Sur le tarmac de l’aéroport de Hanoï, sous les flashs, Brigitte Macron lève la main sur le visage de son mari. Pas un geste d’affection. Pas une caresse. Une claque.
Le monde entier a vu.
Et tandis que l’Élysée s’empêtrait dans des démentis maladroits — parlant d’un “geste complice”, voire d’un montage — les réseaux, eux, avaient déjà tranché : la gifle est réelle, publique, et d’une violence symbolique redoutable.
Brigitte Macron repousse le visage de son mari, Emmanuel Macron, des deux mains, en public, face aux caméras du monde entier. L’incident, devenu viral, d’abord été qualifié de “moment complice” par l’Élysée… avant que le New York Post ne vienne enfoncer le clou avec une analyse glaçante en lecture labiale. Selon leurs sources, Brigitte aurait lancé à son mari : « Dégage, espèce de loser ! », en refusant de lui prendre le bras, avant de lui balancer un cinglant « Non », en réponse à un appel à “essayer encore”.
Le symbole est ravageur.
Le président d’une puissance nucléaire, ex-banquier d’affaires devenu VRP d’un pouvoir fatigué, se fait gifler, humilier, recadrer — non par un opposant, mais par son épouse.
Le tout en pleine tournée asiatique, alors que la France tente encore de faire croire au monde qu’elle pèse.
Mais la France ne s’est pas arrêtée là.
Dans la même semaine, le pays a encaissé ce que l’économiste Marc Touati appelle “quatre claques économiques” :
Alerte du FMI sur le dérapage incontrôlé des finances publiques, évoquant même un possible recours à la tutelle internationale.
Annonce de la Cour des comptes : la Sécurité sociale pourrait tomber en défaut de paiement d’ici 2027.
L’Italie dépasse la France en PIB par habitant — une humiliation économique sans précédent pour la “locomotive” de l’Europe.
Effondrement des indicateurs avancés : récession confirmée, confiance des ménages en chute libre, chômage attendu à 10 %.
Pendant ce temps, le président vend des tee-shirts, fait des selfies à l’international… et prend des gifles à la descente d’avion.
Mais souvenez-vous.
En janvier 2023, l’ancien ambassadeur de France en Algérie, Xavier Driencourt, affirmait doctement :
« L’Algérie est au bord de l’effondrement. Et dans sa chute, elle pourrait entraîner la France avec elle. »
Deux ans plus tard, c’est l’exact inverse qui se produit.
La France s’effondre — seule.
Sans le moindre coup de pouce de l’Algérie. Sans qu’Alger n’ait bougé un doigt.
L’Algérie, elle, fait ce qu’elle peut, parfois bien, parfois mal, mais toujours sans prétendre dicter au monde ses choix. Elle avance. Lentement, mais avec une cohérence que la France semble avoir perdue. La diversification économique se poursuit, les alliances se déplacent vers l’Afrique, la Russie, la Chine, et les BRICS s’ouvrent à sa diplomatie. Et surtout : aucune gifle, ni réelle, ni métaphorique, ne vient frapper son président en plein protocole.
La vérité est simple : la France n’a pas besoin de l’Algérie pour chuter.
Elle a ses propres élites, ses propres erreurs, et son propre aveuglement pour cela. Et quand le FMI, la Cour des comptes, et les chiffres eux-mêmes sonnent l’alarme… il n’y a plus besoin de complot. Il n’y a plus que le réel.
Alors à ceux qui croyaient que l’Algérie serait la pierre d’achoppement de la République française, il est temps de réviser vos classiques.
Parce que cette semaine, la claque qui résonne n’est pas algérienne, Elle est française, conjugale. économique et elle est mondiale.
P.S – La France bientôt sous administration du FMI ?
Dans son dernier podcast, Marc Touati lance une alerte d’une rare gravité : la trajectoire actuelle de la France — entre déficits incontrôlés, dette publique réelle frôlant les 7 500 milliards d’euros (une fois les engagements hors-bilan inclus), et une récession déjà amorcée — pourrait mener à une mise sous tutelle du FMI. Le déficit budgétaire structurel dépasse les 6 % du PIB, la Sécurité sociale menace de faire défaut dès 2027, et la confiance des ménages s’effondre. Le tout dans un climat d’impuissance politique et d’aveuglement institutionnel. Selon Touati, si des mesures de rigueur ne sont pas prises immédiatement, la France pourrait revivre un scénario à la grecque, avec perte de souveraineté budgétaire à la clé.
— Hope&ChaDia
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Rappelons cet article: “Allo! Driencourt? Est-ce l’Algérie qui «s’effondre» entraînant la France dans sa chute?”
https://jazairhope.org/fr/allo-driencourt-est-ce-lalgerie-qui-seffondre-entrainant-la-france-dans-sa-chute/