Le sport, les compétitions nationale et internationales : l’Algérie et le musulman
Dans cette partie, je me doute que je vais mettre mal à l’aise beaucoup de personnes. Je signale cela ; car la majorité des gens ont été depuis fort longtemps habituée à vivre et à ressentir l’actualité et la pratique sportive de la même façon ; en particulier, celle qui est médiatisée internationalement afin de faire de tout le monde un pareil.
Pour ma part, l’Algérie devrait revoir autrement ses participations aux compétitions sportives. Quand j’exprime cela, je fais surtout référence à la santé mentale de sa population. Cette « réorientation » ou nouvelle approche ne sont rien comparées aux avantages qu’elle obtiendra.
Les fanatiques et les « addicts » à certains sports m’en voudront au début ; en particulier ceux qui auront aménagé leur appartement, tels des studios de télévision ou de radio, pour parler sur l’Internet des tournois sportif à gros paris.
C’est de la santé mentale des algériens dont je suis le plus inquiet ; et de la soumission de leurs dirigeants aux exigences de ces institutions souvent occidentale.
Les tournois gérés par des organisations comme la FIFA et autres CAF, concernant donc le milieu du football, sont de nature à diviser les peuples.
Là où cela devient compliqué, c’est que cette façon de présenter et faire du sport, au niveau international, a formaté les personnes : homme, femme et enfant.
Mon analyse, sous forme d’alerte, met en avant les aspects culturel et traditionnel face aux événements sportifs diffusés ; incluant les attitudes et les tenues des sportifs des différents pays.
Les attitudes de certains sportifs sont souvent, pour ma part, de natures provocantes ; de même certaines tenues qu’ils peuvent porter sont à la limite de la « pudicité » supportable pour certaines populations ; cela ne se limitera pas qu’aux seuls pays musulmans ; même des personnes en occident, pour schématiser, pourront être heurtées ; mais elles laisseront passer parce qu’elles savent, que dans leurs pays, elles dérangeront et passeront pour rétrogrades ; puisque la majorité a accepté volontairement le fait accompli ou a décidé, elle aussi, de ne rien dire et de subir.
En dehors du fléau comportemental et vestimentaire, il y a aussi la partie traitement des compétitions : de leur déroulement et des résultats.
Pour l’Algérie, des événements ont été révélateurs ; d’un pays, d’un peuple et d’une équipe de football exemplaires, suite à la CAN 2019 et la coupe Arabe 2021 ; son image s’est ensuite dégradée aux tournois qui ont suivi ; dès lors, l’Algérie toute entière a été présentée comme un état pleurnicheur voire tricheur.
Cela est dû aux épisodes de la CAN 2021 au Cameroun et lors du match de barrage pour la coupe du monde 2O22 face à l’équipe du Cameroun ; ces manifestations avaient mis en relief la puissance de ces institutions et des organisateurs sur le mental et la psychologie des peuples : ici algérien.
Pour le sélectionneur Belmadi et son équipe, cela a été la descente aux enfers : voie qui semblerait avoir été préparée bien avant pour nuire à l’Algérie toute entière : et cela a fonctionné !
En dehors de ces irrégularités voire des trucages pour rendre fou une grande partie d’un peuple, il y a aussi la perversion, par l’argent, par les biais du jeu et des paris qui vont avec ; certains sont devenus des bookmaker ou trader ou autres imbécillités financière. D’après ce que je sais de la foi musulmane, les paris et jeux qui font intervenir l’argent sont interdits ; du coup, il faut écouter comment s’expriment ces algériens musulmans ou presque. Un langage qui fait mal aux oreilles.
Même les femmes s’y mettent.
Je rajouterai le pouvoir de l’hypnose par la diffusion des tournois par le cathodique, le numérique ou par l’internet ; sans oublier la guerre des chaînes de diffusions qui s’enrichissent et soumettent les pays participants et leurs supporters ; il leur suffit de comptabiliser le nombre de « moutons » tout sexe confondu, qui attend le spectacle ; quasiment la bave aux lèvres.
Les autres domaines sportifs sont aussi à revoir
J’ai déjà révélé certaines de mes réponses sur le sujet ; sur ce qu’il faudrait faire pour économiser son énergie, sa santé et son argent ; et ne pas sombrer surtout dans le culte de l’image et du corps. Ce dernier étant le plus pernicieux et le plus attirant. Il arrive à s’introduire sous prétexte de liberté et de réussite.
Et je le rappelle, celui qui n’accepterait pas cette « ouverture » d’esprit, et de tout le reste, serait catalogué comme un rétrograde.
Je me doute que beaucoup de musulman et musulmane et autres affiliés doivent s’énerver sur le fait que des athlètes expriment leur appartenance religieuse dans le sport ; ils iront jusqu’à accuser la religion d’être la cause des échecs lors de tournois sportifs comme l’athlétisme. Courir avec un foulard, un pantalon large et autre basket halal, c’est pas synonyme d’efficacité. Dans leurs esprits, rien ne doit entraver les mouvements. Les victoires se mesurent au centième voire au millième de seconde ou de mètre.
