Et ce n’est pas n’importe qui le dit, c’est Anne-Sophie Mercier, la fille de Philippe Mercier, le Général d’armée de la « grande muette » de France qui a parlé dans le « Canard déchaîné » contre l’Algérie, qui a sorti les canons contre Aymeric Caron et Thierry Portes dans une attaque parentale, pour apporter du “blanc” d’apartheid, en soutien au génocide en cours contre le peuple palestinien, dans une déjection palmipède vendue (H.E.C) en crème chantilly par leur canard partenaire “Tribune Juive”, en date du 25 juillet 2024.
La fille du Général d’armée, qui colonise tout l’espace “merdiatique” hexagonal (Arte, Nouvel Economiste, l’Evénement du jeudi, Le Parisien, I-Télé, Charlie Hebdo, Canal +, RTL, Direct 8, Les Inrockuptibles, Le Monde, Le Canard enchaîné, …etc.), afin d’assurer la reproduction de sa classe (militaire) dans un système qui injecte la politique de la “RACE” chez les “gueux” et lave plus blanc les crimes « démocratiques » contre l’humanité du régime des généraux de Tel-Aviv.
Ce n’est donc pas une blague : « Nous sommes en guerre, six fois », et la « Grande mouette » a parlé dans une diatribe puant les bombes au phosphore du régime des généraux de Tel-Aviv, sous les ailes du palmipède hebdomadaire du système (N° 5419 du 18 septembre 2024), par la voix non officielle d’Anne-Sophie Mercier, la progéniture du Général d’armée Philippe Mercier, ancien chef du cabinet militaire du ministre de l’attaque français (1994 à 1995) , ancien chef d’état-major de l’armée de terre (1996 à 1999), et général à l’OTAN( SACT) avec la plume d’un « canard déchaîné » contre l’Algérie.
D’une part, si la fille du Général d’armée a signé avec son blason parental, et non pas avec ses initiales (A.-S. M.) son pamphlet contre le peuple algérien, c’est qu’il s’agit bien d’un message militaire de cette « armée qui donne les ordres » dans l’ombre.
Elle a bien fait cette marionnette militaire du père (le FIS est placé à l’IPSOS, pour sonder les opinions préfabriquées par le système pour les éborgnés et les « pouilleux. ») de confirmer les intentions du système de renouveler le bail colonial de 132 ans, puisque son géniteur n’a pas perdu les galons de Papon, Pelissier, Cavaignac et de tous les Bugeaud.
D’autre part, en reproduisant dans son réquisitoire colonial les slogans de la 5ème colonne du Hirak, dont celui de Tahar, le clown indigène psychopathe de la Place de la République protégé du système colonial, elle ne fait que confirmer l’implication directe de la junte de Paris, dirigée par le putschiste de l’Élysée, qui vient de désigner l’un des « Barniers (rouleaux adhésifs) » poussiéreux de l’écurie du système depuis plus de 50 ans. La rage et le courage la poussent jusqu’à regretter que ce ne soit pas son paternel de Général qui assiste le Président algérien dans ses entrevues, rappelant la belle époque coloniale et son cortège festif des têtes algériennes décapitées et entreposées jusqu’à nos jours au musée de (des droits) de l’Homme.
Cette féministe (dans un pays où le viol est une culture –l’affaire du viol collectif de Gisèle Pelicot n’est que la partie émergée de l’iceberg), laïque (un pays où l’islamophobie est la règle de promotion sociale), qui mange de l’herbe (végétarienne) mais qui ne la fume pas, est une animaliste qui applaudit à pleins poumon les crimes de génocide commis par le régime des généraux (son paternel de général n ‘y est pas pour rien) de Tel-Aviv, dans le camp de concentration de Gaza.
Retweeter Frédéric Haziza, le héros des horreurs sur terre, mais aussi accusé d’agression sexuelle par la journaliste Astrid de Villaines, n’a pas l’air de lui poser le moindre problème : le féminisme a ses limites israéliennes à ne pas dépasser !
Son point de vue sur la démocratie ne serait pas complète sans Jean-Michel Guibert, ce Délégué Éthique d’EDF, l’une des victimes du tir de son canon militaire littéraire déjà en 2014, qui y a goûté. Même le droit de réponse lui aurait été refusé par l’employeur de cette femme reconnue, estimée et crainte… pour son bras long dans le système « Général d’armée ». Jean-Michel Guibert a trouvé refuge dans son blogue de Mediapart, et heureusement qu’il n’a pas été censuré par le trotskyste moustachu.
Dans son malheur, Jean-Michel Guibert a eu de la chance : il n’a pas été gardé à vue, comme tous ces journalistes convoqués à la queue-leu-leu par la DGSI à Levallois-Perret, après avoir échappé aux tirs de LBD militaire du Général, au pays des lumières éteintes pour l’occasion.
Le palmipède qui l’emploie n’est pas en reste dans sa longue marche sioniste : depuis le « Maréchal »(Maurice); il longe le droit international sur la pointe des pieds pour blanchir le régime génocidaire des généraux (“Beau” comme Nicolas, l’ancien pointeur de cette marre aux canards) de Tel-Aviv.
C’est même Érik Emptaz, le patron du « Canard déchaîné contre l’Algérie » le mercredi 22 mai 2024, qui a sermonné vertement le procureur de la CPI, lui faisant grief d’avoir « appliqué les mêmes chefs d’accusation » contre les dirigeants du Hamas, d’une part, et contre le Premier ministre israélien et son ministre de la Défense, d’autre part. Pour ce moraliste devant l’Eternel de la mare aux canards, la vie des colons est plus importante que celles des colonisés. Comme Albert Camus, Érik Emptaz préfère sa mère à la justice.
Ils n’apprennent rien des leçons du passé, notamment de la fessée dont ils ont été punis par Jacques-Marie Bourget le 18 novembre 2023. Ce sont les puanteurs toxiques d’Hervé Martin, un autre porte-drapeau de l’armée israélienne au “Canard”, qui a fait sortir Jacques-Marie Bourget de son calme.
Pour Hervé Martin, dont le témoin de moralité n’est autre qu’Eric Ciotti (qui n’est plus à présenter), les Palestiniens ne sont pas sous les bombes, mais assis sur un pactole humanitaire. Pour bien enfoncer la plume brune du “Canard”, Hervé Martin cite en référence : un « think tank », le « Jérusalem Center for Public Affairs », une annexe du Likoud et du gouvernement néo-fasciste israélien.
Christophe Nobili, qui avait révélé cette affaire « d’abus de biens sociaux” et » recel d’abus de biens sociaux » (dans le livre Cher Canard -JC Lattès-) dans un « journal indépendant », subit un harcèlement professionnel « démocratique » qui ne dit pas son nom. Le vilain petit canard, veut sa peau, et l’a licencié à deux reprises (la première procédure de licenciement avait été rejetée mi-mai par l’Inspection du travail), sans que la fille du Général ait pipé mot.
On attend le prochain « dîner de cons », pour qu’Anne-Sophie Mercier, la fille du Général nous donne plus de confidences sur la guerre que préparent les généraux coupeurs des têtes et pas de ruban, du peuple algérien.
Adlène Meddi, le « chiendent » qui aboie pour le complot dans le Point-levé israélien, aurait dû consulter Anne-Sophie Mercier, la fille du Général, au lieu de fréquenter Bernard Emié, l’ancien ambassadeur colonial à Alger et ancien patron des services sucrés de la DGSE.
