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La mondialisation, les criminels de guerre, le TPI et l’instrumentalisation des crimes contre l’humanité

by Hassen Kacimi
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Par Mr Hassen Kacimi

Tout au long de l’histoire des crimes de guerre, l’occident a  tout fait pour faire oublier ses massacres à grande échelle, commis contre des populations civiles. Les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité de l’occident sont infinis et imprescriptibles.

Le massacre occidental des populations civiles s’est poursuivi pendant deux siècles, dans la quête de dominer des territoires et de les voler.
Le comble de l’ironie, avec ce palmarès macabre, l’occident se permet le luxe d’adresser des questionnaires aux Etats, en vue de les évaluer sur le respect des droits de l’homme.

Le Club de Blidenberg, la trilaterale et le forum de Davos ont décidé de continuer à diriger le monde, par la force, par la subversion et par la guerre.
La démocratie occidentale n’est qu’une tromperie qui a fait croire, depuis fort longtemps, que c’est le peuple qui gouverne, en élisant ses gouvernants.

En France, le gouvernement qui a fait de la démocratie sa bible, empêche l’assemblée nationale de ce pays, de rejeter le projet de loi sur la retraite. C’est ce même gouvernement, qui passe son temps à donner des leçons sur la démocratie, qui a déclenché l’article 49 alinéa 3 de la constitution, pour empêcher le vote de l’assemblée, et passer en force, contre la majorité élue.

La perversion occidentale est allée trop loin, en investissant de manière cruelle, sur la deshumanisation de la société occidentale. Elle a fait  la promotion de la culture LGBT, transformant le vice et la debauche en valeurs qui ont détruit la famille.

Notre préoccupation n’est pas d’exprimer uniquement nos émotions et notre reprobation, après tant de forfaits, de crimes et d’atteinte à la dignité humaine. Notre principal souci est de dévoiler tous les mensonges et tous les crimes de l’occident.

La propagande médiatique vient au secours du bourreau, pour en faire un bienfaiteur et un défenseur des libertés.

Personne ne peut nier les crimes, des millions de morts, commis par les présidents Clinton, W Bush et Obama, dans des guerres d’expansion coloniales, que les médias occidentaux ont fait passer pour de hauts faits d’armes et un bienfait de la civilisation occidentale.

Dans le cas de l’Ukraine, ou dans les autres guerres,  plusieurs techniques ont été utilisées, à une vaste échelle, sur plusieurs angles d’attaque, dans le domaine de l’action psychologique et de l’instrumentalisation des  droits de l’homme, comme cela vient de se faire honteusement avec le TPI.

Les djihadistes, tantôt sont inscrits par l’occident sur les listes des terroristes, et tantôt, quand cela n’est plus utile, ils mutent en combattants de la liberté, comme des supplétifs de l’OTAN, pour empêcher la démocratie de s’installer dans les anciennes colonies.

En période de subversion ou de guerre, on fait des  montages ou des mises en scène, dans le but de faire  disparaitre les preuves du crime ou de fabriquer des preuves inexistantes, pour cacher la vérité.

La mise en scène, par la CIA, du fameux faux charnier de Tsimioara, en Roumanie, a permis de provoquer la chute et l’assassinat du président Roumain Ceausescu et sa femme Héléna, le 25 décembre 1989, un jour de Noël, criblés de balles, présentés en  trophée macabre, devant les caméras de télévision.

Cette scène odieuse nous rappelle l’exécution sommaire de Saddam Hussein, le jour de l’Aid, après une parodie de procès, par une junte militaire chiite, installée au pouvoir par les Américains. Par contre, Kadhafi a été lynché, jusqu’à la mort, par les milices de BHL et de Sarkozy qui devaient se débarrasser d’un témoin trop gênant qui a versé beaucoup d’argent, à des présidents occidentaux, pourris, encore en liberté.

Durant la guerre d’Iraq, l’armée Américaine a tué plus de deux millions de personnes et 500.000 enfants, dans le silence total des médias occidentaux et dans la complicité manifeste de la justice internationale.

Madeleine Albright, ancienne Secrétaire d’État des USA a été interpellée sur les crimes commis en Iraq, par l’armée Américaine. Elle a répondu, de manière glaciale  cynique et insolente que       ”Cette guerre était nécessaire”.

