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Candace Owens : France-Algérie, Macron sous Chantage Israelien?

by Hope Jzr
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Candace Owens et la remise en question des récits officiels

La commentatrice conservatrice américaine Candace Owens, connue pour son franc-parler, a récemment consacré un épisode de son podcast à dénoncer les « récits officiels » qu’elle juge trompeurs. Intitulé « So… The “Conspiracy Theorists” Were Right About JFK », ce podcast part du postulat que certaines théories du complot honnie par le passé s’avèrent fondées. Owens cite notamment l’assassinat de John F. Kennedy, suggérant que la vérité sur ce drame impliquerait des forces cachées que l’establishment refuse de dévoiler (Candace Owens Says Blackmail, Jeffrey Epstein Behind Close US-Israel Relationship – Algemeiner.com). Dans la même veine, elle évoque l’influence occulte de puissants lobbies et services de renseignement étrangers sur les décisions politiques américaines. Selon elle, des organisations comme l’AIPAC (principal lobby pro-israélien aux États-Unis) ou des figures troubles comme Jeffrey Epstein auraient servi d’outils de chantage pour contraindre des responsables américains à soutenir une certaine ligne politique (Candace Owens Says Blackmail, Jeffrey Epstein Behind Close US-Israel Relationship – Algemeiner.com) (Candace Owens Says Blackmail, Jeffrey Epstein Behind Close US-Israel Relationship – Algemeiner.com).

Owens va jusqu’à affirmer qu’il est « gaslightant » (trompeur) de présenter Israël comme un allié spécial désintéressé des États-Unis, soutenant au contraire que l’État hébreu pratiquerait un chantage systématique sur les élites occidentales (Candace Owens Says Blackmail, Jeffrey Epstein Behind Close US-Israel Relationship – Algemeiner.com). « Si vous enquêtez sur n’importe quel sujet sensible, Israël finit par apparaître », affirme-t-elle, mentionnant que l’ouverture des dossiers JFK ou Epstein est entravée pour ces raisons (Candace Owens Says Blackmail, Jeffrey Epstein Behind Close US-Israel Relationship – Algemeiner.com). Cette thèse, certes non étayée par des preuves tangibles, s’inscrit dans un climat de méfiance grandissante envers les versions officielles et de suspicion généralisée à l’égard des « États profonds » et autres influences clandestines dans la politique internationale.

Du rapprochement avec Alger au pivot pro-Rabat : l’exemple Emmanuel Macron

Candace Owens ne s’est pas limitée aux affaires américaines. Dans son podcast, elle a également pris pour exemple la France, suggérant que le président Emmanuel Macron aurait, lui aussi, subi des pressions occultes dans sa politique étrangère. Owens avance que M. Macron aurait été contraint de favoriser le Maroc au détriment de l’Algérie sous l’effet de manœuvres de chantage et de lobbying en sous-main – une situation qui illustrerait concrètement les mécanismes qu’elle dénonce. Pour mesurer la portée de cette allégation, il convient de retracer l’évolution de la politique française vis-à-vis de l’Algérie sous Emmanuel Macron, marquée d’abord par un effort de réconciliation, puis par un net refroidissement au profit de Rabat.

Réconciliation mémorielle et ouverture inédite envers l’Algérie

Au début de son mandat, Emmanuel Macron semblait déterminé à apaiser les blessures du passé colonial avec Alger. Dès la campagne de 2017, il avait qualifié la colonisation française en Algérie de « crime contre l’humanité », rompant avec le langage de ses prédécesseurs. Une fois élu, il multiplie les gestes mémoriels à l’égard de l’Algérie : il reconnaît la responsabilité de l’État français dans l’assassinat du militant Maurice Audin en 1957, facilite la restitution de crânes de résistants algériens du XIX^e siècle, et commande au historien Benjamin Stora un rapport pour promouvoir la réconciliation des mémoires. Comme le souligne un observateur, « depuis son accession à l’Élysée, le président français n’a cessé de donner des gages à Alger, notamment en matière mémorielle » ( Affaire Boualem Sansal : le silence de Macron face à Alger secoue le gouvernement ). Cette politique d’ouverture, bien accueillie par Alger, laissait espérer une ère nouvelle dans la relation franco-algérienne, longtemps minée par le contentieux historique.

