Lettre à L’AES, et à Franklin Nyamsi, le tirailleur médiatique de la France «à fric» (Partie1)
Contre l’Algérie et son peuple, les coups pleuvent comme une pluie politique torrentielle en continu, puisque après l’échec de la « révolution colorée », engagée par les serviteurs du colonialisme moderne, et dans la continuité du « tsunami de la haine » déversé par les médias coloniaux du FMI (France-Maroc-Israël), les dirigeants maliens et ceux de l’AES (Mali-Niger-Burkina Faso) ont pris le relais pour assurer la continuité de la guerre constante, menée contre le seul État qui soutient toujours les peuples Sahraoui et Palestinien, dominés par le royaume tortionnaire du Maroc et celui du régime génocidaire des généraux de Tel-Aviv.
Reprenant exactement le même « narratif » colonial, utilisé aussi par les dirigeants maliens (on évitera de parler de putschistes, par respect du peuple malien de Modibo Keïta), Franklin Niamsy , dans une récente production, a donc fait un copié-collé de la propagande fabriquée dans les laboratoires des maîtres de la guerre, sur la neutralisation du « drone-tueur », par les forces de défense aérienne d’Algérie.
Il présente cette redoutable arme de destruction de masse et d’espionnage, qui a fait ses preuves sur les nouveaux champs des guerres mondiales (Ukraine, Syrie, Azerbaïdjan, …), comme étant un simple « cerf-volant touristique » en carton, survolant l’espace aérien frontalier entre l’Algérie et le Mali.
Surtout qu’Assimi Goïta, la marionnette voisine du Sud du Makhzen, n’a pas annoncé sa visite armée de courtoisie, par effraction. Bravo à ce grand garçon, qui a sans doute fait ses études de sorcellerie géopolitique avec Harry Potter, à Poudlard, en compagnie d’Ali Bensaad, le « pingouin-complotiste » qui a décroché le « Zelig d’Or », afin de sauver l’empire colonial français à l’IFG (Institut Français de Géostratégie).
Donc, en plus des médias coloniaux classiques, cette campagne de haine est amplifiée par des influenceurs médiatiques, appelés « chauffeurs de foules » en Afrique, dont ce célèbre tiktokeur « Franklin Nyamsi », qui a acquis le statut de révolutionnaire en France, grâce à la stratégie de fabrication de victimes du système colonial.
Nous ne nous étalerons pas sur ce sorcier politique, qui passe un temps de dingue à façonner les esprits africains au moyen de la médiocratie ambiante française, afin de reproduire le système de la « France à fric » à l’envers, sous couvert d’un panafricanisme souverainiste inversé !
Ce n’est pas la première fois que ce « mercenaire de la pensée », doublé d’un « intellectualisme à gage » de l’activiste Kand Levant, s’en prend au peuple algérien; on peut même dire que ce « fou exhibitionniste » de Valsero (qui l’a mis à nu dans sa guerre vacillante contre le Cameroun, avec ou sans Maurice Kamto ?) qui se vend au plus offrant, se sent à l’aise dans cette mission…
Depuis son salon parisien, cet ancien membre du Parti Socialiste (en fait Parti Sioniste) est allé jusqu’à proposer une révolution colorée au peuple Camerounais, en appelant les citoyens à bloquer leur propre pays, afin que la France qui le cultive en Che Guevara africain, vienne en cueillir le fruit mûr.
Ce courageux « opposant » (titre que les colons attribuent à leurs serviteurs) en carton qui envoie les citoyens africains vers la mort depuis la France, n’a même pas assisté aux obsèques de sa maman, le 14 septembre 2019 à Douala, prétextant des « menaces de mort » dont il serait victime. Il envoie donc le peuple se faire canarder depuis sa loge médiatique, puisqu’il est trop occupé à tisser une révolution à distance grâce aux enseignements qu’il a acquis au parti socialiste français de François Mitterrand, le guillotineur du peuple algérien.
Son parcours de « panafricaniste » se mesure aussi au moyen de ses fréquentations avec le clan Lassane Ouattara (bien qu’il fasse semblant de s’y opposer), le Président-mercenaire de la « France à fric », puisqu’il a été le conseiller de Guillaume Soro, ancien Premier ministre, ancien ministre de la Défense, ancien président de l’Assemblée nationale, du « paradis colonial » français.
