La technologie, l’informatique et la sécurité militaire

Cette partie se contente seulement de mettre en relief, l’importance pour une nation, de sortir du réseau informatique établi par des pays qui souhaitent tout contrôler.

Je donne quelques lignes sans trop développer.

Je pense que des pays ont déjà mis cela en place.

*Les réseaux, l’Internet : ces moyens existants sont-ils figés ?

Pour ma part, ce sera non !

Sauf pour ceux qui ne pensent et ne voient qu’à travers les systèmes actuels mis en place par ce que l’on qualifie de pays occidentaux ; ces derniers étant perçus comme ceux qui les auraient majoritairement imaginés.

Là aussi, je ne souhaite pas clarifier davantage ce sujet ; afin que, ce que je souhaite voir se développer, ne soit pas avorté par des prétendus penseur et expert qui seraient présents dans les institutions concernées par le monde de l’informatique et des réseaux.

Je souhaite tout de même émettre une piste possible.

On peut obtenir une forme d’isolement dans ce qui s’appelle les réseaux. Je citerai des intranets ou des « internets miniatures » en dehors de l’actuel Internet.

Cette possibilité réduira de manière conséquente ce qui est qualifié de cyberattaque : terme et domaine très à la mode ; et surtout très rentable pour ceux qui dénoncent la sécurité informatique ; tout en conservant un certain flou. Les conférences sur ce « fléau numérique » sont à la mode et maintiennent le néophyte ou le crédule à leur merci.

En effet ! En l’état actuel des choses ; cela concerne tous les domaines des institutions, des entreprises et de la société civile.

De même, si quelqu’un chargé de ce domaine au sein du gouvernement est intéressé par ce que je viens de suggérer, il sait quoi faire ?

*L’armée algérienne et ses missions

L’armée algérienne doit non seulement être soutenue par son peuple, tant qu’elle défend les valeurs du pays, mais aussi, et surtout, toujours en pointe au niveau matériel.

Investir dans son armée est une très bonne chose dans le contexte mondial qui nous entoure.

Tous les pays qui en ont les moyens investissent au niveau armement ! Le comble ? C’est que ce sont surtout, et en particulier, ceux qui possèdent des armes nucléaires. Pourquoi ?

Alors qu’ils avaient « rassuré » les autres nations ; prétextant qu’ils avaient ce qu’il fallait pour qu’on les laisse tranquilles ; ils se trouvent que ce sont eux qui sont les principaux responsables non seulement à la course à l’armement ; mais aussi, et surtout, aux agressions des autres états dépourvus d’arsenal nucléaire.

Je me fais alors les réflexions suivantes, sur la continuité, de ces pays nucléarisés, de vouloir encore investir dans les armes traditionnelles et mêmes chimique et bactériologique :

« Soit ils doutent de la capacité de ces fameuses armes nucléaire de destructions massive qui avaient montré un certain potentiel sur Nagasaki et Hiroshima ; soit elles ne sont pas aussi si menaçantes que ça ? »

Une remarque concernant la réelle capacité de destruction des armes nucléaire ; il a été avancé, qu’en fait, Nagasaki et Hiroshima étaient des villes dont les structures étaient en bois et en papier ; quel aurait été le résultat sur des structures en béton et acier ? A part l’effet de souffle et des radiations par la suite, qui ne doivent pas être négligeables, qu’en est-il réellement ?

En tous cas, cette envie d’avoir plus d’armement est inquiétant ; et en particulier de ces états nucléarisé ; et fait se poser des questions sur ce qui est vraiment « une suffisante capacité militaire d’un pays. »

Il est étrange que ces pays s’arrangent pour empêcher les autres états d’en faire autant ; et en particulier au niveau nucléaire.

En tous cas, les événements qui se déroulent prouvent qu’il ne faut pas se reposer uniquement sur un allié puissant ; mais aussi, et surtout, être soi-même une puissance militaire ; qu’importe l’avis des autres.

Du coup, pour ma part, l’état algérien doit s’armer du mieux qu’il peut ; et aussi former et entretenir son peuple à se défendre afin de protéger son pays. Sans fanatisme. Juste au cas où des états belliqueux, et aux aguets de la moindre faiblesse de l’Algérie, seraient dans l’optique de tenter un nouveau 1830.