Maintenant que la gauche française nous a installés confortablement sur les rails néolibéraux, qu’elle a bien huilés, pour nous faire glisser sans encombre et à Très Grande Vitesse (TGV) dans le wagon de la casse sociale, pour que notre voyage futur dans les montagnes « ruses » de la politique du système soit le plus généreux possible, il ne nous reste plus que l’humour à la Devos, borné par Elisabeth, pour agrémenter notre expédition d’enfer dessinée par le régime de « faim », notamment de nos retraites, dernier lien de solidarité intergénérationnel en France.
Par Boualem Snaoui
Nos anciens (et pas nos vieux) peuvent mourir tranquilles, même en dehors des maisons de retraites (EPAHD), puisqu’il n’y a plus de « Borne », comme c’est Elisabeth, dont le CV (Curriculum-Vitae) social, riche dans le système, consultable sur la toile d’araignée tissée autour des « gueux », qui vient d’être désignée première d’entre-eux, après Jean « casse-tête », à la place de notre leader Maximo, prétendant au second trône du « troisième tour déjà joué ». La nomination d’Elisabeth « Le borgne » est un joli clin d’œil pour Jérôme Rodrigues et pour les Gilets Jaunes, qualifiés de « stickers jaunes » par un chasseur de petits fours (Daoud 19) venu célébrer le renouvellement du bail du locataire de Amacrone (le grand écrivain Karim Amellal, qui n’est pas tout « blanc », son ministre délégué à la Méditerranée –UPM : union pour la méditerranée- pourra lui interpréter en langue MAKak).
Tu vois ou pas pourquoi est-ce que leur ancien islamiste est qualifié de « Célèbre écrivain » « sous presse » ? Sans doute pour le bon boulot qu’il réalise, et inoculé insidieusement par le régime, dans l’hommage rendu à Ahmed Benaïssa, cet homme de culture algérien, décédé à Cannes. Ce n’est pas de la politique, c’est de la culture politique sous-marine, pour les « moutons ». Leur monde « Borne » Elisabeth avec ses icônes, comme K. Daoud 19, le supporter de notre commandeur O’Macron, celui qui a écrit « Le mort palestinien sera un homme tué lorsqu’il ne sera pas un barbu mort ou un Arabe bombardé ».
C’est toujours le hasard (il fait bien les choses) qui voit notre catégorie politique « La gauche », atterrir logiquement et involontairement sur la piste du même guichet d’enregistrement des appels au vote néolibéral, en compagnie des partis « indigènes » algériens, des danseurs-animateurs de rue, des Play-mobil à la banane, pour poinçonner « au Lilas » le ticket gagnant du nouveau commandeur.
Il faut dire que la gauche en France a beaucoup d’expérience dans le domaine, puisque depuis la période Mitterrand à nos jours, et même avant de guillotiner Fernand Iveton, elle a réussi là où la droite a échoué, en offrant les bijoux du peuple au grand capital, en s’attaquant aux maigres acquis sociaux encore d’actualité, et en alimentant, au moyen du principe des vases communicants, l’extrême droite dans le pays, pour la porter aujourd’hui à 41,45 % des 35 millions de votants officiels (les 28% d’abstentionnistes et les 2,23 millions de bulletins blancs ne comptent pas dans le système). En gros, presqu’un citoyen sur deux que tu croises dans la rue, dans le train, dans le métro, dans le travail, sur la plage, sur les plateaux médiatiques, vote extrême-droite ! C’est un très beau score de méfiance entre les habitants, après celui de la peur qu’on a injecté au moyen d’une seringue tectonique aux couleurs politiques sataniques.
C’est le « nouveau peuple », c’est la « Renaissance » dont parle notre nouvel-ancien commandeur, qui a maintenant la bénédiction de tous les imams politiques de la gauche française et de leur paroisse, y compris en toute laïcité (puisque cela respecte totalement la neutralité des cultes vis-à-vis des politiques, et la loi du 9 décembre 1905 de séparation des religions et de l’Etat), de celle de l’imam cathodique de la Grande Mosquée de Paris, Chems-Eddine Hafiz : celui qui a signé une fatwa LICRA, le 19 mai 2021, pour lutter contre l’islamophobie dans le système, et qui ne nous a toujours pas tout dit sur l’organisation du voyage, en février 2014, par « le barreau de Paris qui montre l’exemple », à Jérusalem sous occupation israélienne, lorsqu’il était avocat-conseil de la Mosquée de Paris. Marine Li Peng, elle qui a la rage du faux-lard (ou du cochon ?) public, n’a vu que du feu dans cet appel laïc à la prière politiquement halal, à partir de la mosquée de Paris.