Il a même consacré une œuvre entière « Phénoménal Guillaume Soro », à celui qui va sans doute planter Laurent Gbagbo, après avoir quitté celui qui était un acteur majeur de Ouattara. Gbagbo n’a donc rien appris depuis son éviction, son arrestation et son emprisonnement à la CPI ? Ce n’est pas méchant, Franklin Niamsy lui offrira 30 moutons de la part de son « ami-mouton » Assimi Goïta, le Général de Bamako, qui l’avait reçu en audience le 8 février 2022, pour le compte de Guillaume Soro! Chez Franklin Nyamsi, le sorcier politique, tout se vend et tout s’achète au moyen de son anémomètre boursier.
Selon des bruits qui courent, Franklin Nyamsi n’a pas rencontré que le général Assimi Goïta, le 8 février 2022. Il aurait aussi ramassé la mise d’or chez l’influenceuse Fatoumata Batouly NIANE, la déesse malienne assise sur les mines du peuple malien, qui quémande la « Sadaka » dans toutes les rues du Mali et d’Algérie.
Presque inconnue avant 2020 dans le cercle très fermé de la Jet-set malienne, Fatoumata Batouly NIANE, la soudaine multimilliardaire de Bamako a tout le Mali politico-militaire à ses pieds. Elle est à la tête d’une organisation politique appelée « An biko », et dirige l’empire malien « CEO TOULY’S », qui s’est approprié des pans entiers de l’économie du pays : Travaux publics, bâtiments, agro-alimentaire (avec Touli Bonbon), assainissement, communications, … Mais surtout l’extraction, le raffinage et la commercialisation des pierres précieuses, dont les mines d’or maliennes, là où crèvent les petits enfants maliens.
Cette influenceuse dorée, dont la fortune est tombée du « ciel des mines d’or », a été parrainée par son oncle Aliou Boubacar Diallo, le premier pilleur de l’or du peuple malien (Président-directeur général de Wassoul’or) et à la tête du parti politique «l’Alliance démocratique pour la paix-Maliba » (ADP-Maliba). Quant à Binta Niane, la sœur de la déesse d’or de Bamako, elle partage le fauteuil doré d’«An Biko » pour mettre à genoux le peuple malien d’en bas, sous couvert de lutte contre la pauvreté et l’exclusion.
Alors, Monsieur le tirailleur Franklin Nyamsi, vous : le professeur tiktokeur de Rouen et défenseur des pauvres maliens de la « sadaka », vous n’avez rien vu des mines d’or de Fatoumata Batouly NIANE ni de celles de son oncle Aliou Boubacar Diallo ? Qui sont les pilleurs du Mali ?
Puisque Franklin, le tirailleur africain, aime le royaume du cannabis d’André Azoulay, à qui il voudrait refiler le projet du gazoduc NIGAL « Nigeria-Europe » en faisant faire le tour du continent à ce tuyau (traversant pas moins de 13 pays et surtout en entérinant la colonisation du Sahara Occidental), vu que la ligne droite n’est pas le plus court chemin, il doit-être comblé de voir Fatoumata Batouly NIANE, distinguée par le régime du monarque de la pédophilie du prix PADEL (Prix de Leaders d’Afrique de la collaboration « panafricaniste »), le 12 juillet 2024, à l’hôtel « Sofitel » de Casablanca.
Ce prix de la collaboration est destiné à effacer les massacres des migrants déplacés de leur terre par les multinationales des « droits de l’Homme blanc», en juin 2022, à la frontière narco-espagnole, où au moins 27 d’entre-eux ont été assassinés et 70 ont été portés disparus…
Sans trop nous « étaler » sur la monarchie terroriste de Rabat, qui constitue le bras armé de l’impérialisme français, et le relais de l’apartheid du régime génocidaire des généraux de Tel-Aviv sur le continent africain, n’est-il pas de notre devoir de nous interroger sur les éloges consacrés par le tirailleurs Franklin Nyamsi, et ses comparses, au monarque « MarocAfric », pilleur du Gabon et des peuples africains, qui détient même une partie du territoire gabonais : comme l’île de la Pointe-Denis ?
Tant qu’on y est, Monsieur le tirailleur « néo-indigène » Franklin Nyamsi, pourriez-vous nous expliquer le rôle de la pègre conduite par El Hadj Ahmed Ben Brahim, alias « Le Malien » ou encore « Le Pablo Escobar du désert », qui travaille la main dans la main avec le système des narcotrafiquants internationaux du Makhzen? Surtout lorsque l’on connaît les liens étroits entre le trafic de drogue et le terrorisme! L’incontournable « Malien » baron de la drogue dans le Sahel, et à la tête d’une grosse filière criminelle transnationale, serait directement impliqué dans le blanchiment de l’argent de SBTX (Société Bioui Travaux), l’une des plus puissantes sociétés du régime royal d’André Azoulay.
