Le chef d’Etat algérien, Abdelmadjid Tebboune a salué mardi, lors d’une réunion du Conseil des ministres à Alger, «l’organisation, pour la première fois, d’une rentrée universitaire ‘zéro papier’», une initiative qui entre dans le cadre de la modernisation et la numérisation de l’université algérienne.
La politique zéro papier, prônée par le président algérien, milite pour la numérisation du secteur universitaire, ou, plus précisément, pour le recours aux supports numériques dans l’ensemble des établissements universitaires.
Plusieurs plateformes ont été déjà mises en ligne, couvrant divers sujets comme l’adéquation formation-emploi, l’évaluation des chercheurs permanents, les œuvres universitaires, le suivi des biens, les étudiants étrangers, ou encore le réseau de communication.
Les autorités algériennes entendent améliorer la gouvernance des universités à travers, entre autres, une gestion totalement transparente, une rationalisation des dépenses et une réduction des coûts.
En juin dernier, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari avait annoncé que les inscriptions des bacheliers devaient se faire intégralement en ligne au cours de cette rentrée universitaire 2023-2024.
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Bonjour,
vouloir faciliter, par la numérisation, l’accès à l’information, aux inscriptions ainsi qu’à d’autres démarches nécessaires voire essentielles, dans les universités algérienne, est une bonne chose.
Mais, dans cette optique, il doit y avoir une remontée de certaines données aux dirigeant afin qu’ils puissent avoir un état des lieux quasiment en temps réel.
La numérisation est à double tranchant. Le papier est une meilleure garantie en cas de problème.
Mais j’en dis pas plus.
Les universités doivent avoir été préparées et structurées afin d’être déjà une source d’information;
Le lien entre elles donnera une lecture plus juste de ce qui sera à conserver, à améliorer et à supprimer.