Les Musulmans sont-ils des moutons ?
Cela n’a pas échappé à Michel Edouard Leclerc, l’un des experts de la grande distribution, à qui on ne peut rien cacher en matière de consommation et de politique alimentaire en France et ailleurs (puisqu’il est même président du Comité Stratégique des magasins qui portent son nom) qui nous a gratifiés de ses compétences, sur la chaîne télévisuelle « Z News », concernant la crise de l’huile de tournesol dans le pays qui est liée aux musulmans durant la fête de l’Aïd, lesquels font « frire le mouton ».
Cliquez pour visionner la vidéo : https://www.dailymotion.com/video/x8aq4xw
Michel-Edouard « O’ Clerc », c’est avec ou sans toison, que les Musulmans font frire le mouton de l’Aïd après le ramadhan ? Heureusement que les Musulmans ne sont responsables que de la crise de l’huile, et pas des autres produits alimentaires, exposés par la journaliste sur l’écran de fumée de la télévision, sinon du imagines la Ola de la glisse politique.
Sur la même fabrique médiatique, Vincent Hervouët, ancien chef du service de LCI, et chroniqueur à Europe 1, pour qui l’information est le métier, nous explique que des moutons sont volés pendant le Ramadan par des Musulmans, dans les villages de France.
Cliquez pour visionner la vidéo : https://twitter.com/LoeilMedias1/status/1517823602191646720
Une autre fabrique d’informations –que du vrai- en continu, BFMTV, nous a expliqué dans un reportage que la pénurie d’huile de tournesol, en cette période de pré-3ème guerre mondiale nucléaire, est liée au Ramadan : « Cette pénurie s’explique dans un premier temps par l’arrivée du ramadan. Cette huile est très utilisée pour préparer les beignets traditionnels de rupture du jeûne. »
En mettant bout à bout les pensées, vendues sur les ondes d’informations de masse, de ces deux grands experts, cela donnerait : « la crise de l’huile en France est due aux musulmans qui volent les moutons pour les faire frire durant le mois de Ramadhan, et pour préparer les beignets traditionnels de rupture du jeûne ». Et avec ça, comment tu ne veux pas croire les médias « Akbar » (et pas la France Akbar) de l’imam expert Charles Roumi, qui s’apprête à diriger les prières de ses fidèles en direction de l’Elysée, la nouvelle Mecque politique ?
C’est Rachid le mécanicien, clown de Bouglione, élevé au rang du Che Guevara pour l’Algérie, qui paye les prunes ? Bouche d’égouts d’injures, d’insultes et d’insanités publiques, en direction du peuple algérien (qui déclare dans l’une de ses dernières vidéos que ce peuple le dégoûte), ce derviche politique a été actionné sans « Tabou », à l’instar du général de la cinquième colonne (lorsque les généraux du régime de Tel Aviv ont débarqué dans leur royaume), pour fabriquer un écran de fumée au moyen de la politique des charognards, sur le dos d’un pauvre citoyen, utilisé comme « un mouton », qu’ils ont jeté dans leur gueule de loup, voilant l’assassinat d’une étoile palestinienne, Shireen Abou Akleh, à qui le monde entier a rendu hommage.
Je croyais que Christophe Deloire et son RSF (Reporters avec beaucoup de Frontières) allaient organiser au moins un petit, un tout petit, même rikiki, rassemblement à Paris, devant l’ambassade du régime, à qui ils réclament une enquête (?), qui leur a déjà répondu : « Circulez, il n’y a rien à voir ! ». Là, ce n’est pas « terdit ».
Le régime, employeur des salariés postés dans et autour de l’Algérie, est allé jusqu’à attaquer le cortège et sa dépouille, en route vers sa dernière demeure, comme pour nous signifier que même les morts n’ont pas le droit au repos éternel. Ce qui est cocasse, c’est lorsque tu lis et que tu écoutes l’information « sous presse », qui te déroule le complot du mouton, où l’on déclare quasiment que c’est la belle Shireen Abou Akleh qui s’est jetée sur la balle qui lui défoncé le crâne, juste pour se voir défigurée et envoyée dans l’au-delà.