Vous nous direz, Monsieur le « tirailleur africain », si l’argent du trafic de la drogue récolté en Afrique n’est pas recyclé dans les travaux publics marocains, dans la construction des autoroutes et barrages, et même dans le tramway de Casablanca!
Par la même occasion, vous qui prétendez défendre la souveraineté des peuples africains, pourriez-vous nous expliquer la formation, chez ce « monarque du cannabis », de plus de 3000 Imams pour 9 pays africains, entre 2015 et 2022, encadrés par des professionnels du terrorisme international, à l’Institut Mohamed VI de Rabat ? Si 500 correspondants professionnels du Makhzen ont été formés religieusement entre 2015 et 2018 (dans ce lieu de formation du terrorisme international), le 4 janvier 2025, une cérémonie de décorations (remise de diplômes) a eu lieu au Centre International des conférences de Bamako, pour célébrer une centaine de promus, (300 suivront), de ce même institut du terrorisme international.
Cette cérémonie a été présidée par le Général de division Abdoulaye Maïga, Premier ministre, ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation. A moins que le Mali ne puisse pas former ses propres imams (ce qui serait un drame pour ce pays), et doit s’en remettre à un institut de formation du royaume du terrorisme international, pour alimenter le MUJAO (Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest) qui avait assassiné Tahar Touati, un diplomate algérien, et kidnappé Mourad Guessas et Kedour Miloudi, deux autres diplomates algériens, en avril 2012! Au total, sept diplomates algériens, dont le consul à Gao: Boualem Saïes, et six de ses collaborateurs, avaient été enlevés le 5 avril 2012 par le Mujao (branche d’Al-Qaïda du Makhzen, dirigée par Mohamed Yassine Mansouri, sous la houlette d’André Azoulay ), qui contrôlait cette ville du nord-est du Mali.
Dans le domaine d’excellence du terrorisme international que détient le royaume de l’espionnage (Pegasus) et de la corruption (Maroccogate), il serait utile d’illuminer nos lanternes sur les menaces brandies par le Colonel Abdoulaye Maiga le 25/01/2024 (porte-parole du gouvernement), d’accueillir le groupe terroriste du MAK (Mouvement terroriste identitaire racialiste et fasciste) parrainé par l’entité sioniste, financé par le royaume de la drogue (selon son ancien trésorier (le MAK perçoit 250 000 €/mois du Maroc), et basé en France.
Le Mali, qui prétend lutter contre le MNLA (Mouvement national de libération de l’Azawad), a offert cette porte d’entrée à une multinationale du terrorisme international fabriquée par le FMI (France-Maroc-Israël).
Doit-on rappeler que ces organisations se réunissent à Paris, sous l’égide des services secrets français ? Doit-on rappeler que le missionnaire Bilal Ag Acherif rencontre les groupes islamistes de « Rachad » à Londres ? Enfin doit-on rappeler que la prise en charge politique et la promotion de ces deux organisations sont assurées par le Corse François ALFONSI, député européen: « Les Verts-ALE », qui rêve de voir l’entité sioniste détenir le pouvoir géostratégique sur toute la Méditerranée (projet de l’UPM : Union Pour la Méditerranée), afin que la France maintienne son colonialisme en Afrique ? François Alfonsi, un racialiste « blanc » déguisé en écolo, est le député qui a introduit Moussa Ag Assarid, non seulement aux « Ghjurnate internzionale di Corti », mais aussi au Parlement Européen gangréné par la corruption de ses membres avec l’argent de la drogue de votre « ami le roi » du cannabis.
Monsieur le tirailleur de la « France à fric », c’est juste par hasard que des drapeaux marocains, distribués par les agents des services secrets de Yacine Mansouri, sont apparus lors du rassemblement organisé en face de l’ambassade d’Algérie à Bamako, le mardi 8 avril 2025 ?