Cependant, malgré ces bonnes intentions, des sujets de friction subsistent en sourdine. La question des visas en est un exemple : en 2021, face au refus perçu de l’Algérie de reprendre certains de ses ressortissants en situation irrégulière (sous le coup d’OQTF, obligation de quitter le territoire français), Paris décide unilatéralement de réduire de 50% l’octroi de visas aux Algériens (Visas Algérie – France : Darmanin pour la dénonciation de l’accord de 2013 sur les passeports diplomatiques) (Visas Algérie – France : Darmanin pour la dénonciation de l’accord de 2013 sur les passeports diplomatiques). Alger proteste vivement, y voyant une atteinte vexatoire à la liberté de circulation de ses citoyens. Malgré tout, jusqu’en 2022, Emmanuel Macron maintient le cap du dialogue : il effectue une visite officielle à Alger en août 2022 pour sceller un « partenariat renouvelé » et invite même son homologue Abdelmadjid Tebboune à Paris (une visite finalement sans cesse repoussée du fait des tensions ultérieures).

Revirement sur le Sahara occidental et crispation diplomatique

Un tournant majeur survient fin 2023 – début 2024. La France opère un revirement diplomatique sur le dossier sensible du Sahara occidental, territoire disputé entre le Maroc et les indépendantistes du Front Polisario , un dossier toujours sur la table de l’ONU. Longtemps, Paris avait soutenu prudemment le plan d’autonomie marocaine sans reconnaître formellement la souveraineté de Rabat sur le territoire. Or, en octobre 2024, Emmanuel Macron décide d’afficher clairement son appui à Rabat. Lors d’un discours devant le Parlement marocain, il déclare que pour la France « le Sahara occidental relève de la souveraineté marocaine » (France’s Macron wins Moroccan cheers on Western Sahara, football | Reuters), provoquant une ovation à Rabat – et la colère à peine voilée d’Alger. Cette prise de position explicite, qualifiée de « historique » par les Marocains, est perçée en Algérie comme un alignement de Paris sur les thèses marocaines concernant ce territoire qu’Alger considère comme occupé illégalement (France’s Macron wins Moroccan cheers on Western Sahara, football | Reuters).

Ce changement de cap français s’inscrit dans un contexte plus large de réalignement international en faveur du Maroc sur ce dossier (les États-Unis ayant reconnu la souveraineté marocaine fin 2020, suivis par Israël et l’Espagne en 2022). Paris, de son côté, aurait été motivé par des considérations pragmatiques : renouer avec Rabat pour sécuriser une coopération en matière migratoire et antiterroriste, et pour ne pas laisser filer des contrats économiques au profit de concurrents internationaux (France’s Macron wins Moroccan cheers on Western Sahara, football | Reuters). « En soutenant le Maroc sur le Sahara, la France espère s’attirer les bonnes grâces de Rabat sur les questions migratoires… et remporter de juteux contrats pour ses entreprises » analyse-t-on alors (France’s Macron wins Moroccan cheers on Western Sahara, football | Reuters). Emmanuel Macron prend soin de préciser que « cette position n’est hostile envers personne » (France’s Macron wins Moroccan cheers on Western Sahara, football | Reuters), sous-entendu pas envers l’Algérie – mais le mal est fait.

À Alger, la réaction est glaciale. Ce revirement français est vécu comme une trahison après les efforts de rapprochement précédents. Début octobre 2024, l’ambassadeur de France en poste à Alger n’est pas convié à une importante conférence historique, signe de désapprobation. Puis, la visite d’État du président Tebboune à Paris, un temps envisagée en mai 2023, est reportée sine die. La confiance entre les deux capitales se délite rapidement.

Montée des tensions bilatérales : affaires Sansal, « influenceurs » et accords de 1968

Les mois qui suivent voient une escalade des tensions franco-algériennes sans précédent sous la présidence Macron. Plusieurs incidents, sur fond de surenchère médiatique, vont envenimer la situation :

En l’espace de quelques mois, la relation franco-algérienne est passée d’une tentative de rapprochement historique à un véritable bras de fer. « Les tensions sont désormais incandescentes », résume un média français (Tensions entre la France et l’Algérie : Alger rejette “les ultimatums et les menaces” de Paris sur les accords de 1968 – ladepeche.fr). Ce contexte explosif sert de toile de fond à l’interprétation qu’en propose Candace Owens dans son podcast.