Christophe Deloire a su organiser le rassemblement pour K. Drareni, le détenu des opinions de RSF, devant l’ambassade d’Algérie en septembre 2020, en présence de Harry Roselmack, le grand journaliste devenu célèbre depuis novembre 2009, lorsqu’il s’est fait prendre à Marseille en train de faire sortir un mouton vivant dans le coffre d’une voiture, d’un des sites d’abattage médiatique des citoyens. En réalité la presse, qui a rapporté cet événement ovin inédit, n’a pas fait les bons calculs, puisqu’il y avait deux « moutons » convoqués pour cette mission politique, pour les besoins du système : si le premier était planqué dans le coffre de la voiture, le second « légume » Jamel, n’était même pas voilé, puisqu’il tournait le film d’information sans masque anti-Daoud 19. Dans cette opération d’Harry « Potter », c’est la réaction de Roselmack qui était géniale : « Je n’ai pas à me justifier de faire mon métier ». Il fallait juste nous le préciser (je veux parler de son métier).
Imagine un seul instant ce qui serait arrivé aux musulmans de France, si Chems- Eddine Hafiz, Maître des lieux « sains » de la Grande Mosquée de Paris, n’avait pas signé sa fatwa-LICRA pour lutter contre l’islamophobie en France : « Les musulmans ne pourront pas frire le mouton de l’Aïd (célébrant la fin du Ramadhan) volé aux éleveurs, et provoquer ainsi la crise de l’huile en France ».
Les Français sont-ils des moutons ?
Ils peuvent donc foncer avec énergie à bord de leur train fou libéral, et faucher le peuple des « sans dents » de F. Hollande, le précédent locataire de l’Elysée, ennemi de la Finance, comme il l’avait proclamé avant d’occuper le château en 2012. Le capitaine de pédalo, ce lion ascendant-mollusque, est allé se confesser juste avant de quitter le palais et se faire ainsi pardonner par les prêtres du grand Capital, en livrant la classe ouvrière à l’élite financière, grâce à la « loi Travail » appelée Loi El Khomri (encore du bon boulot) – loi n°2016-1088 du 8 août 2016 -, adoptée démocratiquement avec dynamisme le 21 juillet 2016, sous le gouvernement « Valls avec les loups », grâce au déclenchement de la procédure prévue par l’article 49 alinéa 3 de la Constitution (également appelé « 49.3 »). Bruno « Le Merle », le trésorier de France au service du peuple bien sur, n’exclut pas d’user de ce même article démocratique pour confisquer nos vies et les mettre à disposition du système et des argentiers, jusqu’à l’âge de 65 ans, avec un argument fatal : « nous vivons trop longtemps ».
Ils sont jaloux de voir les gueux exister un peu après une longue vie de labeur ?
Même le « Valls avec les loups » est de retour, après avoir passé ses vacances à construire des châteaux de sable mouvant à la Prévert politique en Espagne, pays qui a troqué en gros le peuple Sahraoui pour le royaume enchanté d’Israël. C’est ça la vraie démocratie, celle du Poker menteur, où l’on joue « peuple sur table » entre puissants avec des cartes coloniales à peine voilées, pour compléter la collection des trois as du FMI (France-Maroc-Israël) et accéder ainsi à un « sportmidable » carré d’as avec l’Espagne coloniale. Si tu n’es pas d’accord avec ce troc des peuples entre les puissants, alors on t’arrose d’une meute d’experts démocratiques et surtout révolutionnaire à la banane, « Made in face-de-bouc », joliment lissée même sous les aisselles odorantes, à qui on a vissé des slogans de marque déposée toutes coloniales.
Tu vois que, pour eux, les peuples sont justes des cartes de jeux du Poker menteur des « saigneurs », pour le grand bien de l’Oncle Sam qui va consacrer, pour la démocratie et la liberté dans le monde, plus de 800 milliards de dollars rien qu’en dépenses (Général) militaires pour l’année 2023, sans compter les bobines de billets verts printaniers consacrés aux guerres de 4ème génération par la NED (National Endowment for Democracy), l’Agence pour le développement international des États-Unis (USAID) et son Bureau des initiatives de transition (OTI), l’Open Society Institute de Georges Soros, et les autres multinationales « humanitaires » d’exportation des droits de l’Homme, faussement appelées ONG (Organisation Non Gouvernemental), qui chassent les peuples de leur terre, au moment même où presque 1 milliard d’humains sont sous-alimentés, et 25 000 d’entre nous (dont plus de 10 000 enfants) meurent chaque jour de la faim et des causes associées.
