Plusieurs partis politiques ont appelé à l’impératif de donner aux présidents des assemblées populaires municipales (CPA) des prérogatives plus larges pour faire face à la crise du logement et examiner les revendications exprimées par les citoyens, à travers un système statistique intégré et un fichier national précis et sécurisé pour les . le bénéfice des marges sociales qui ont vraiment besoin d’aides d’État dans ce domaine.
Le dossier logement est un véritable « casse-tête » pour tout gestionnaire local qui est directement confronté aux citoyens, à chaque annonce de la liste des bénéficiaires.
Plusieurs présidents d’anciennes assemblées locales jugent plus que nécessaire d’élargir encore leurs prérogatives dans les évolutions prévues dans les codes communaux et de wilaya, notamment en ce qui concerne le problème du logement qui est le vrai problème auquel ils sont confrontés à la fois élus et citoyens temps, et ce, en raison d’une forte demande et d’une offre insuffisante, en plus de manipuler certaines opérations de distribution au détriment du citoyen moyen et des vrais habitants de la commune, plaçant ainsi davantage d’élus locaux. face à des choix difficiles.
Le candidat du parti Sawt Echaâb et ancien président de l’APC à El Harrach, Mezioud Mourad, a appelé à l’introduction de nouveaux changements dans les codes municipaux et de wilaya capables de conférer de larges prérogatives aux élus, étant la catégorie la plus proche des citoyens et la plus informée des besoins par le biais de réunions régulières au CPA.
ne donne qu’un rôle de contrôle.
Les années précédentes ont été marquées par la suspension des opérations de distribution de logements, comme la commune d’El Harrach qui a connu la distribution du dernier quota en 2011 (60 logements sociaux et un autre quota en 2021 de 180 logements) a connu une accumulation et une augmentation de la demande à un rythme « très rapide », rendant impossible de répondre aux besoins de tous les citoyens.
Pour pallier ce problème, M. Mezioud a proposé l’accès des communes à des niveaux supérieurs de logements sociaux, améliorant l’accès au logement social, notamment en termes de fiches de salaire, ouvrant la voie aux opérateurs privés. pour la construction de logements dans les différentes communes pour des logements locatifs capables d’absorber un grand nombre de demandes et l’arrêt immédiat des opérations de logement pour les habitants des bidonvilles qui empêchent les demandeurs d’accéder au logement au logement social.
A son tour, le candidat du parti Front de libération nationale (FLN) et ancien président de l’APC de Mahelma, Merzoug Hamid a demandé une révision des conditions d’accès au logement social, tenant compte de la durée de résidence dans la commune et de la situation du demandeur de logement, en plus d’ouvrir une enquête sociale approfondie pour chaque cas afin d’établir ceux qui y sont éligibles.
Le même intervenant a également insisté sur l’impératif d’étendre les prérogatives du président du CPA afin d’avoir un « rôle actif » dans la commission et lui permettre de convaincre ses membres sur les dossiers des citoyens qui le sont vraiment. ouvre le droit au logement, précisant toutefois que les quotas accordés ne peuvent répondre à toutes les demandes.
Bien qu’elle accueille une partie du grand projet de la ville nouvelle de Sidi Abdellah, la commune de Mahelma n’a bénéficié que de 80 logements sociaux et 40 autres participatifs, en plus de 100 quotas LPA contre 4.254 demandes, a-t-il assuré.
Selon l’ancien président du CPA, la commune entend ouvrir une fenêtre d’instruction des dossiers de logement en cours, jusqu’à l’attribution de quotas supplémentaires pour le logement social ou participatif.
».
« La plupart des présidents de CPA sont poursuivis pour logement et pour faux et usage de faux titres de séjour… Des commissions doivent présider l’opération de contrôle », a-t-il précisé. déclaré, précisant que l’intervention des walis-délégations est essentielle dans le contrôle des listes.
Les partis politiques promettent des politiques de logement « efficaces »
Dans son programme des élections locales du 27 novembre, le MSP mise sur des quotas suffisants et une répartition équitable des logements ruraux et sociaux, en coordination avec la maîtrise d’ouvrage. de nouveaux logements sociaux et la régularisation du problème foncier au niveau de la commune.
Quant au Mouvement El Bina, il s’appuie sur une politique du logement équitable au mérite avec des projets de logements pour les communes, quelle que soit la formule, en plus de promouvoir la ville, tout en améliorant la performance de l’administration sur une base transparente, une administration qui doit assumer des responsabilités envers la société.
Les futurs élus du RND s’appuient quant à eux sur le traitement des dossiers de logement en créant des programmes numériques garantissant la transparence de leur diffusion et en apportant une aide sociale aux citoyens en la matière.
Le Front El Moustakbal entend mettre en place un système de recensement rigoureux et sécurisé de toutes les catégories sociales, qui ouvre droit aux aides de l’État au logement et à l’emploi, en supprimant l’habitat anarchique et en intensifiant le contrôle administratif en instaurant une politique locale de la ville. en respectant les spécificités géographiques et démographiques de toutes les régions du pays afin que chaque citoyen ait droit à un logement décent et en encourageant l’investissement privé dans le logement locatif au sein de la commune.
dzairscoop.com
2 comments
Très instructif , merciiiiiiiiiiiiiii
Oui justement,C’est bien d’avoir une idée globale des points suggérés par les différents partis politiques sur un thème précis