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France-Algérie : Chantage, lobbying et espionnage, des pressions occultes à l’œuvre ?

Pour Candace Owens, cette dégradation spectaculaire des relations entre Paris et Alger ne serait pas le simple fruit de malentendus diplomatiques ou de désaccords de fond. Elle y voit la main invisible de forces extérieures employant le chantage et l’influence pour orienter la politique française au profit du Maroc. En clair, Emmanuel Macron aurait cédé à des pressions occultes l’incitant à durcir le ton envers Alger et à se rapprocher de Rabat.

L’animatrice se serait appuier pour cela sur un élément troublant : l’affaire Pegasus. Révélée à l’été 2021, cette enquête a montré que le téléphone personnel d’Emmanuel Macron faisait partie des cibles potentielles du logiciel espion Pegasus utilisé par les services de renseignement… marocains (France’s Macron targeted in project Pegasus spyware case – Le Monde | Reuters) (France’s Macron targeted in project Pegasus spyware case – Le Monde | Reuters). Ce logiciel, développé par la société israélienne NSO Group, a permis d’infiltrer des smartphones de journalistes, d’opposants, mais aussi de hauts responsables à travers le monde. Le fait que le président français lui-même ait pu être espionné par un pays tiers – en l’occurrence le Maroc – a fait l’effet d’une bombe à Paris. Rabat a démenti « ces allégations infondées » (France’s Macron targeted in project Pegasus spyware case – Le Monde | Reuters), mais la France a pris l’affaire très au sérieux, convoquant notamment des réunions de crise en 2021 pour renforcer la sécurité de ses communications.

Selon Candace Owens, cette intrusion ne visait pas qu’à s’informer, elle aurait surtout donné au Maroc un levier de chantage sans précédent sur le chef de l’État français. Elle affirme ainsi que Rabat aurait fait chanter Emmanuel Macron à l’aide des données potentiellement collectées via Pegasus (faisant implicitement référence à d’éventuels secrets personnels ou d’État captés dans le téléphone du président) (Ladies and gentlemen, Candace Owens is dropping … – Instagram). Le Maroc, avec l’appui technique d’Israël qui fournit le spyware, aurait donc « forcé la main » de M. Macron pour qu’il infléchisse la politique française en sa faveur (Ladies and gentlemen, Candace Owens is dropping … – Instagram). Dans cette grille de lecture, le soutien de Paris sur le Sahara occidental ou la fermeté accrue envers Alger ne seraient pas tant des choix souverains que le résultat d’un chantage bien orchestré en coulisses.

Ce parallèle avec les méthodes évoquées aux États-Unis (chantage via l’affaire Epstein, pressions de l’AIPAC, etc.) est au cœur du propos d’Owens. Elle élargit le spectre en soutenant que les services israéliens seraient souvent impliqués, directement ou indirectement, dans ces opérations d’influence clandestine à travers le monde (Candace Owens Says Blackmail, Jeffrey Epstein Behind Close US-Israel Relationship – Algemeiner.com). D’après elle, même la récente diffusion de rumeurs complotistes sur la Première dame française (faussement présentée comme née homme par certains milieux extrémistes) relèverait de ce registre : Owens n’a pas hésité à relayer cette théorie farfelue en insinuant qu’Israël aurait une part d’ombre dans l’origine de cette désinformation (Candace Owens Says Blackmail, Jeffrey Epstein Behind Close US-Israel Relationship – Algemeiner.com). En filigrane, l’idée est que Tel-Aviv et ses alliés (dont le Maroc, partenaire d’Israël depuis les Accords d’Abraham de 2020) disposeraient de moyens de pression extraordinaires sur les dirigeants occidentaux, y compris européens.

