Les compétitions sportives autrement
Tout le monde, sauf les naïfs et les endoctrinés fanatiques, ont compris que les compétitions sportives, gérées à la façon des instances occidentale comme la FIFA et autres CIO, sont devenues des enjeux politique et idéologique.
L’Algérie est un exemple d’état où des injustices, bien construites ou presque, ont permis de la placer dans le rang des « pleurnicheurs », des « jamais contents » malgré ses remarques et son palmarès.
Les instances sportives internationales et l’intérêt des organisateurs
Des informations auraient révélé l’attribution arrangée d’organisations de compétition officielle de la part de la CAF, comme la Coupe d’Afrique des nations (CAN) et qui montreraient que ces dernières sont négociées en coulisse ; et ce depuis longtemps.
Être un état participant honnête et respectueux des règles ne suffit plus.
Certains états ont depuis longtemps mis à leur profit les enjeux des manifestations sportives ; elles sont devenues des moyens de contrôle de type « géosportif. »
Ils veulent à tous prix organiser ; mais pas forcément pour les mêmes raisons : certains, pour que, semble-t-il, l’on parle d’eux en positif ;
d’autres pour que l’on pense à eux, lorsque l’on fera allusion à des compétitions sportives de grande ampleur et à ne pas manquer : que ce soit comme athlète participant ou comme spectateur ; comme palmarès ou comme audimat ;
d’autres encore, plus calculateurs, pour que leurs infrastructures soient tout le temps à jour et les meilleures.
Pour cette dernière, ça a été longtemps une stratégie des pays occidentaux qui s’arrangeaient pour organiser les tournois internationaux dans leurs pays afin de faire évoluer leurs infrastructures : routes, aéroports, médias, structures sportives, etc.
On constate bien le résultat : des pays européen pauvres, et autres états complices, ont pu voir leur pays monter d’un cran en termes de modernité ; vis-à-vis de pays africain ou sud américain aussi riche qu’eux ; mais que ces instances évitaient de sélectionner pour organiser des compétitions à leur tour. Et ça continue encore.
En dehors de l’image du pays organisateur, ce que je souhaite mettre en avant c’est le côté pervers de ces manifestations sportives comme elles sont effectuées aujourd’hui.
Les dérives des instances sportives aux profits des lobbys
Les institutions sont principalement occidentale. Elles ont le monopole des règles ; des organisations ; des retransmissions – en dehors du Qatar qui a beaucoup investi dans ce domaine. Ces institutions gèrent même les arbitres, les équipes et les joueurs jusqu’à leurs transferts.
Ces organisations, comme la FIFA pour le football ou de type CIO pour l’athlétisme, imposent leurs règles à l’intérieur du pays qui a souhaité organiser, et qui a aussi accepté leurs conditions. De ce fait, se pensant en force, elles osent dépasser certaines limites envers les états participants. Ces limites allant au-delà du cadre sportif ; mais du point de vue idéologique.
C’est ainsi que nous trouverons des lobbys décadents, et à l’opposé des règles du pays organisateur ou des états participants, tenter de faire pénétrer leurs idées durant cette compétition ; comme si cela allait de pair. Ces idées de subversion voire de soumissions carrément appuyées par des médias extérieurs, plus puissant, qui invoqueraient une liberté de pensée, ou de tenue, dans la compétition, et hors de leurs frontières.
Des chevaux de Troie idéologiques non souhaité ; mais qui profitent de la situation en mélangeant spectacle et idéologie.
Ces comités sportifs ne le font pas à n’importe qui.
Ils ont tenté de faire pression au Qatar, en voulant introduire l’idéologie LGBT, lors de la dernière coupe du monde de football : un échec, mais ils ont insisté.
Les idéologies manifestées ouvertement dans le sport
Pour l’affaire de l’Ukraine, les mêmes comités sportifs internationaux avaient interdit à la Russie toutes leurs compétitions ; mêlant, sans retenu, le sport et la politique : pourquoi pas ?
Là où cela devient contradictoire, c’est lorsque des athlètes algériens avaient refusé d’affronter en judo des athlètes de l’entité juive sioniste qui tuent des Palestiniens : ce qui est encore plus flagrant aujourd’hui.
Dans ces cas là, les organisateurs ont tout simplement disqualifié les athlètes algériens, tout en demandant leurs radiations, suite aux ordres de leurs commanditaires, dont fait partie le lobby juif sioniste ; au lieu de respecter leur volonté politique de dénoncer ouvertement des meurtres. Ces courageux athlètes algériens étaient décidés à renoncer à leur compétition ; qui pour eux était devenue secondaire : malgré tout leurs efforts pour arriver à ce niveau de compétition.
Leur choix était fait ! Celui de dénoncer le crime envers le peuple palestinien ; commis par l’entité juive sioniste représentée par cet athlète.
Le comble ? Personne ou presque ne les a soutenus.
Il y a donc, ainsi, pour ces instances sportives occidentale, la bonne attitude politique et la mauvaise.
Comme je pense l’avoir montré, en fait, la bonne attitude est à chaque fois celle prônée par le bloc occidental et ses lobbys. Ces déviances dans le sport, que je mets en avant, ne sont que du fait des pays qui détiennent les commandes des instances sportives : les Pays occidentaux et leurs acolytes ; eux qui veulent imposer leur modèle de pensées : si on peut appeler ça : pensée !
Toujours est-il, que l’on ne compte plus les chantages lors des tournois sportifs, souvent aux mêmes états, en particulier musulman ; comme celui de porter la tenue aux couleurs du lobby LGBT ; ou de ne pas faire le jeûne du ramadan ; ou de ne pas refuser d’aller jouer contre l’équipe de l’entité juive sioniste en Palestine occupée ou ailleurs, etc.
