Les récents débats autour de Boualem Sansal et de ses soutiens dévoilent un tableau accablant : une série de figures politiques et culturelles mêlées à des affaires judiciaires, des scandales financiers et des agendas géopolitiques troublants. Parmi les noms cités, le chef de la diplomatie française condamne bruyamment l’arrestation de Sansal, bien que la politique extérieure qu’il représente soit souvent critiquée pour son ingérence. Emmanuel Macron, dont le bras droit Alexis Kohler fait face à des accusations judiciaires, se montre également engagé dans cette défense.
Boualem Sansal est décrit comme un agent au service de la France, de l’entité et du Makhzen, aligné avec des intérêts étrangers. Mohamed Sifaoui, déjà controversé pour ses prises de position, s’ajoute à ce cercle. Laurent Wauquiez est accusé de mauvaise gestion des fonds publics, tandis que Rachida Dati fait l’objet d’une enquête pour détournement de fonds au Parlement européen dans le cadre du “Marocogate”. Nicolas Sarkozy, lui, reste empêtré dans une longue liste d’affaires judiciaires.
Sur le plan culturel, Kamel Daoud, condamné pour violences conjugales, et Tahar Ben Jelloun, accusé d’avoir exploité une employée domestique dans des conditions assimilées à de l’esclavage, viennent compléter cette “baie des cochons”. Ce réseau interconnecté met en lumière des intérêts croisés où la défense de Sansal semble servir des agendas bien éloignés de la défense des libertés.
Une Apparente Déconstruction du Patriotisme
En parallèle, un autre phénomène mérite attention : celui de certains Algériens vivant en Algérie qui défendent l’idée que Boualem Sansal serait avant tout un écrivain ou un romancier, tout en minimisant la portée de ses déclarations controversées. Parmi ces soutiens figurent quelques journalistes et acteurs médiatiques, dont certains sont connus pour leur alignement avec des positions favorables à des intérêts étrangers.
Par le Passé, on vu des cas ou certaines figures, ayant reçu des financements conséquents de la part de sources extérieures, notamment des institutions étrangères, et qui etaient connus pour alimenter des campagnes tres agressives visant à ternir et fragiliser l’image des institutions algériennes.
Ces positions, loin d’être neutres, soulèvent des questions : comment justifier un soutien à des discours et actions manifestement alignés sur des agendas extérieurs hostiles, tout en revendiquant une posture patriotique ?
Une Bataille d’Influences Sous Couvert de Liberté d’Expression
Pour certains opposants autoproclamés, la question se limite à un problème de liberté d’expression. Cette vision simpliste évite de confronter les réalités plus complexes des pressions impérialistes et des infiltrations géopolitiques. Boualem Sansal devient ainsi un outil, manipulé pour affaiblir l’image des institutions algériennes à l’international.
Ces soutiens, qu’ils soient issus des sphères politiques étrangères ou locales, participent à une stratégie concertée visant à redéfinir les narratifs sur l’Algérie. En faite Une vraie la “Baie des Cochons” contre l’Algerie a traver une alliance corrompue où chaque acteur joue un rôle précis dans un jeu d’influence bien orchestré.
Réveiller les Consciences
Il est temps de dépasser les slogans simplistes et de reconnaître les véritables enjeux. Les institutions algériennes, bien que perfectibles, font face à des attaques coordonnées. Ces campagnes, menées sous couvert de liberté d’expression et de droits humains, exigent une vigilance accrue.
La défense de l’intégrité nationale passe par la dénonciation de ces alliances opportunistes et par une prise de conscience collective face à une réalité où les mots et les figures publiques sont utilisés comme armes dans une guerre d’influence.
Hope&Chadia