Participant au « Forum de Crans Montana » (du 24 au 26 avril 2025) du royaume de la drogue et du terrorisme international à Casablanca, Abdoulaye Diop, le « sinistre » malien des affaires étrangères et de la Coopération terroriste internationale au Sahel, qui est allé faire allégeance à André Azoulay dans la colonie sioniste, a « salué le Maroc pour son rôle constructif en Afrique, remerciant le Roi Mohammed VI pour son leadership en matière de transformation, d’ouverture et de solidarité, et soulignant l’importance de l’appui constant du Maroc aux pays de l’AES ».
Si cette déclaration constitue une clarté foudroyante (implication directe du Maroc) sur le drone qui a été abattu dans la nuit du lundi 31 mars au mardi 1er avril,(date de célébration de la fête de l’Aid El Fitr) à la frontière algéro-malienne, elle renseigne aussi sur le plan franco-maroco-sioniste d’encerclement de l’Algérie par le Sahel avec des pseudo-panafricanistes au service du néocolonialisme.
Sachant que c’est le régime d’apartheid des généraux génocidaires de Tel-Aviv qui surveille le ciel au Sahel, à travers ses sociétés militaires IAI, Elbit et Mer, depuis octobre 2023, Franklin Nyamsi pourrait-il nous expliquer la signature ( entre le général de brigade Abdelghani Mouhib et le général de brigade Mahamadou Massaoulé Samaké, conseiller stratégique à l’état-major général des armées du Mali) des accords stratégiques entre le Mali et la colonie sioniste d’André Azoulay, tenue le 19 février 2025 au ministère malien de la Défense et des Anciens combattants à Bamako ? Le Chef d’état-major général des armées maliennes, le général de division Oumar Diarra, a exprimé sa satisfaction quant à la tenue de cette réunion, la qualifiant de conforme à la vision politique du général d’armée Assimi Goïta. Le Mali souverain ne forme t-il pas ses militaires au royaume d’Israël et celui du terrorisme international, pour installer un autre Abou Mohammed al-Joulan dans la région ?
(Partie2)
Monsieur le « tirailleur médiatique » de la « France à fric », puisque vous considérez que c’est l’Algérie qui est le bras de l’OTAN en Afrique (et non la monarchie du hachisch d’André Azoulay qui accueille les exercices militaires impérialistes « African Lion »), pourriez-vous démêler les enchevêtrements des services secrets occidentaux (USA, France, Allemagne, Angleterre, Suisse, Belgique, Pays Bas, …etc) infestant tout le Sahel ?
Il y a à boire et à manger avec l’AFD (Agence Française pour le Développement), l’Allemagne avec la Konrad-Adenauer-Stiftung et Friedrich-Ebert-Stifting, les Belges avec leur agence de développement « Enabel », Caritas Suisse et la Fondation Hirondelle (gère des médias d’envergure nationale-Studio Tamani), USAID de l’oncle Sam, l’ONG hollandaise PUM, l’agence norvégienne « Norad » de développement…etc.
Au Mali, rien qu’en 2014, pas moins de 22 radios ont été enrôlées par la NED (National Endowment for Democracy), une filiale de l’USAID, et donc de la CIA! C’est la NED qui mène la danse au Mali, puisque cela a été rendu public, le 10 juin 2019 par Azaz Ag Loudag Dag, premier Vice-Président du Haut Conseil des Collectivités (HCC), en compagnie de Badié Hima, le Directeur-résident-senior du NDI (National Démocratic Institute), chargé de mettre en place le programme concocté dans les laboratoires impérialistes américains.
Comme pour les autres peuples des pays du Sud, cet encerclement médiatique du peuple malien correspond précisément à l’un des bras fondamentaux de la stratégie des guerres de 4ème génération (appelées G4G), indispensable pour mener à bien les guerres cognitives préalable aux chaos structurels envisagés dans des zones visées par les puissants.
La particularité dans le Sahel, réside dans l’accompagnement de ses agressions des peuples par les dirigeants des pays respectifs, qui prennent officiellement leur feuille de route au royaume de la drogue.
Encore mieux, vous qui êtes noyé dans votre écran de fumée, pourquoi ne parlez-vous pas du financement par la NED (National Endowment for Democracy) de la plate forme « OBSERVATOIRE » (constituée de 36 ONG et Associations de la société (dite) civile malienne et présidée par Ibrahima Sangho), censée mener la transition au Mali ? Nous vous laissons le soin de faire le lien entre ces ONG maliennes formées par la NED et les dirigeants de la transition du Mali, qui font leurs courses politiques dans les palais du royaume d’Israël d’André Azoulay.