En fait, pour participer actuellement à un tournoi, quel qu’il soit, il faut accepter des comportements qui n’ont plus rien à voir avec la pratique du sport ; parce que les pays occidentaux et les juifs sionistes l’exigent.
C’est là, où je souhaite faire aboutir ma réflexion !
Qu’importent les raisons des pays qui acceptent cette mascarade !
L’Algérie doit quitter ces organisations et pratiquer le sport comme un loisir tout en cherchant l’exploit ; mais dans la dignité et l’honneur.
Elle peut déjà organiser les tournois nationaux et locaux. Elle a déjà de quoi répondre à l’envie des amateurs de football locaux.
Ces infrastructures sont déjà aux normes internationales ; puisque ces normes ont été mises en place par les institutions internationales existantes ; d’après leurs visions ; leurs règles de sécurité et vérifiées par elles.
Ensuite, l’Algérie pourrait, avec les pays qui le veulent, et en dehors de ces instances malfaisantes, organiser des rencontres amicales et de qualité. Les arbitres seraient plus intègres ; car il n’y aurait pas d’argent en jeu ou de promotion obscure qui puissent les pousser à tricher.
Cela serait suffisant !
Les amateurs veulent principalement voir du beau football !
Et pour cela, pas besoin d’organisateurs externes pour une rencontre conviviale ; ces cernier auraient sûrement diffusé le spectacle avec de plus gros moyens ; mais tout en organisant, en parallèle, des paris et autres subversions pour rentabiliser leurs investissements.
D’où ma satisfaction lorsque j’ai appris que le BRICS songeait à organiser des jeux olympiques ; ce qui rejoint ce que je préconise ici ; mais pour moi, il faut le faire pour toutes les manifestations sportives ; si on fait allusion qu’au domaine sportif.
De même, pour les deux Coupe d’Afrique des nations de football (CAN), de 2025 et 2027, où l’état algérien, par le biais de la FAF a décidé de ne plus les organiser. C’est un bon début ! Mais quelle en était la vraie raison ?
Pour ma part, si l’état algérien ne veut pas quitter ces instances sportives tricheuses et « ingérentes » ; pour la santé mentale de son peuple et de son intégrité, je lui demanderai ceci :
« N’organisez plus rien ! »
Mais j’irai plus loin !
Concernant les rencontres avec match aller et retour. Notamment pour la rencontre qui doit être effectué à l’extérieur pour l’Algérie; si le pays n’a pas les infrastructures pour recevoir, ce sera à la CAF de lui en trouver ; mais ce ne sera pas à l’Algérie de mettre à disposition les siennes. Elle n’est pas obligée ! L’Algérie ne doit plus être disponible et gentille.
La CAF sait être dans la fourberie ; hé bien, qu’elle continue !
Elle dépanne très souvent l’état sioniste marocain ; jusqu’à fermer les yeux sur les tricheries dont il est devenu un spécialiste. Ce dernier, bien que complètement pauvre, ose proposer son pays à l’organisation de tournois ; et même vouloir recevoir les matchs quand une équipe n’a pas de stade valable.
Mais où trouve-t-il l’argent ?
Après le tremblement de terre, les équipements sportifs ont été affectés et leur sécurité mise en défaut et à revoir ! Et voilà que la CAF, corrompue jusqu’à la moelle, accorde, à ce Maroc sans moyens, l’organisation de la CAN pour 2025 ?
Mais la vie des gens ça compte ou pas ?
Tant pis des conséquences pour les équipes et les supporters ? Qu’il organise tous les tournois qu’il veut avec la bénédiction de la CAF !
Si l’Algérie se retirait de la FIFA ; donc de la CAF ; elle mettrait ces institutions corrompues dans la panade. Le misérable Maroc ne pourrait plus organiser quoi que ce soit. Les autres pays africains n’ont rien ou si peu à proposer.
Ils s’entredéchireraient.
En tous cas, peu importe ! La Fédération algérienne de football (FAF) doit prendre ses distances ; et ainsi elle pourra limiter non seulement ses dépenses ; mais en même temps son énergie : les supporters seront moins excités et détournés de leurs priorités.
Chaque rencontre de l’équipe nationale algérienne, gagnée ou perdue, se transforme en pugilat et en dénigrement médiatique. Que de souffrance inutile !
La bataille est perdue. Trop d’organisations contre l’Algérie.
Je pousse à dire : « Plus de FAF de cette sorte ! » ; créer juste une organisation algérienne de gestion du football en Algérie.
Conclusion :
Sortir des institutions sportives qui sont subversives et pratiquer chez soi et avec ceux qui sont dans la même optique. Arrêter de penser qu’il faut des moyens démesurés : ceux qui pensent ainsi sont les fameux fanatiques dont j’ai fait allusion au début de ce texte ; qui ne voient pas le sport autrement qu’à travers ces instances où ils sont abonnés jusqu’à s’endetter; les états ont de quoi organiser des rencontres.
Ne sont-ce les équipes et les supporters qui font le spectacle ?
Ce qui est sur, c’est que la haine et la détresse des Algériens, suite aux injustices de la CAN 2021, du match de barrage à la coupe du monde et autres irrégularités, ne doivent plus arriver.
Ne pouvant changer les institutions existantes ; car trop vérolées et devenues mafieuses, la solution est de ne plus en faire partie ; d’en créer des nouvelles s’il le faut.
Beaucoup de pays souhaitent le faire ; mais l’Algérie le peut et le doit !
Non seulement pour son intégrité ; mais aussi, et surtout, pour la santé de son peuple qui devient fou avec toutes ces histoires qui le détournent de ces priorités.
Le gouvernement doit agir et vite.