Les ahrars sont confrontés à un paradoxe mathématique que même leur oustad britannique n’arrive pas à résoudre.
Il faut résoudre une équation avec deux conditions :
1- Il ne faut pas qu’ils laissent passer le projet de la nouvelle constitution de Tebboune
ET en même temps
2- ils ne doivent pas le reconnaître comme président.
Étudions les choix qu’ils ont:
Voter Non c’est reconnaître la légitimité de Tebboune automatiquement car ils votent … et risquer que son projet passe quand même s’ils ne sont pas majoritaires…
Ne pas voter, veut dire que son projet passera puisque ses fans, eux, iront voter oui ! Et donc la première condition ne sera pas satisfaite.
Conclusion(s) :
1 – Dans les 2 cas, ils sont perdants et l’Algérie gagnante.
2- Le 2 novembre, il est fort probable que tout le monde se réveille avec un doigt bleu.
3. Schrödinger est un conseiller de la présidence 😉
CQFD.
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4 comments
Excellent !
Nous, c’est les boudjelkha 🙂 Bravo !
Effectivement Bacher, merci pour le support.
L’intégrale de Boujelkha effectivement permettrait peut être de résoudre une problématique Algérienne, bien que l’équation de Schrodinger pourrait aussi s’adapter du monde quantique au monde virtuelle dans lequel évolue les Ahrars.