Par Lyes B – 16 Mai 2021
C’est un grand pas de fait en matière de lutte contre la criminalité et la corruption, et en matière de stratégie de récupération des capitaux sortis illicitement vers l’étranger, qu’introduit le décret officiel annonçant la signature de convention d’extradition entre l’Algérie et la France.
Autant dire que l’étau se resserre sur les fugitifs qui ont participé à la ruine du pays, et qui se prélassent à l’ombre des refuges et des paradis fiscaux. Ceux qui croyaient être sortis d’affaire, et qui sont passés à travers les mailles du filet de la lutte contre l’argent sale, ne sont plus dans l’impunité qui leurs a permis d’accomplir leurs méfaits et de fuir.
A ce sujet la convention est on ne peut plus claire, elle stipule que «désireux de rendre plus efficace la coopération en matière de lutte contre la criminalité sous toutes ses formes par la conclusion d’une convention d’extradition (…) s’engagent à se livrer réciproquement, selon les règles et sous les conditions établies par la présente convention, les personnes poursuivies ou condamnées par leurs autorités judiciaires compétentes. Aux fins de la présente convention, donnent lieu à extradition, les infractions punies par les lois des parties d’une peine privative de liberté d’au moins une année ou d’une peine d’emprisonnement plus sévère».
C’est un grand pas de fait en matière de lutte contre la criminalité et la corruption, et en matière de stratégie de récupération des capitaux sortis illicitement vers l’étranger, qu’introduit le décret officiel annonçant la signature de convention d’extradition entre l’Algérie et la France.
Autant dire que l’étau se resserre sur les fugitifs qui ont participé à la ruine du pays, et qui se prélassent à l’ombre des refuges et des paradis fiscaux. Ceux qui croyaient être sortis d’affaire, et qui sont passés à travers les mailles du filet de la lutte contre l’argent sale, ne sont plus dans l’impunité qui leurs a permis d’accomplir leurs méfaits et de fuir.
A ce sujet la convention est on ne peut plus claire, elle stipule que «désireux de rendre plus efficace la coopération en matière de lutte contre la criminalité sous toutes ses formes par la conclusion d’une convention d’extradition (…) s’engagent à se livrer réciproquement, selon les règles et sous les conditions établies par la présente convention, les personnes poursuivies ou condamnées par leurs autorités judiciaires compétentes. Aux fins de la présente convention, donnent lieu à extradition, les infractions punies par les lois des parties d’une peine privative de liberté d’au moins une année ou d’une peine d’emprisonnement plus sévère».
algerie-eco.com