Les tablettes informatique dans les écoles pour les enfants : répondent-elles aux problèmes posées et sont-elles des réponses pour un meilleur enseignement ?
Je suis contre l’utilisation de la tablette informatique pour les enfants jusqu’à un certain âge. Mon analyse de la situation rejoint celle de ceux qui pensent aux enfants et aux futures générations des points de vue physique, psychologique et psychique.
Des études sérieuses, et non orientées, ont montré que les enfants étaient moins épanouis intellectuellement que lorsqu’ils apprenaient avec des livres et des cahiers.
D’autres conséquences sont apparues lors de l’usage des tablettes avec des enfants trop jeune ; elles ont montré, par exemple, une certaine « malformation » des doigts et de certains muscles de la main ; mais aussi des problèmes visuel et un isolement vis-à-vis de leur proche entourage voire social.
Sans oublier, les autres fléaux qui feront suite à un enseignement produit par une école 100% numérique ! Ce ne sera pas le seul domaine qui sera impacté.
Les fabricants font croire à une certaine simplicité et à une évolution logique vers le sans papier ; incluant un « développement durable et écologique » : termes à la mode qui cachent des côtés obscurs ; mais ce sont des leurres. Ce choix pour répondre à la lourdeur du cartable est une fausse réponse.
En fait, de cette réelle situation du poids du cartable, mais aussi pour d’autres aspects contraignants, la raison du choix de la tablette, provient, à mon avis, de deux faits :
_d’une part, parce qu’il me semble que le gouvernement algérien suit les autres pays dans cette course à la modernité numérique ; et qui, pour ma part, n’est qu’une réaction des pays qui n’ont pas réfléchit aux conséquences ; mais plutôt à une facilité d’enseignement illusoire, à une certaine économie voire de profits pour d’autres ;
_et, d’autre part, parce que ce sont les instituteurs qui ne veulent pas modifier ou aménager leurs emplois du temps vis-à-vis des élèves.
Ces derniers, s’ils s’harmonisaient autour de l’enfant, dont ils ont la mission d’instruire, ils régleraient ce problème qui coûte une fortune à la société. En fait, les cartables sont lourds parce que ces agents de l’état donnent, comme ils le sentent, des devoirs, sans faire cas du poids du cartable ; ils pensent à leur enseignement et à leur vision de leur mission.
C’est comme en France ; pays que je connais le mieux. Les enseignants, en particulier du secteur public, décident où et quand ils seront présents ; quand ils enseigneront et donneront leur devoir. L’élève ainsi que sa famille doivent suivre leurs directives sinon ce sera le chaos ; car eux… ils savent.
Ce n’est pas une analyse loufoque que je présente ; mais bien réelle. Dans certains pays, les instituteurs ont mis de côté leurs vrais rôle et devoir. Mais cela n’est possible, que si le responsable chargé du fonctionnement de cette institution laisse faire : à moins qu’il ne soit d’accord.
Je dis donc au Ministre de l’enseignement algérien :
« Faites en sorte que les établissements scolaires organisent des réunions obligatoires ; et où il en ressortira des emploi du temps avec une mise en place telle, que tout le monde y trouvera son compte. C’est possible. Il faut la volonté politique ; et pas surtout laisser se mettre en place des lobbys de ce genre : comme en France et ailleurs. »
Il me semble que je pourrais m’en charger ; car je n’ai aucune visée malsaine ou de volonté de pouvoir, sauf le bien être de l’enfant. Et je suis persuadé que cela se passera bien.
Conséquence de cette mise en place ?: moins de gesticulation et plus d’économie !
1 comment
Un grand merci pour avoir publié cet article.
E,t à chaque fois, j’aime la photo qui va avec.
Longue vie à jazairhope! et j’écris cela de tout mon coeur : quoi qu’il puisse arriver par la suite.