En janvier, l’Algérie a lancé 3 plateformes numériques destinées à améliorer les compétences des étudiants et enseignants, ainsi qu’à numériser les services universitaires. Dans le même sillage, 9 plateformes viennent d’être lancées.
Le ministre algérien de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Kamel Baddari (photo), a présidé, lundi 27 février, au lancement de 9 plateformes numériques destinées à améliorer les services dans le secteur de l’enseignement supérieur. Ces plateformes sont spécialisées dans divers domaines, à savoir : l’adéquation formation-emploi, la gestion de projets innovants, l’évaluation des chercheurs permanents, le cinéma de l’université, la candidature au poste de directeur, les œuvres universitaires, le suivi des biens, les étudiants étrangers, le réseau de communication et la lutte anti-plagiat.
Avant ces nouvelles plateformes, le ministre avait en début janvier lancé trois plateformes, respectivement pour l’enseignement de l’anglais, l’enregistrement des requêtes et doléances, et la signature électronique.
En tout, le gouvernement prévoit de lancer 42 plateformes adressées aux étudiants, aux enseignants et aux acteurs de la recherche scientifique en Algérie. Celles-ci seront toutes mises en ligne au plus tard au début de l’année prochaine. « Avant fin janvier prochain, toutes les plateformes numériques seront lancées », a assuré Kamel Baddari qui a par ailleurs précisé que « le dernier lundi de chaque mois verra le lancement de ces plateformes ».
Rappelons que ces plateformes sont lancées dans le cadre de la mise en œuvre du plan numérique principal du secteur de la recherche scientifique, qui s’étale de novembre 2022 jusqu’à décembre 2024. Son objectif est d’accompagner la formation des enseignants, la numérisation au service des offres de formation et la numérisation pour soutenir la réussite des étudiants, ainsi que la numérisation au service des activités de recherche.