*L’eau, les inondations et les incendies : le triptyque fléau
D’après mes connaissances, le gouvernement algérien a misé sur certains moyens et procédés afin de répondre, comme il le peut, à certains manques comme l’eau, et par des formes de sécurité contre les incendies et les inondations pour protéger la population.
Concernant l’eau, celle pour boire et pour l’agriculture, une campagne d’information gouvernementale avait été faite sur cette difficulté de pouvoir y répondre au quotidien.
Les nouvelles ne sont pas si bonnes ; malgré ce que fait l’état algérien en termes de diversité de production ou de récupération.
J’avais donné des pistes ; qui « n’existent pas » ou pas encore mise en place dans ce pays. Mes propositions, comme elles sont de type étatique, seul un chargé du gouvernement ou le gouvernement lui-même pourra donner une réponse sur le sujet.
Concernant les incendies, la réponse est en lien avec ce que je préconise pour l’eau.
J’attends toujours une réponse ; et surtout un vrai contact officiel pour développer cette idée qui devrait, à mon avis, aider le peuple algérien.
La chaîne Canal Algérie en a encore reparlé le 29 novembre et une émission a été faîte sur le sujet !
Pourquoi ça traîne ?
*L’économie en agriculture et industrie
Souvent, il m’arrive de lire et d’écouter ce qui est dis sur l’agriculture algérienne. Les volontés sont là. Les personnes du gouvernement s’attellent à développer d’urgence ce pan de l’économie ; mais surtout de survie alimentaire de la société algérienne. Je relève d’après les médias, comme « Canal Algérie » ou certains magazines télévisés de l’ENTV, des volontés de faire mieux et j’en suis content.
Toutefois, pour ma part, il me semble qu’il y a des erreurs de gestion et de priorités ; qui ne sont pas celles qui sont essentielles.
Même si, mes remarques peuvent ne pas compter ; du fait que je ne vis pas en Algérie ; les réponses qui seront formulées contre ce que je dirai, bien évidemment non constructives, ne me toucheront pas.
Pour en revenir directement au sujet de mon texte ; on nous présente des personnes, des agriculteurs, qui seraient en bonne voie pour produire mieux ; et qui auraient fait une belle saison ou mieux qu’avant. Ces personnes sont souvent des particuliers qui y croient ; et sont quelquefois membres de familles d’agriculteurs.
Pourtant, lorsque je les écoute, j’ai l’impression, qu’il y a une course économique utopique qui s’est placée dans leur tête ; et dès lors, je les entends exprimer des propos qui me semblent décalés de la réalité.
L’agriculteur interrogé sur sa réussite, se lâche et estime que si cela continue il ira jusqu’à exporter hors d’Algérie.
Est-ce du fait de la présence du micro et de la caméra des journalistes qu’il répond ainsi ? C’est possible.
Toujours-est-il que cela me fait sursauter ! Car, d’après ce qui est présenté en parallèle, c’est que sa localité n’est même pas contentée en aliment qu’il produit ; et il se voit exporter ailleurs. C’est à chaque fois la même réaction lorsque des agriculteurs marchent un peu au début.
Il me semble qu’il faudrait recadrer cela ; et faire en sorte que les producteurs sachent qu’ils doivent d’abord répondre, dans leur domaine et de manière pérenne, aux besoins de l’algérien ; et surtout que l’on arrête de leur mettre dans la tête des voies illusoires.
D’où les déceptions qui s’en suivent. Les effets d’annonce comme ceux-là sont nombreux en Algérie et nuisent aux espoirs de ceux qui se lancent dans ce domaine.
Beaucoup de terres ont été abandonnées ; faute de moyens divers et basique pour faire durer leur exploitation.
De même, ceux qui se lancent dans la production d’aliments exotique alors que leur pays manque de produit locaux et de base. Produits qui sont importés du coup. Quel décalage !
Je dirai, donc, aux entrepreneurs algériens :
« Quel que soit votre domaine de production et de réalisation, contentez-vous déjà de répondre aux besoins du peuple algérien, donc à ceux de l’Algérie ; et vous aurez répondu à votre mission : si vous l’avez accepté.
Personne ne vous demande l’impensable et l’extraordinaire : faite de votre mieux mais faite le bien et honnêtement. »
J’ai la même analyse sur un phénomène, très à la mode, pas qu’en Algérie : celui des start-ups et de ses incubateurs.
Pour vérifier ce qu’il en était, d’après leur passage dans les médias, j’avais essayé d’en contacter ; malheureusement, je n’ai obtenu, jusqu’à ce jour, aucune réponse. Je me suis inscrit pour aller jusqu’au bout de ma démarche. Rien !
Sans vouloir critiquer – car critiquer est facile – il y a un monde entre la réalité de ceux qui se lancent et celui de ceux qui arrivent à persister, sur le marché des minis entreprises.
Comment savoir la vérité ? Comment avoir un réel retour de ce qui est dans ce domaine entrepreneuriat économique ?
Certaines start-up algérienne ont été primées et ont été médiatisées ; mais les autres, plus nombreuses, où sont-elles ?
*Le logement et l’environnement
Le logement est devenu aussi vital que l’alimentation.
L’état algérien doit construire des logements de plus en plus vite ; et de plus en plus nombreux.
La géopolitique et géostratégie algérienne l’exigent !
Je ne développerai pas plus le pourquoi.
L’Algérie est un pays immense ; les excuses sur le manque de place ou d’espace ne devront jamais être invoqués.
De plus, il faudra construire pas très haut : 5 étages à mon avis. Pour les secours, ce sera plus facile.
Je ne développerai pas plus les autres motifs pratique et sécuritaire.
Il faut faire des villages d’ensemble de logements ; au milieu de verdures ; avec loisirs ; transports ; services institutionnels utiles et commerces de proximité.
J’insiste ! Il faut construire rapidement des centaines de millier de logement ; partout en Algérie ; et pas là où ça veut et où ce serait plus rentable financièrement : en particulier pour les spéculateurs immobilier.
Pour ma part, un algérien a le droit d’habiter dans la région et la commune qu’il veut !
Pas de sectarisme !
1 comment
De nouveau, un grand merci aux administrateurs de jazairhope pour avoir mis cet article.
Très jolie image qui va bien avec.