Le système éducatif algérien occupe la 23e place mondiale. Le Maroc est quant à lui, relégué au 119e rang.
Contrairement à ce que radotent quelques mauvaises langues, l’Algérie dispose d’un système éducatif plutôt performant, lorsque l’on se fie à une récente étude réalisée par le Forum économique mondial. Au plan arabe d’abord, l’école algérienne occupe le 4e rang en termes de qualité de ses enseignements. Elle est précédée par celles du Qatar, des Emirats arabes Unis et du Liban. Ces trois pays, dont la notation au niveau mondiale est appréciable, se distinguent, par rapport à l’Algérie, par le faible nombre d’élèves. Le meilleur système, celui du Qatar ne compte que 308 000 élèves scolarisés. Difficile de faire moins bien dans ce cas. Les deux autres nations, les Emirats arabes unis et le Liban se caractérisent, eux aussi par une faible densité de la population, ce qui rend la gestion de leurs systèmes éducatifs moins complexe et également moins onéreuse. Cela n’enlève rien à leurs performances, notamment celle du Qatar qui se hisse au 5e rang mondial.
Sorti de ces cas qui relève de l’ «exception», compte tenu de leur environnement éducatif, l’on peut souligner la grande efficacité de l’Education nationale dans le monde arabe. L’Algérie est donc quasiment première, si l’on considère, que sa population scolarisée, d’environ à l’échelle 11 millions d’élèves est, à elle seule, supérieure au nombre d’habitants des trois pays réunis qui la précèdent dans le classement du Forum économique mondial.
Ce classement ne devrait pas étonner, outre mesure, au regard des très nombreuses Succès story scientifiques, dont peut se prévaloir le système éducatif national. La récente distinction de Yasmine Belkaid à la tête de l’institut Pasteur de Paris témoigne de la capacité de l’éducation algérienne de produire des sommités scientifiques.
D’innombrables autres exemples peuvent attester de cette vérité. Ils ont tous poursuivi leurs scolarité cursus et en Algérie.On ne retrouve manifestement pas le même rendement lorsqu’il s’agit du système marocain où les exemples de réussite scientifiques sont rares. Pourtant, le royaume de Mohamed VI compte près de 8 millions d’élèves. À population presque égale, la différence de qualité est donc immense. La Tunisie fait mieux que le Maroc, en se classant à la 103e place mondiale et la 10e au niveau arabe.
C’est dire que l’Algérie mérite amplement sa 23e place au plan mondial. En effet, si au niveau arabe, le système éducatif algérien trône au milieu de celui des autres pays, au plan international, le Forum économique mondial place dans son rapport, l’Algérie à la 23e place, bien devant de nombreux pays dits développés. Il y a lieu de relever que l’école algérienne n’est pas la seule à confirmer son rayonnement, en occupant une position honorable dans le Monde arabe. Le même Forum économique mondial a établi également un classement international de la qualité de la recherche scientifique. rendu public le 28 mars dernier, notre pays figure en 88e position.
L’Algérie a décroché, par ailleurs, la 9e place à l’échelle arabe, en matière de qualité de la recherche scientifique, selon le même rapport international. Là encore, nous devançons le Royaume chérifien qui lui, est arrivé à la 11e place dans la région et la 111e à l’échelle mondiale.
Contrairement à ce que radotent quelques mauvaises langues, l’Algérie dispose d’un système éducatif plutôt performant, lorsque l’on se fie à une récente étude réalisée par le Forum économique mondial. Au plan arabe d’abord, l’école algérienne occupe le 4e rang en termes de qualité de ses enseignements. Elle est précédée par celles du Qatar, des Emirats arabes Unis et du Liban. Ces trois pays, dont la notation au niveau mondiale est appréciable, se distinguent, par rapport à l’Algérie, par le faible nombre d’élèves. Le meilleur système, celui du Qatar ne compte que 308 000 élèves scolarisés. Difficile de faire moins bien dans ce cas. Les deux autres nations, les Emirats arabes unis et le Liban se caractérisent, eux aussi par une faible densité de la population, ce qui rend la gestion de leurs systèmes éducatifs moins complexe et également moins onéreuse. Cela n’enlève rien à leurs performances, notamment celle du Qatar qui se hisse au 5e rang mondial.