A chaque fois que les dirigeants français se retrouvent dans une impasse, ils cherchent des sujets extérieurs pour faire diversion afin de ne pas devoir assumer un échec ou une humiliation. Généralement leur souffre-douleur est un pays africain dont l’Algérie. La régression de cette France vient de leurs dirigeants, de leurs politiques, de leurs comportements. Est-ce la roue de l’histoire qui se retourne contre elle ou bien est-elle à la limite de son évolution historique ? Rien n’est meilleure comme stratégie que l’honnêteté, la dignité et le respect dans toute relation. Ce dicton algérien est à méditer : « la langue douce peut téter la lionne »
Que là où les sionistes se placent, ils s’emploient à dénaturer les institutions, en s’aidant de « sayanim » (8) ?
Que les médias en Algérie et en Afrique, sont bien plus libres d’expression qu’en France où elle est devenue une vue de l’esprit, un subterfuge tout comme « les droits de l’homme » ?
Paradoxalement, ils parviennent à pousser à la démission le Grand De Gaule, mais échouent contre un minus incompétent et antipatriotique !
Ne peuvent-ils pas prendre l’exemple spectaculaire des Algériens ?
Les Français dits « d’extrême droite », mais aussi certains dits de « gauche » passent de l’antisémitisme et le racisme du temps du FN de JM Le Pen que combattent les juifs/sionistes, à l’islamophobie et l’algérophobie en gardant la xénophobie, avec le RN que soutiennent les mêmes juifs/sionistes.
Les Français évoluent dans un marécage politico-médiatique nocif, conduit par des irresponsables apprentis racistes, incompétents notoires et vantards, qui ne cessent de jouer aux éclairés tout en provoquant ; se posant des interrogations, des hypothèses et des devinettes tout en répondant à eux-mêmes. Les Algériens observent leurs bouffonneries, se riant de leurs cancaneries, attendant sagement la faute fatale, pour répliquer intelligemment avec habileté, mais implacablement ; chose qui les rend encore plus rageux, jusqu’à user de l’offense et des menaces. Ont-ils vraiment la capacité et les moyens de mettre à exécution leurs bravades ?
C’est la France qui a un gros problème institutionnel qui lui fait faire un semblant de diplomatie par le bluff et l’insulte (9), le tâtonnement ou le hasard. Ses gouvernants ne font qu’aboyer continuellement en causant plutôt du tort à leur pays. Le monde voit la dégradation des ses valeurs, de son économie, du niveau de vie. Au regard de l’évolution des choses et des décisions politiques aléatoire, hâtives et irréfléchies, qui ne font qu’aggraver la situation et accélérer son déclin, il est fortement prévisible que cette France va se retrouver, sans autre alternative salutaire, dans les rangs des pays dits du « tiers-monde » dans probablement un avenir très proche au vu du désastre constaté (10) et ICI (11) selon F. Asselineau. Elle enregistre un endettement colossal, une inflation forte, une augmentation continue des prix, une agriculture en difficulté, une désindustrialisation, un désinvestissement, un chômage endémique, une santé défaillante, une instruction en baisse, des retraites que l’on menace de ponctionner, une justice équivoque, et une forte dépendance des importations auxquels on ajoute la déconnexion entre les élites politiques, la cupidité de la caste politique parisienne et la grogne populaire. « Statista » (12) affirme que 20,4% des Français (soit 13,5 millions) seraient menacée de pauvreté et d’exclusion sociale en…2023. Elle rassemble les indicateurs que les économistes et les sociologues occidentaux nomment « les critères du sous-développement ». Il nous semble que les choses sont allées trop loin pour espérer un redressement. Le régime aggrave les problèmes en faisant semblant vouloir changer les choses avec son activisme déchaîné comme le résume ici M. Mélenchon (13).
M. Macron est qualifié par les siens de crétin, baratineur, bonimenteur, psychopathe, narcissique, sans conviction, un monstre froid, pas très intelligent, emmerdeur…des qualificatifs énoncés par un homme politique français, souverainiste et patriote, qui n’a pas la langue dans sa poche ; M. Asselineau ICI (14) et ICI (15) Plenel, lui, a qualifié sa présidence de « toxique »
Son régime échoue constamment du fait de ses initiatives souvent déraisonnables ou qui dépassent ses capacités. La France est gouvernée par une bande de copains et de coquins délinquants politiques au regard des liens qui les unissent, de leurs comportements et de leurs actions. « Nous sommes en train de devenir le cancre des cancres » assène Alain Minc (16).
Si ce n’est les interventions de quelques responsables de partis politiques, de députés, d’analystes éclairés ou de vrais experts, accompagnés par des sites d’informations alternatifs, qui s’échinent à mettre le holà en déconstruisant leurs abominables narrations, en dénonçant leur forfaiture et tout ce gâchis – donnant quelque peu l’espoir que la raison l’emportera en fin de compte et que les choses s’ajusteront – les Etats partenaires de la France auraient rompu toute relation avec ces pantins qui la gouvernent. En ce cas d’espèce et en attendant, se dégager, même momentanément, est la raison la plus sage et salutaire.
Les Algériens sont reconnaissants, généreux et bienveillants. Ils sont connus pour « avoir du nez » (*) qui devient vite obstination, s’ils pressentent du vis-à-vis une effronterie ou une bravade. Les Italiens ont toujours compté sur les Algériens en matière de relations commerciales et vice versa. C’est le seul pays qui a refusé de fuir l’Algérie pendant la décennie dite ‘‘noire’’, contrairement à la France et d’autres pays qui l’ont suivi par « solidarité ».
L’Algérie est en plein essor, ce qui crée des ressentiments et des envies. Il est prévu que dans 3 ans, l’Algérie sera autosuffisante en blé.
Sinon, que chacun s’occupe de ses oignons ou de son cheptel ! « Plutôt rompre que de se plier » proverbe algérien similaire au proverbe français qui dit l’inverse.
(*) Expression algérienne pour qualifier celui qui garde sa dignité et respecte ses engagements.
Amar Djerrad
Notes :
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