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9ème jour de Ramadhan 2024
we will not forget
Ô GAZA MON COEUR SAIGNE !
Mon âme erre dans l’ombre des remparts de Gaza, là
où sont étouffés, les cris des mères devant les corps
sans vie,
Des frères, soeurs, maris et enfants assassinés
Échos déchirants d’une tragédie, par la fureur des
conflits, imposée. Les ruelles, jadis berceau du rêve
et de la vie, . aujourd’hui empreintes des larmes
d’une nation brisée,
Ô GAZA MON COEUR SAIGNE !
Sous le voile sombre de la nuit, Le ciel de promesses
constellé par la lueur des bombes est obscurci,
éteignant chaque éclat d’innocence qui tente de
persister.
Les échos des sirènes d’alerte, au soupir du vent, aux
larmes et cris mêlés, impuissantes face à l’horreur des
actes des soldats proscrits, les étoiles elles-mêmes
semblent avoir le regard détourné.»
Ô GAZA MON COEUR SAIGNE
Les murs de Gaza, témoins muets d’une farouche
tenacité.
Portent les cicatrices de chaque éclat, chaque âme
ravie, chaque souffrance endurée. Les ruelles sont
devenues des mémoires vivantes qui prient Racontant
l’histoire des espoirs écrasés,
Des rêves étouffés dans le tumulte des bombes et
des déclins aux pauvres victimes sans abri.
Ô GAZA MON COEUR SAIGNE
Gaza tu ne sombreras jamais plus dans l’oubli,
Tu mérites notre solidarité,
Élevons nos voix dans l’oppressante nuit.
Que chaque mot, chaque prière et pensée soit un
appel à l’humanité.
Car, même dans les ténèbres de la guerre, l’espoir
persiste comme une fleur fragile poussant entre les
interstices de l’anarchie
Les enfants, symboles d’innocence, devraient être les
architectes de l’avenir et non du passé.
Mais il n’y a que ruines de la violence ici
Ô GAZA MON COEUR SAIGNE !
Ton sol de sang gorgé de ceux qui n’ont rien demandé,
Porte le fardeau d’un génocide que le monde
n’identifie.
Les petits anges sont les silencieuses victimes d’une
guerre qui ne fait pas de distinction d’humanité !
Ô GAZA MON COEUR SAIGNE !
Saliha Ragad Alias Khalice Jade.
Alger le 03. 12. 23
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