moindre allusion à cette augmentation de personnel, et il considéra comme sien l’enfant dont le ciel avait enrichi sa demeure.
Quant à Sidi Melik, il n’avait pas jugé à propos d’attendre les explications qu’aurait pu lui demander son ami sur la multiplication qui s’était opérée, pendant son absence, dans sa progéniture : il avait disparu, et jamais on ne sut ce qu’il était devenu.
Les intéressés dans cette affaire cherchèrent bien à démontrer que la belle Cheliha était avec le ventre au moment du départ de Sidi Naïl pour le pèlerinage aux villes saintes ; pourtant, la possibilité du séjour de l’enfant pendant près de deux ans et demi dans les entrailles de sa mère trouva quelques incrédules dans les tribus voisines.
Il est indubitable que le fait n’est pas commun ; mais, en résumé, disaient la femme et les enfants de Sidi Naïl, Dieu ne fait-il pas ce qu’il veut ? Quoi qu’il en soit, et dans la crainte de commettre une erreur d’attribution, on nomma l’enfant litigieux Melik Ben Naïl.
Aussi, quand les populations qui avoisinent les tribus de la descendance de ce dernier veulent les injurier, ne manquent-elles pas de les traiter dédaigneusement d’Ouled Melik, dénomination qu’ils ne supportent d’ailleurs que très difficilement.
Sidi Naïl avait vécu encore quelques années après son retour de Mekka. Sa réputation de sainteté s’était accrue considérablement par son long séjour à Beit ALLAH.
Il avait, en outre, visité l’Égypte et la Syrie, et il avait pu entrer en relations avec les plus savants théologiens et les plus remarquables jurisconsultes musulmans, dont il avait suivi les doctes leçons.
Aussi, sa science et sa profonde piété lui avaient-elles mérité le don des miracles. Dieu, qui l’avait comblé de ses faveurs, lui avait accordé, entre autres, une sorte de double vue qui sensibilisait à ses yeux les choses incorporelles et immatérielles ; ainsi, comme Sidi Ali El Khaouanas, dont parle l’illustre cheikh Ech Chaârani, il voyait dans l’eau de la piscine où des Croyants faisaient leurs ablutions avant la prière les fautes qui y tombaient, et qui leur étaient pardonnées.
«Je n’ai jamais rien rencontré de plus repoussant, répétait-il souvent, que ce qui venait des individus qui, avant leurs ablutions, s’étaient livrés à la pédérastie, ou qui avaient noirci l’honneur des autres, ou donné la mort à quelqu’un dont Dieu a ordonné de respecter la vie.» Sidi Naïl avait aussi la faculté de voir, sous une forme matérielle, les actes ou œuvres des hommes, et d’en reconnaître les auteurs lorsque ces actes ou œuvres montaient au ciel. Il lui était également donné de distinguer les actions mauvaises que commettaient les gens dans leurs demeures, et il disait au coupable : «Repens-toi
de telle ou telle action coupable.»
Et le pécheur, qui se sentait découvert jusqu’au fond de sa conscience, se repentait et faisait pénitence.
Enfin, Sidi Naïl lisait dans l’avenir comme dans un livre ouvert. Cela n’a rien qui doive nous surprendre, puisqu’il était en communication directe avec le Prophète Mohammed ﷺ.
Ainsi, il prédisait les accidents, les événements, les épidémies, les disettes, la mort d’un sultan, et jamais il ne se trompait dans ses prédictions.
Pour en donner un exemple :
Quelques jours après son retour à Aïn Er Rich, il rencontre un individu portant un suaire pour un cheikh d’une tribu voisine de ses campements, lequel était à l’article de la mort : «Remporte ce suaire, lui dit Sidi Naïl, le cheikh a encore sept mois à vivre.»
Et il en fut ainsi qu’il l’avait annoncé.
Comme à tous les saints qui jouissent du don de prescience, il lui était interdit de pénétrer, pour ce qui le concernait, dans les secrets de l’avenir.
Le Dieu unique avait vu, sans doute, des inconvénients dans la révélation à ses élus du sort qui les attendait. Peut-être eussent-ils cherché à modifier leur destinée, et, comme c’était écrit, ils eussent ainsi obligé les anges chargés de la comptabilité divine de faire des ratures ou des surcharges sur le Livre des Décrets éternels.
