Selon le portait que lui a consacré, ce jeudi 15 octobre, le quotidien français Les Echos, la jeune femme de 31 ans est une spécialiste en cybersécurité qui exerce actuellement en France et enseignante-chercheuse en cybersécurité depuis trois ans.
Les Echos précise que « l’accréditation CEI (Certified EC-Council Instructor) lui permet de dispenser aux ingénieurs une formation pour devenir hacker éthique certifié (CEH) ».
Fériel Bouakkaz a obtenu un doctorat en 2016 et s’est ensuite installée en France pour se lancer dans plusieurs projets de recherche et devenir enseignante. Selon la biographie de Fériel Bouakkaz, publiée sur le site web de l’Efrei Paris, la jeune chercheuse a « par la suite participé au projet SUIDIA (suivi à distance du diabète gestationnel) né d’une collaboration entre le Lab-STICC et le CHRU de Brest ».
Ensuite, Fériel a « effectué pendant deux ans des missions d’enseignement et de recherche au sein de l’Ecole Supérieur de l’Electronique et de ses Applications (ENSEA, Cergy), avant d’occuper le poste d’Enseignante Coordinatrice pédagogique à ITESCIA, une école de la Chambre de Commerce et de l’Industrie ».
La même source indique que Fériel a intégré Efrei Paris en tant qu’enseignante-chercheuse en Cybersécurité.
Ses principaux enseignements sont la cryptographie, la sécurité des infrastructures, l’algorithmique et le Java. Ses travaux de recherche portent principalement sur la sécurité, l’agrégation de données, les réseaux de capteurs sans fil, l’IoT et la 5G.