Sur le même registre, et pour lever le voile sur le verrouillage de l’information dans l’AES par le « SAHELIEN », un centre de désinformations de l’Open Society Initiative for West Africa (OSIWA) de Georges Soros et du Groupe Klédu (Mali) de Mamadou Sinsy Coulibaly (surnommé « Coulou »), le businessman (activités dans les médias, l’industrie, le tourisme, les services ou l’agriculture) pilleur du Mali qui a dirigé le conseil national des entreprises du Mali.
Mamadou Sinsy Coulibaly est l’une des figures du grand capital malien, au service des intérêts des multinationales prédatrices qui organisent les déplacements des populations de leurs terres, afin de s’en accaparer et d’étendre l’influence des régimes coloniaux occidentaux.
Ces multinationales occidentales sont les principales entreprises de l’esclavage moderne et de la traite d’être humains, au moyen du trafic des migrants africains, qui font déplacer des centaines de milliers de personnes, avec la collaboration des bourgeois locaux, comme Mamadou Sinsy Coulibaly, Fatoumata Batouly NIANE (Touly’s Group), Aliou Boubacar Diallo (Wassoul’or), Mossadeck Bally (Azalai Hotels), Ibrahima Diawara (groupe IBI), Seydou Kane (homme d’affaires dans l’immobilier, agro-alimentaire et le pétrole), Basseydou Sylla (société Sylla Transit Transports), …etc.
Peut-être que vous devriez vous occupez du charognard « Coulou » qui a fait une jolie fortune ( 25 millions de chiffre d’affaires annuel rien qu’avec « Malivision ») sur le dos du peuple malien avec son entreprise de pompes funèbres « spécialisée dans les enterrements à l’africaine », tout en déclarant à côté de Pierre Gattaz (le patron des patrons du MEDEF en France) lors d’une conférence de presse organisée à Bamako le 13 janvier 2017, à l’occasion du forum économique de la « France à fric » : « Au Mali, il n’y a pas la culture du travail ».
Monsieur le tirailleur médiatique de la « France à fric », s’il vous manque des données pour compléter le tableau noir de « l’Afrique des libertés » que vous tentez de confisquer, vous pouvez vous adresser à Choguel Kokalla Maïga, l’ancien premier « sinistre » du Mali, lequel est aussi outillé d’une langue pendue comme une cravate, afin de nous éclairer sur sa démarche (symbolique dit-il!) d’administrer la première dose de vaccin Johnson & Johnson contre le « Covid 19 » à Cheryl Anderson, la Directrice de l’USAID au Mali, le lundi 23 août 2021… Après cette promotion du vaccin de l’USAID, n’est-il pas légitime de penser que Choguel Kokalla Maïga a des liens avec la CIA ?
Enfin, on attend toujours les explications géographiques de l’AES et de Franklin Nyamsi, le tirailleur médiatique de la « France à fric », sur la convocation des trois pays de l’AES, le 23 mars 2023 à Marrakech, par le Makhzen, qui leur a proposé un accès à l’Océan Atlantique.
A moins de sortir de l’école des reptiles du Makhzen, ou d’être frappé d’une amnésie géographique généralisée, la lecture politique de cette escalade néocoloniale vise non seulement à exploser l’Union Africaine, en entérinant la colonisation du Sahara Occidental, mais aussi à faire exploser la Mauritanie et dissoudre le Mali dans le Grand Maroc. Assimi Goïta, le général de Bamako et les dirigeants maliens, ne font pas le parallèle entre le Grand Israël et le Grand Maroc, eux qui ont déjà normalisé leurs relations avec les généraux génocidaires de Tel-Aviv, par l’intermédiaire du royaume de la drogue et de la pédophilie d’André Azoulay.
En attendant, la « France à fric » continue de tisser sa domination, avec la complicité d’une élite vendue aux colons, comme elle l’a exprimé lors du colloque qu’elle a confectionné le 14 avril 2025, au Palais du Luxembourg, siège du Sénat français, afin que les populations du Sahel continuent à être livrées aux « négriers indigènes » de la traite humaine dans le désert.
C’est Arnaud Benedetti, l’un des fascistes du système colonial français, et ami de Boualem « Sent Sale », qui a conclu cette messe basse sans le curé Franklin Nyamsi, le tirailleur médiatique de la France « à fric » qui pratique à merveille l’Uberisation de la politique en Afrique.
Le Mali est sur la voie du royaume du cannabis, maillon faible du continent africain et bras armé de l’impérialisme mondial.
Source: Algérie54