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Comment le président de la république désamorce les crises et les pénuries.
L’année passée, en pareille période alors que le président de la république, M A Tebboune était à mi-chemin de son mandat, l’Algérie secouée par la révolution du sourire, donnait l’impression d’être un funérarium ou tous les espoirs étaient calcinées…Outre les incendies qui ont ravagé plusieurs régions du pays et la sécheresse qui a provoqué un stress hydrique sans précédent, l’Algérie était le théâtre de grèves répétées, de gestion désastreuse de la pandémie, de pénuries criminelles, de foyers de tensions qui laissaient présager le pire, de scandales de corruption au plus haut sommet de l’Etat….
Un été calme serein qui incite plutôt à l’espoir.
La tempête est passée, le volcan et les passions qu’il venait d’enflammer s’apaisent…Sans faire beaucoup de bruit, le président de la république éteint l’un après l’autre tous les foyers de tension en apportant des solutions a ces moments d’incertitudes que traverse le pays depuis la fin du 4 éme mandat du défunt président A Bouteflika. En dépit des “résistances criminelles” qui surgissent ici et là, l’Etat n’est plus ce lieu ou se téléscopent, se heurtent violemment plusieurs centres de décisions.
L’Etat ne fonctionne plus avec la protection des “saints’ et le sang des chouhadas, les opportunités gazières et pétrolières, l’alternance clanique et les dirigeants de quotas, les équilibres tribaux…
L’Algérie de Tebboune veut dépasser ce sentiment de déclin qui a envahi tout le peuple, s’armer d’un projet de société dont les sources viennent toutes de la Proclamation du 1 er Novembre 1954, construire ensemble, rassembler, cicatriser les vieilles querelles, réhabiliter le talent, le génie et l’aptitude et donner une meilleure place à la femme et à la jeunesse…
La rue l’a compris. Elle observe et attend d’autres gages…
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