Revenons à nos moutons, pour ne pas perdre le fil brun de la toile tissée autour de nous, et pour « conter » le complot dont a été victime même Begag, « le gag », ancien ministre dans le système de la promotion de « sa chance ratée », un grand révolutionnaire, rappelé par le régime pour une mission printanière en Algérie, avec un « mouton dans sa baignoire ». Il ne nous a pas précisé, compte tenu du théorème de l’information de Vincent Hervouët, chef du service de LCI, s’il a enlevé ou pas son mouton dans un village de France, pendant le mois de Ramadhan, pour le faire frire, si l’on en croit Michel Edouard Leclerc, l’expert de la grande distribution en France.
Même si c’est déjà fait (puisque je l’avais déjà évoqué dans la série de la « Zème guerre d’Algérie »), ce double « Z » qui n’est pas « l’Arabe qui cache la forêt », a même décoré son récit du « complot du mouton » d’une photo avec un grand sourire (pas kabyle), comme pour nous exposer joyeusement le vocabulaire politique déployé par le régime employeur à son égard : « Tu es un connard ! Un déloyal, un salaud ! Je vais te casser la gueule ! Tu te fous de mon nom… Azouz Sarkozy ! Je vais te montrer, moi, Azouz Sarkozy… ». C’est ainsi que notre « Begag » fait « Fissa ! » de Brice Hortefire, un Hirak culinaire avec un beau jeu de mots : « One, Two, Free – Viva l’Algérie » à la banane, dans son dernier chef-d’œuvre révolutionnaire, de la liberté de lapider le peuple pris pour des animaux, « les Fennecs », que les Algériens appellent « Les VERTS », puisque lui a été ministre chez les « Bleus ».
Ce que nous pouvons relever, sans nous « Trumper », c’est que les « Z’islamistes » démocrates en France (occupant la « Zone interdite » pour la chaîne de formation M6, et de leur ami le roi Mimi 6, classés terroristes en Algérie, fidèles alliés de la gauche des « Qui-tu-quistes »), n’ont rien à dire sur le « complot du mouton ». Ils sont trop occupés à se partager les gains et les bobines de billets de banque récoltés sur le dos des « moutons », comme l’a révélé publiquement le bidasse-félon Mohamed Benhalima, et à produire peut-être d’autres faux passeports voilés, après celui confectionné par « le régime » pour faire voyager ce dernier pigeon-voyageur sur le tapis d’Aladin. D’ailleurs, l’un de ces prêcheurs de haine humaine, Joe Dalton (le boulanger de Londres, une créature des laboratoires sataniques de l’humanité), a remis le couvert puisqu’il a promis de rejouer le film d’horreur contre le peuple algérien « des têtes vont tomber » dans « Assassin’S Creed Unity ». Merci qui ?
C’est dans cet environnement fort progressiste, qui a donc échappé aux « Z’islamistes », qu’Eric Piolle, le maire de Grenoble, a créé le buzz pour parler encore des musulmanes, ces femmes qu’il veut habiller en scaphandre maritime pour explorer les fonds dans ses piscines les acquis sociaux coulés par le système. Il sait que le régime ne lui permettra jamais de voter un arrêté pour préserver nos retraites, que le système annonce vouloir couler, alors il a mis les voiles pour prendre en otage, dans ses filets politiques, la sirène musulmane, en recyclant les vieux clichés.
Il ne faut pas être « pressé », car pour être complet, bientôt le système va délibérer pour permettre aux Z’ommes de la politique du Kamis, de se « beignets » en Vincent Hervouët, chef du service de formation de LCI, dans l’huile de friture pour moutons de l’Aïd de Michel Edouard Leclerc et de Z-News. Une bonne pêche pour les bateaux de Marine Li Peng et d’Eric Zorro, qui vont pouvoir naviguer dans les embarcations politiques, à quai dans la piscine d’Eric Piolle, pour le plus grand bonheur des Z’islamistes-démocrates de l’équipe des coiffeurs halal de Rachad.
Les sirènes musulmanes vont être frites, comme des moutons de l’Aïd et les « beignets » en Kamis du Ramadhan, pour provoquer la crise de l’huile en France. Ce n’est pas de la poudre de perlimpinpin mais de l’islamophilie, comme tend à nous l’expliquer « Le Vaillant » Luc, à travers le joli portrait de Djemila Benhabib, qu’il a dressé dans le journal « Libération », le mercredi 4 mai 2022 : « … elle bataille contre le terme « islamophobie » ».
Peut-on conclure que Djemila Benhabib s’attaque aux « maux » du complot du mouton volé, et des « beignets » que l’on fait frire, durant l’Aïd (après le Ramadan), créant la crise de l’huile en France, par le canal du vocabulaire ? C’est de l’islamo-folie.
Par Boualem SNAOUI