Tous les signaux indiquent que l’Algérie se dirige vers la création d’une Silicon Valley et toutes ses potentialités confirment qu’elle en a les moyens.
La nomination d’un ministre chargé de l’économie de la connaissance et des start-ups ou encore la création de l’école nationale supérieure des mathématiques et l’école nationale supérieure de l’intelligence artificielle, sans oublier l’école nationale des nanotechnologies qui devra voir le jour au technopole de Sidi Abdellah, témoignent de l’ambition des plus autorités algériennes de faire du pays un hub dans la recherche, de l’innovation et des nouvelles technologies.