Voilà un avoeux cinglant, reconnaissant des crimes de guerre Américains, non jugés par le TPI, créé par le traité de Rome, signé le 17 juillet 1998.
Après de tels crimes de guerre, plusieurs officiels Américains, dont le président Donald Trump, ont clairement affirmé que cette guerre était une grande erreur de l’Amerique et qu’elle aurait pu être évitée.En Iraq et sur plusieurs autres champs de guerre, les Américains ont utilisé des bombes à phosphore et en uranium appauvri, ayant provoqué des carnages à grande échelle, même au sein de l’armée Américaine.

C’est pourquoi, nous invoquons l’imperieuse nécessité de révoquer la ratification des États qui sont membres de cette organisation frauduleuse.
Le TPI doit être dissout et il faut traduire ses membres en justice.

Sur les cinq membres permanents du Conseil de sécurité, trois ne sont pas parties à la Cour pénale internationale : la Russie, la Chine et les États-Unis qui savent très bien que les droits de l’homme sont une arme de guerre redoutable, manipulés à outrance dans les relations internationales.

Un autre dérapage vient d’être signalé. Le TPI a été recruté par l’OTAN pour faire la guerre à Poutine, en publiant, sur commande, un surprenant mandat d’arrêt international, contre ce dernier. Dans cet océan de crimes, commis par les occidentaux, le TPI semble absoudre l’occident par la bénédiction immanente du nouveau pape ” Biden”.

Quand une information circule en boucle sur les médias occidentaux, pour ne pas vous égarer, vous devez toujours vous dire que la vérité est ailleurs.

Une nouvelle étape vient d’être franchie dans la guerre d’Ukraine qui met fin à la propagande occidentale sur les armes Russes, présentées sur les plateaux de télévision sionistes comme de la quincaillerie et de la ferraille.

Poutine vient de prouver le contraire, en mettant en service, sur le front Ukrainien, de nouvelles armes redoutables qui mettent en échec les derniers systemes de défense aérien Américains.

Poutine n’a pas dévoilé toute sa stratégie, dans la guerre d’Ukraine. Pour le moment, la grande armée Russe n’est pas encore intervenue et cela se fera lors de l’assaut final, vers la capitale Kiev et toute la partie ouest.

Poutine est sur le point de  réaliser son deuxième objectif, à savoir s’installer aux frontières de la Pologne et de la Roumanie.

Discrètement, Américains et Européens poussent Zelinsky à se retirer rapidement de Bakhmout, encerclée et tenue en tenaille. La dernière voie d’approvisionnement de la ville est sur le point d’être fermée par les forces Russes de Wagner.

Les Américains ne veulent pas perdre la guerre d’Ukraine et pour cela ils mobilisent, activement,  les moyens d’une troisième guerre mondiale. C’est en Ukraine que les Americains  jouent leur leadership mondial.

En Ukraine, les dés sont joués, l’Amerique et l’OTAN ont été vaincus, mais ces derniers ne veulent pas le reconnaître. Les systèmes de défense anti aérien envoyés par l’Amérique à l’Ukraine, n’ont pas pu intercepter, ni identifier, les nouveaux missiles Russes hypersoniques Kynjal, à capacité nucléaire, provoquant aux Etats Unis, stupeur, desarroi et inquietude.

Du matériel Chinois de guerre, de dernière génération, d’une puissance égale ou supérieure aux armes de l’OTAN. risque d’arriver, à tout moment, à l’armée Russe. Le président Chinois reconduit à son poste après la dernière élection, doit s’envoler vers la Russie pour conclure un partenariat d’exception de coopération économique, à l’horizon 2030.

Tout le monde aura compris, que la guerre d’Ukraine et le dossier de Taiwan, seront le principal sujet sur lequel une feuille de route sera adoptées, pour contrer les menaces occidentales.

Le président Chinois sait parfaitement qu’une defaite Russe en Ukraine, c’est aussi une défaite Chinoise à Taiwan qui risque d’aller vers un référendum d’indépendance et qui fera de ce territoire une province Américaine.

Sur le dossier Ukrainien, les Chinois veulent revenir en force, pour se placer en  médiateur, mais l’occident se méfie de la Chine qu’il considère comme un ennemi potentiel et un grand allié de la Russie.

Les Américains ne sont pas chauds pour aller vers un processus de paix et ne veulent pas négocier en position de faiblesse. Ils pensent toujours qu’une guerre d’usure en Ukraine provoquerait l’effondrement de la Russie, comme en Afghanistan. Certains cercles aux Etats Unis poussent le président Américains à envoyer des f16 pour protéger l’ouest de l’Ukraine.

