Gallimard et la légion étrangère du nouveau régiment des harkis, le bras armé de l’extrême droite française.
Gallimard a été actionné par la gouvernance coloniale de la France pour sauver le soldat Sansal.
C’est ainsi que cette maison d’édition subversive, recrutant dans le courant des régiments de harkis, de la légion étrangère de la plume, nouvellement naturalisés pour services rendus, a décidé d’organiser de grandes manifestations publiques pour faire accréditer la thèse d’une arrestation arbitraire de Sansal par les autorités algériennes, violant les droits de l’homme et les libertés individuelles.
On se souvient de ce dîner à l’ambassade de France à Alger, lors de la dernière visite de Macron en Algérie.
À cette table cossue, il y avait notamment Sansal et Daoud, qui “ont supplié Macron de les défendre parce qu’ils étaient les défenseurs des intérêts de la France en Algérie”. Propos divulgués par Driencourt lors de ses déclarations à la presse française.
Vous avez maintenant compris pourquoi Macron ne parle jamais des 1648 Français emprisonnés dans d’autres pays et que personne ne se mobilise pour eux.
À travers Sansal et Daoud, Macron défend la boîte noire des traîtres de la France en Algérie, qui a permis de transférer illicitement vers la France des milliards de dollars.
Tous ces combats d’arrière-garde de la France, fondés exclusivement sur un acharnement raciste et haineux, sont voués à l’échec, comme celui de Retailleau qui ne fait pas la différence entre un migrant en situation légale et un migrant en situation illégale, lui ayant valu plusieurs camouflets judiciaires qui l’ont débouté pour non-fondement d’une décision administrative.
Sansal a décidé de congédier tous ses avocats algériens ou français pour assurer sa propre défense.
L’avocat de Sansal, Me François Zimeray, a décidé de passer outre la volonté de Sansal et de continuer à être l’avocat de celui-ci, en décidant de saisir l’ONU, accusant l’État algérien de détenir Sansal de manière arbitraire.
Ce que nous pouvons dire à cet avocat sioniste, c’est que celui-ci dénie à la justice algérienne la capacité de juger un ressortissant algérien coupable de crime contre l’intégrité territoriale.
Si les autorités algériennes ont refusé à cet avocat d’entrer sur le territoire national, cela est de bon droit, tout à fait légal, relevant de la souveraineté exclusive de l’État.
La France vient d’interdire à des Algériens, détenteurs d’un passeport diplomatique, d’entrer sur le territoire français, dans le mépris des accords bilatéraux et conventions internationales.
Me François Zimeray doit bien méditer cela pour comprendre que l’Algérie peut aussi interdire à tout Français indésirable d’entrer sur le territoire national.
Sansal a été arrêté sur le territoire national pour de graves infractions, et cela constitue une affaire intérieure qui ne concerne pas la France, même si celui-ci est binational, conformément au principe de la compétence territoriale.
François Zimeray ne peut invoquer la défense d’un client pour entrer par la force sur le territoire d’un autre État, qui est le seul à décider qui doit entrer sur son territoire.
Gallimard, le prix Goncourt et ses lauréats, des soldats de la subversion, a mis en rang de bataille les vendus, comme Sansal, Daoud, Ferhat Mhenni et bien d’autres, pour faire la guerre à l’Algérie.
De grands dossiers doivent être rendus publics par l’Algérie, notamment celui des armes chimiques utilisées par la France contre les populations civiles algériennes.
Le temps des fanfaronnades de la France coloniale est terminé, et l’Algérie ne doit plus hésiter un seul instant pour déterrer l’artillerie lourde et aller, d’un pas ferme, devant l’ONU et ester, concomitamment, l’État français devant le Tribunal pénal international pour génocide et crimes de guerre.
Le temps de la repentance, de la reconnaissance et des excuses est passé, et le temps de la justice internationale est arrivé pour sanctionner cette France coloniale criminelle.
Source : Mr Hacen Kacimi