Nous devons dire que cette opinion nous est entièrement particulière, et qu’elle ne s’appuie que sur une sorte de logique humaine qui, probablement, n’a pas le moindre rapport avec celle d’en-haut.
Il est clair que tout le monde se sera fait la réflexion suivante : «Mais, puisque Sidi Naïl y voyait de si loin, pourquoi ne s’est-il pas aperçu de ce qui se passait chez lui pendant son absence ?»
Nous venons de répondre à cette question par notre hypothèse. Il nous serait facile d’en hasarder une autre tout aussi terrestre que la précédente, et de dire que, par cette raison que nous ne pouvons distinguer notre nez que d’une manière confuse et fort imparfaite, bien que cependant il soit bien près de notre œil, de même il se pourrait que, par analogie, ce fut à cette proximité de ce qui les touche personnellement qu’il conviendrait d’attribuer le manque de prescience et de pénétration qu’on remarque chez les saints relativement à ce qui les concerne particulièrement.
Mais «Ô Allahou Aâlamou» ;
– Dieu là-dessus en sait plus long que nous.
Sidi Naïl ne craignait ni le scorpion, ni la vipère cornue, bien que la morsure de cette dernière fût mortelle.
Souvent, ces animaux, qui sont si communs dans le Sahara, venaient se réchauffer dans ses burnous quand il était couché dans sa tente, et jamais ils ne lui faisaient aucun mal.
Quand un lui demandait comment il s’y prenait pour échapper à la piqûre ou à la morsure de ces espèces venimeuses, il répondait tout simplement : «C’est que j’ai la ferme croyance qu’un céraste ne mord personne si Dieu ne lui donne l’envie de le faire, et ne lui dit dans le langage de sa divine puissance : «Va près d’un tel, et mords-le à tel endroit du corps, afin qu’il devienne malade, ou qu’il perde la vue, ou qu’il meure.»
“La vipère ne va donc mordre qui que ce soit sans qu’il n’y ait volonté et permission de Dieu.”
Enfin, après avoir opéré de nombreux miracles, Sidi Naïl termina son existence terrestre dans la vallée de l’oued El Lahm, ainsi que nous l’avons dit plus haut, et sa dépouille mortelle fut, selon sa volonté suprême, déposée sur le lieu même où Dieu avait jugé convenable de marquer le terme de sa vie.
De nombreux pèlerins visitent, deux fois par an, le tombeau de Sidi Naïl, et ses descendants y affluent de tous les points des espaces immenses qu’ils se sont successivement attribués comme terrains de parcours.
Bien que les mœurs des filles des Ouled Naïl n’aient pas, généralement, la pureté du cristal, Sidi Naïl n’en est pas moins extrêmement bon pour elles, bon jusqu’à la faiblesse : car il est rare qu’il n’exauce pas leurs vœux, bien que, le plus souvent, ils aient pour mobile la satisfaction de leurs intérêts charnels.
Mais le saint a assez fait, à ses dépens, l’expérience de la fragilité de la vertu féminine pour ne point être disposé à pardonner et à oublier.
Aussi sa koubba est-elle extrêmement fréquentée par les femmes et les filles de ses descendants, lesquelles ont toujours quelque chose à demander au saint fondateur de la tribu.
Un certain nombre des descendants du saint ont jouit du don des miracles, et, chose bizarre, cette précieuse faculté s’est surtout continuée dans la descendance de Sidi Melik Ben Naïl, l’enfant que Cheliha donna a son saint époux avec la collaboration, -présumée-, de Sidi Melik.
Nous citerons, parmi ceux de ces saints qui sont arrivés à la célébrité, Sidi Salem Ben Sidi Melik, Sidi Abd Er Rahman Ben Salem, son fils, Sidi Mohamed Ben Abd Erahman, et Sidi Thameur Ben Mohamed.
La légende ne nous a conservé le souvenir que d’un seul miracle opéré par le dernier de ces saints marabouts.
Source : L’Algérie légendaire en pèlerinage ça et là – Aux tombeaux des principaux thaumaturge de l’islam – Tell et Sahara.
Par le colonel C. Trumelet – 1892.  https://www.facebook.com/tewfiq.mearou

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