Poutine vient de répondre, violemment, à cette escalade, en mettant en marche son train nucléaire, devant rejoindre le front, pour déclencher le bouton rouge, sans attendre la contre offensive de l’OTAN. Dans le camp de l’OTAN, c’est la panique et l’Amerique sait maintenant que l’Ukraine sera divisée en deux, ou sera totalement intégrée à la Russie.

Les Américains doivent se rendre à l’évidence pour comprendre qu’ils ne pourront pas gagner la guerre d’Ukraine et qu’ils doivent revenir très vite à la raison, avant qu’il ne soit trop tard.
Le nouveau ministre Chinois des Affaires étrangères Qin Gang monte au créneau et avertit l’Amerique, leur faisant savoir que si il y’a un déraillement du conflit en mer de Chine, la confrontation avec l’Amerique serait inévitable.

La tension est à son paroxysme. Le directeur de la CIA William Burns, à la télévision CBS, a declaré que nous sommes convaincus que les dirigeants Chinois envisagent de fournir du matériel létal à la Russie.
Les Etats Majors, dans le monde, sont en alerte et ils scrutent le moindre incident, en mesure d’allumer la mèche de la troisième guerre mondiale.

Les Américains se préparent déjà à un deuxième front, en mer de Chine, plus redoutable. On relève des mouvements inquietants, portant sur le renforcement des  bases militaires Américaines, en Europe, en Asie, dans le Pacifique, en mer de Chine et en Afrique.

Les dernières manœuvres de l’Africom Flintlok au Ghana et au Cameroun, sont dirigées contre la Chine et la Russie.
La lutte contre le terrorisme en Afrique, invoquée officiellement par les Américains, n’est en réalité qu’un faux prétexte.

L’Algerie fait des manœuvres militaires et se prépare à tout  imprevu.

L’Union Africaine ne doit pas rester impassible, face à ces interventions militaires étrangères, sur le continent Africain.

La dernière visite de José Borrell à Alger a permis à ce dernier de faire passer son message, demandant à l’Algerie de s’impliquer dans le règlement du conflit Ukrainien, insoutenable pour l’Union Européenne,éjectée par effraction sur un volcan, prêt à exploser.

L’Algerie saura t’elle arrêter le bruit des canons, pour faire place à la médiation d’un pays pivot du mouvement des nons alignés ?

Pour Borel, l’Algerie est un pays sûr, sur lequel l’Europe peut compter, comme dans la crise du gaz où l’Algerie à sauvé l’Europe d’un effondrement economique  certain. Les Europeens doivent être plus attentifs aux  requêtes de l’Algerie pour aller rapidement vers une révision de l’accord d’association, conclu en 2002, inegalitaire et dolosif pour partie Algerienne.

L’Algerie a réussi à se faire valoir sur le plan international, comme un partenaire sûr, aux positions de principe constantes, marquées par un non alignement remarquable.

L’étau se resserre sur les Etats, de plus en plus affaiblis et menacés. Partout, on mobilise l’élite et les qualifications. Le temps des stagiaires et des profanes à des postes importants est banni. Le choix de l’élite et des meilleurs est une exigence de sécurité nationale, que personne ne doit enfreindre.

L’Algerie bouge et anticipe la construction d’un Etat fort et d’un directoire stratégique, devant nous mettre, cette fois ci, à l’abri des incertitudes, sur la bonne trajectoire du futur, avec la garantie de pouvoir faire face aux défis présents et à venir.

Biographie M. Hassen Kacimi :

  • Chef de bureau ministère des transports- 1978 -1980
  • Chargé de mission wilaya Tamanrasset, 1980 – 1984 .
  • 1984 – 1998 – directeur administration territoriale
  • Sous directeur de la circulation des personnes, ministere de l’intérieur , 1998- 2008.
  • Directeur ministère de l’intérieur, 2008 – premier trimestre 2020.
  • Président du comité interministériel , chargé de l’étude et du suivi des problématiques migratoires ( 2015 – premier trimestre 2020)
  • Gestion des crises au sein du centre opérationnel ( 2015 – premier trimestre 2020)
  • Représentation de l’Algérie , à l’étranger , en tant qu’expert.
  • Expert international des flux migratoires, reconnu par des organisations onusiennes. Expert du Sahel et de la gestion des crises .
  • Plusieurs communications, à l’université de sciences politiques et l’école des sciences politiques, ainsi qu’à  l’école de guerre de Tamentfoust et l’institut des études stratégiques globales ( INESG )
  • Distinction de l’institut fédéral allemand des hautes études de sécurité .

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