Sous le pont des J.O.
Coule la Seine
Avec des épines à la surface de l’eau
Épines des roses Algériennes
Qui contiennent le parfum des maux
Pour que la France se souvienne
Qu’elle n’a pas toujours fait ce qu’il faut
Et que c’est l’oubli qui fait le plus de peine.
Nous pouvons se le dire entre potes :
Il y avait quelques fausses notes !
Ce sont la France et l’Algérie qui auraient dû défiler sur le même paquebot et non la Tunisie et le Turquie !
Mais la France a toujours eu du mal à distinguer entre aisance et nuisance… elle s’apprête si personne ne l’arrête à soutenir que les Sahraouis sont Marocains, les Gazaouis Israéliens et le mal, un bien.
Toujours la même torture par l’espérance.
Oh Djadja ! T’as de sacrés moyens ya Djadja
Avez-vous été surpris par la couleur de la danse à travers laquelle la France a réussi à marier la grandeur et la décadence ?
En d’autres termes, ce qui m’a le plus marqué : c’est le bouleversement dans tous les sens : on exhibe ses couleurs et on inhibe ses valeurs : ô malheur !
En Algérie on n’a pas vu briller de mille feux la tour Eiffel, mais une tour en fer Algérien…
O misère ! Faut-il le dire ou le taire ?
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