Chercher l’eau sous terre et la conduire à l’air libre pour irriguer des jardins est connu par plus d’une vingtaine de pays de tous les continents.
Ce système, connu sous le nom de « foggaras » en Algérie, existe dans les oasis sahariennes du Touat-Tidikelt.
Pour les communautés vivant dans ces oasis ces foggaras constituent plus qu’un élément identitaire : il s’agit de survie face à un environnement difficile.
L’irrigation par la foggara n’est viable qu’avec la présence des mesureurs d’eau ou aiguadiers (kiyal) qui par leurs calculs répartissent de manière équitable ce bien vital entre les différents propriétaires.
Dans un passé proche, le mesureur d’eau était l’une des personnes les plus connues et respectée de tous les villages (ksour) importants et ceux qui n’en avaient pas un étaient obligés de recourir aux services du mesureur le plus proche.
Ce qui nous intéresse ici, est principalement le savoir qui s’est constitué et transmis autour des questions liées au partage de ces eaux ramenées à la surface du sol.
2 comments
Je tenais à vous remercier à tous pour la création de la plateforme🙏👏, il m’apparait être comme le jardin d’essai d’Alger, au départ on pense juste à une promenade lambda (lecture d’infos)mais au fur et à mesure que l’on s engage tous nos sens sont en eveil devant la multiplicité des essences(themes), de la beauté, des formes dissemblables, l’emanation des differents parfums et son étendue de par ses diverses allées, en fait vous avez réussit la combinaison la plus juste où chacun de nous s’y retrouveras.
Que l’on soit amazhigs, berberes, mzabs, chaouis…..la semance est issue et à bien pris dans la terre ALGERIENNE, tahya EL JAZAÏR ❤🇩🇿 tahya l’ ANP❤🇩🇿 INSHA’ALLAH dima AMIN. Merci 🙏MASHA’ALLAH
Ca fait vraiment plaisir et ça nous encourage à continuer, tu sera tjr la bienvenue et si tu veux contribuer avec des articles n hésites surtout pas, on te sera très reconnaissant. Merci vraiment merci Nanou.