Changement de cap : l’Algérie, souligne «El Watan», pourrait réduire ses importations de blé français pour se tourner vers le blé cultivé dans les pays riverains de la mer Noire, en particulier la Russie. « Pour s’ouvrir sur d’autres marchés et se délester de la forte dépendance au blé français, l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) devait modifier certaines conditions techniques et normes exigées pour le blé tendre importé par l’Algérie afin de faire jouer la concurrence et profiter de prix et de conditions d’achat plus attractifs », ajoute le quotidien.
Ce changement de cap, ajoute le journal, a été amorcé il y a deux ans avec la multiplication des « contacts » entre exportateurs russes et OAIC. Une des raisons avancées par l’Algérie, qui importe aussi du blé d’Argentine, du Canada ou des Etats-Unis.
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