La clique de Charlie Hebdo, le journal qui ne fait rire personne.
Dans sa dernière livraison, l’hebdomadaire glauque exhorte l’Algérie à «reprendre ses imams» et à rendre à la France «ses écrivains», allusion à l’arrestation de Boualem Sansal, dont la centaine de personnalités médiatiques françaises, qui a pris près de 70 millions de Français en otage, à travers les outils de propagande, les institutions officielles, les banques et le système éducatif, «exige» la remise en liberté, comme François Mitterrand «exigeait» la réhabilitation des islamistes du FIS en 1992. Décidément, la France souffre de bégaiement.
Rendez-nous donc ces médecins, ces informaticiens, ces enseignants, ces managers qui font tourner votre économie agonisante et qui font les beaux jours de votre pays, sans que jamais vous ne focalisiez sur leur apport salvateur, car cela vous complexe au plus haut point. Allez donc vérifier les notes des étudiants dans vos universités et vous constaterez que les Algériens formés à l’Ecole algérienne caracolent en tête des classements. Cela, vos compères de CNews, de LCI et autre BFMTV ne le montrent jamais aux «Français de souche», transformés en cobayes, objets d’une manipulation mentale qui contrôle leurs pensées et leur comportement de façon négative et de manière inconsciente.