Bien entendu, il convient de prendre ces affirmations avec prudence. Aucune preuve publique n’accrédite l’existence d’un chantage effectif sur Emmanuel Macron par le Maroc ou Israël. Si le piratage via Pegasus est avéré dans son intention, rien n’indique quelles données ont pu être collectées ni si celles-ci ont été utilisées pour infléchir l’Élysée. Du point de vue officiel, le rapprochement de Paris avec Rabat s’explique par des intérêts stratégiques assumés – coopération migratoire, partenariats économiques, realpolitik régionale – et non par une quelconque extorsion. De même, la détérioration des relations avec Alger peut se comprendre par la somme des différends concrets évoqués plus haut, sans qu’il soit besoin d’invoquer une conspiration internationale.

Il n’en demeure pas moins que l’histoire récente offre des cas troublants d’ingérence et de diplomatie de l’ombre. L’exploitation de failles personnelles pour faire pression sur des décideurs n’a rien d’impossible – l’affaire des écoutes de la NSA ou le chantage qu’exerçait le renseignement est-allemand (Stasi) en son temps en témoignent. Les révélations sur Pegasus ont, quant à elles, démontré la vulnérabilité des plus hauts responsables face à des outils d’espionnage sophistiqués (France’s Macron targeted in project Pegasus spyware case – Le Monde | Reuters). Dans l’esprit du grand public, ces éléments brouillent la frontière entre la paranoïa complotiste et la saine vigilance. « Complot ou pas, la question se pose : qui influence réellement nos dirigeants ? », semble nous dire Candace Owens.

En guise de conclusion : entre faits avérés et zones d’ombre

Le podcast de Candace Owens aura eu le mérite de braquer les projecteurs sur une série de faits et de coïncidences qui interrogent. Que des « complots » se révèlent parfois vrais – comme l’implication de la CIA dans certaines opérations clandestines hier niées – est une réalité historique. Pour autant, chaque affirmation mérite d’être examinée à l’aune des preuves disponibles. Dans le cas de la France et de l’Algérie, la chronologie des événements et des choix diplomatiques de 2021 à 2025 s’explique largement par des enjeux palpables et des décisions souveraines de part et d’autre. Mais l’hypothèse de pressions externes – qu’elles émanent de lobbies, de services étrangers ou d’accords secrets – continue de planer en arrière-plan, alimentant analyses et fantasmes.

En France, la crise avec Alger a atteint un niveau inédit, et beaucoup s’interrogent sur ce qui a poussé Emmanuel Macron à prendre un virage aussi abrupt en faveur du Maroc. Rabat a-t-il su jouer de ses atouts (renseignement, alliances, lobbying économique) pour gagner la faveur de Paris ? Alger paye-t-elle le prix de son intransigeance ou d’avoir contrarié certains intérêts ? Il est encore trop tôt pour trancher. Ce qui est certain, c’est que la méfiance s’est installée. À l’image de Candace Owens, une partie de l’opinion publique – en Occident comme au Maghreb – regarde désormais les relations internationales comme un théâtre d’ombres, où les explications officielles ne racontent qu’une partie de l’histoire.

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Sources : Candace Owens Podcast (DailyWire, 2025) – déclarations rapportées par The Algemeiner (Candace Owens Says Blackmail, Jeffrey Epstein Behind Close US-Israel Relationship – Algemeiner.com) (Candace Owens Says Blackmail, Jeffrey Epstein Behind Close US-Israel Relationship – Algemeiner.com); analyse des relations France-Algérie par La Dépêche du Midi (France-Algérie : influenceurs arrêtés, écrivain détenu… pourquoi les relations entre les deux pays sont-elles si tendues ? – ladepeche.fr) (France-Algérie : influenceurs arrêtés, écrivain détenu… pourquoi les relations entre les deux pays sont-elles si tendues ? – ladepeche.fr) et Le JDD ( Affaire Boualem Sansal : le silence de Macron face à Alger secoue le gouvernement ); dépêches Reuters sur Pegasus (France’s Macron targeted in project Pegasus spyware case – Le Monde | Reuters) et visite de Macron au Maroc (France’s Macron wins Moroccan cheers on Western Sahara, football | Reuters); réactions officielles d’Alger et de Paris via AFP/La Dépêche (Tensions entre la France et l’Algérie : Alger rejette “les ultimatums et les menaces” de Paris sur les accords de 1968 – ladepeche.fr) (Tensions entre la France et l’Algérie : Alger rejette “les ultimatums et les menaces” de Paris sur les accords de 1968 – ladepeche.fr).

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Hope&Chadia

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