Depuis des années, l’Algérie est au centre de multiples tentatives de déstabilisation. Les récents événements dévoilés dans un documentaire saisissant montrent à quel point la vigilance des services de sécurité algériens est essentielle. Ce film révèle l’histoire poignante d’un homme, Aïssaoui Mohamed Amine, un Algérien d’origine, piégé par un engrenage international de manipulations orchestrées par des acteurs occultes au service d’agendas hostiles. Cette histoire illustre la résilience et l’efficacité des services de sécurité algériens, les véritables “faucons” de la nation.
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De la radicalisation à la prise de conscience
L’histoire d’Amine commence en Europe, où il est attiré par des propagandes extrémistes en ligne. À travers les réseaux sociaux, il est contacté par un membre syrien d’une organisation terroriste. Progressivement, il est embrigadé, éveillant en lui une curiosité malsaine qui le conduit à intégrer un camp d’entraînement en Syrie. Son parcours le mène à travers la Syrie et l’Irak, où il participe à des opérations terroristes. Le rêve d’un idéal fallacieux se transforme en cauchemar.
Réalisant l’ampleur de la tromperie, Amine prend ses distances. Malheureusement, sa liberté ne dure pas longtemps. Capturé par les autorités turques, il est livré à la justice, mais son chemin prend une tournure inattendue avec l’intervention de la France. Sous couvert d’une association appelée “Artémis”, présentée comme une ONG de réinsertion des extrémistes, il est approché par des agents de renseignement français. Cette organisation, à première vue humanitaire, s’avère être une couverture parfaite pour des activités de renseignement clandestines.
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La manipulation française dévoilée
Artémis n’est pas une ONG comme les autres. Dirigée par des figures énigmatiques liées à des cercles du pouvoir français, dont Jean-Jules Boya, ancien conseiller du ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve, et Rachid Benzine, honoré par le roi du Maroc, cette entité dissimule des activités d’espionnage. L’objectif est clair : infiltrer les milieux algériens et recruter des agents d’influence.
Les “recruteurs” usent de promesses alléchantes. Pour Amine, il s’agit de “blanchir” son casier judiciaire et de lui offrir des opportunités professionnelles en Europe. Mais cette “générosité” a un prix : Amine doit infiltrer les réseaux sociaux algériens et rapporter des informations sur les imams, les militants et les individus influents. La mission se complique lorsqu’on lui demande de créer un groupe clandestin, prétendument armé, en Algérie. Les agents français, présents lors de ses entretiens, sont identifiés comme des cadres de la DGSE. Les lieux de rencontre se multiplient, notamment à Alger au square Emir Abdelkader et dans des résidences surveillées.
L’un de ces agents, présenté sous le pseudonyme d’”Ivan”, se révèle être Joseph Gabriel Gallardo, un fonctionnaire attaché à l’ambassade de France en Algérie. Sous couvert diplomatique, il orchestre des activités d’espionnage, confiant à Amine des missions précises, avec la promesse de rémunération par virement en bitcoins ou en espèces.
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La résistance des “faucons” algériens
Face à cette menace, Amine décide de coopérer avec les services de sécurité algériens. Sous la supervision des forces de sécurité, il joue le rôle d’agent double. Les réunions avec les agents français sont surveillées et filmées. Amine transmet des informations contrôlées par les services algériens pour nourrir la duperie.
Les services de renseignement algériens suivent chaque étape de l’opération avec précision. Ils enregistrent les échanges, identifient les agents français impliqués et accumulent des preuves tangibles. Finalement, ils décident de déjouer la conspiration et de dévoiler au grand jour les activités subversives menées sous couvert d’une association “humanitaire”.
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Une victoire d’éclat pour l’Algérie
Cette affaire révèle l’ampleur des conspirations internationales contre l’Algérie. Le complot français avait pour objectif de créer une cellule d’instabilité en Algérie, à travers la manipulation de citoyens algériens. Mais les “faucons” algériens, grâce à leur réactivité et à leur maîtrise des stratégies de contre-espionnage, ont déjoué cette tentative.
Ces révélations soulignent la nécessité pour les citoyens algériens de rester vigilants face aux tentatives de manipulation étrangères. La vigilance, la résistance et la cohésion nationale sont des remparts contre de telles menaces. L’opération à succès démontre également la compétence des services de renseignement algériens.
Pour suivre l’intégralité du documentaireen arabe, ou vous pouvez aussi mettre les sous titre en francais, rendez-vous sur la vidéo : [