Il faut donc, pour espérer gagner, se dévêtir au maximum.
La preuve ? Majoritairement, celles qui gagnent, sont des athlètes non musulmanes, à moitié nue, mais qui exhibent, tout de même, des cheveux teint de toutes les couleurs ; des ongles de 3 kilomètre ; des chaussures fluo high-tech et visible depuis la planète Jupiter et enfin des bandes dessinées tatouées sur leur corps : visage compris.
Voilà où se trouverait le secret de la victoire sportive pour les musulmane et musulman.
Quand allez-vous comprendre que votre corps ne doit pas être bridé dans une intimité égoïste ; mais qu’il doit être exhibé au monde entier ?
On peut le décorer ; mais dans la plus grande nudité possible.
Ne rien porter ? … se serait encore mieux !
Je soumets pourtant la réflexion suivante :
« Dans le domaine de l’athlétisme, que diront les très ouverts d’esprit, surtout envers la femme musulmane, si une athlète musulmane, justement, battait le record du monde d’un 200 m après avoir couru avec un foulard et un pantalon qui ne moulait pas son corps ? »
Je précise : une musulmane issue d’une famille « ancestralement » composée de Morad, de Youcef et autre Farida ; de culture et de tradition musulmane, si je puis oser aller aussi loin ; et pas d’une fraîche convertie, occidentale ou autre, qui gagnait déjà des compétitions.
Je fais ainsi référence aux athlètes qui sont « achetés » par des pays qui en offrant leur nationalité et un mieux être financier obtiennent des gloires usurpées aux compétitions sportives.
Les pays occidentaux en usent et en abusent ; mais des pays du golfe aussi.
Ces états veulent, à tous prix, faire entendre leur hymne national en pillant les ressources humaines sportives des pays plus pauvres ; les appauvrissant encore, en leur volant une gloire rapidement visible à peu de frais.
Je ne fais pas cas des pratiques sportives qui demandent des infrastructures très modernes et chères ; je fais juste allusion à celles où un short et des baskets suffisent.
Quelquefois, on a envie de rire lorsque l’on voit un athlète dont le nom ne va pas avec son faciès. Les noirs sont devenus prépondérants dans les domaines du sport. Après les pays anglo-saxons, certains pays de l’Est et du proche et moyen-orient « s’équipent » de ce genre d’athlètes surtout d’Afrique noire. Dans la majorité des victoires, en athlétisme, rares sont les pays participants où l’athlète est encore de l’ethnie du pays qu’il représente.
Pourquoi pas ?
Pour en revenir à l’exemple de la musulmane qui arriverait à gagner avec toute sa panoplie « rétrograde » ; ce dont je serais convaincu, c’est que cela démentirait le préjugé voire le mensonge que des vêtements trop amples seraient une entrave physique pour battre un record sportif.
Et ce, quel que soit le sport !
Cela démontrerait surtout, qu’un record ne peut-être battu que par son travail et par sa volonté de gagner ; et non pas par un costume high-tech ou autre grigri moderne d’émancipation voire un dénudé extrême accompagné d’un rasage total pour s’alléger au maximum ; car il est bien connu qu’on peut perdre une course à un cheveu ou un poil près.
Sans même aller jusqu’à battre un record ; si des musulmanes avec tout leur équipement « rétrograde » gagnent des compétitions officielles : ce sera suffisant.
Ce qui sera certain, c’est que les marques de vêtement présentés comme high-tech et indispensable à la gagne devront revoir leur copie. Elles seront obligées de s’y soumettre : ce sera la nouvelle loi du marché.
Cela arrivera ! Il suffira d’une victoire effectuée en direct et très médiatisée ; c’est-à-dire très bien relayée.
Bien que ce soit difficile pour les musulmanes ; étant donné que le camp d’en face, surtout celui des féministes dévergondées est bien soutenu ; il y a tout de même des femmes, musulmanes ou non, qui ne se laissent pas intimider et qui arrivent à tenir bon.
Les hommes musulmans sont moins sollicités par le système de dépravation ; mais les tatouages et l’arrogance sont des fléaux qui commencent à les atteindre.
Par contre, le sportif musulman devrait appuyer beaucoup plus sa compatriote musulmane ; elle est la cible visée et ça devient de plus en plus lourd pour elle. Ce qui sous-entend, aussi, qu’il doit bien se comporter en tant qu’athlète et non pas se présenter comme un vulgaire objet de spectacle, de muscle et de vantardise. Ses échecs sportifs ne seront pas une honte, s’il s’est bien défendu.
Nul n’est tenu à l’excellence. Mais la dignité et l’honnêteté sont essentielles.