Par Mr Hassen Kacimi
La télévision Allemande humilie le roi Mohamed 6 et le présente aux Allemands, sous sa véritable nature,un homme à deux visages.
L’image d’un roi bon enfant et démocrate, une image qui a été véhiculée, depuis longtemps, dans l’opinion publique européenne, grâce à de puissants lobbys.
Un documentaire Allemand (LA VIDEO), écorne et abîme l’image d’un monarque,dévoilant les dessous d’une famille royale, vorace, affairiste et corrompue.
Nous ne sommes pas à une seule frasque près de Mohamed 6, qui dés son jeune âge, son père Hassan 2 a été informé, discrètement, par ses services spéciaux, que son fils avait des deviances et des relations douteuses.
Un sujet tabou qui a été gardé au secret, par la Cour du roi, pendant fort longtemps, jusqu’à l’arrivée, par effraction, des frères Zaatar, qui ont mis à nu les dessous immoraux et pervers de la vie privée du roi.
Le roi Mohamed 6 et sa Cour, pris de panique, ont actionné leurs relais, en Allemagne, pour tenter de bloquer la diffusion de ce documentaire, comme ils ont déjà tenté, autrefois, de le faire, pour le livre de Catherine graciet et Éric Laurent, intitulé, le roi prédateur Mohamed 6.
Mohammed VI, roi du Maroc, est désormais le premier banquier, le premier assureur, le premier entrepreneur de bâtiments de son pays.
Il joue un rôle dominant dans l’agro
les assurances, la grande distribution, l’énergie, les télécom et le trafic de drogue.Le Maroc est passé dans le sommier de consistance du livret foncier de la famille royale, faisant des marocains des sujets appauvris, taillables et corvéables à merci.
Les relais de la corruption du roi Mohamed 6, au sein de l’Union Européenne, ne sont plus ce qu’ils étaient. Ils ont, depuis les derniers scandales, perdu beaucoup de terrain et beaucoup d’influence.
Les diplomates Marocains ne sont plus autorisés à déambuler, les poches remplies de l’euro haschich, dans l’hémicycle de l’UE.
Le roi Mohamed 6 et ses réseaux de corruption n’ont pas réussi à bloquer la diffusion de ce documentaire, sur les chaînes de télévisions Allemandes.
Ce documentaire nous montre comment le roi Mohamed 6 a réussit, dés son accession au trône, à construir l’image d’un monarque démocrate, qui se démarque des crimes de son père Hassan 2, connu pour ses bagnes secrets, comme Tazmamart, une prison secrète, pour prisonniers politiques.
Pour faire oublier l’image de son père Hassan 2, le géolier en chef de Tazmamart, Mohamed 6, a mis en place la commission nationale de réconciliation, pour absoudre son père de tous les crimes et assassinats politiques du Maroc.
L’Instance équité et réconciliation a été mise en place le 12 avril 2004, par le roi Mohammed VI, dans le but de ”réconcilier le peuple marocain avec les crimes ignobles du roi Hassan II”.
Sur les décombres des tristes méfaits de son père, Hassan 2, Mohamed 6 a construit l’image ‘d’un monarque, ”soucieux des libertés, proche de son peuple, ouvert et attentif à ses misères”.
C’est un documentaire qui nous presente deux versions, une version officielle, d’un roi jeune, adoré par son peuple, mais qui nous raconte, en deuxième partie, la vraie version d’un Maroc, livré à un roi obcéne, peu vertueux, prédateur, subversif, préoccupé par le business, la alaouisation de l’économie et l’appropriation des richesses de ce pays, par la famille royale.
Selon le FMI, le revenu de la corruption, dans ce pays, représente 2,5 milliards de dollars, l’équivalent de l’ensemble des besoins sociaux de la population Marocaine, que le budget de l’État n’arrive pas à couvrir.
Des pans entiers de la population Marocaine ont été livrés à la drogue, à la précarité et à la pauvreté.
Le Maroc a été transformé, par un roi pervers, en terreau de la prostitution, où une pédophilie occidentale, de la Jet Set de la cocaïne, de la LGBT, et autres fléaux de la modernité occidentale, qui arrivent, dans ce pays, en terrain conquis, à Marrakech, dans des riyads de jouissance, pour accomplir le pèlerinage des nouvelles sensations perverses.
Le plus vieux tabou a été desacralisé par la population Marocaine, qui n’hésite plus à critiquer la famille royale, dont la fortune colossale dépasse les 10 milliards de dollars.
Les langues se délient, et à Rabat, la classe politique, dans une parfaite communion et symbiose, prenant la forme d’une thérapie collective et bienfaitrice, défie un roi prédateur, soutenu par le makhzen/Camora, prenant la forme d’une véritable pieuvre, avec ses tentacules géantes et mafieuses, prenant en otage, tout un peuple et tout un pays.
Des personnalités du monde de l’économie et de la politique, au Maroc, montent au créneau, pour dénoncer l’echec de la politique du roi, qui a fortement endetté le pays, dans des mégas projets, qui n’ont pas réussi à réduire le taux de chômage de 30%, au sein de la population et qui touche particulièrement la jeunesse.
La stratégie du roi, en matière de développement, a été un échec. Elle n’a pas réussi à créer les emplois tant promis à la population.
Selon un sondage effectué par une agence occidentale, 45% de la population Marocaine souhaiterait migrer et quitter le pays.
Le makhzen du roi a muté, en organisation sioniste, par une union illégitime, entre l’argent du cartel du hashich et la famille royale.
Le roi Hassen 2 recevait souvent, dans sa cour, les barons du cartel de la drogue, banalisant les pratiques mafieuses d’une olygarchie de la criminalité, soutenue par la famille royale.
L’argent de la drogue et de la cocaïne a permis aux cartels puissants de ces réseaux de criminalité transnationale Marocains, d’étendre leurs tentacules, au coeur de la monarchie, qui a cédé de nombreux pans de l’economie et du pouvoir, à ces nouveaux barons de la criminalité transnationale, qui concurrencent le roi, dans ses prérogatives régaliennes.
Les alliances de l’entité sioniste et du makhzan, sont stratégiques.
Elles sont fondamentalement encrées dans une idéologie coloniale, devant faire de ces Etats sionistes, des empires du mal, devant exproprier, par la force, d’autres territoires, dont les maîtres et les propriétaires légitimes sont connus.
Un monarque dénoncé, de plus en plus, par la classe politique Marocaine, pour avoir monopolisé tous les leviers du pouvoir, pour n’avoir pas tenu aussi ses promesses, devant réformer une monarchie gouvernante, en monarchie régnante.
Le Maroc, une monarchie dangereuse et belliqueuse, connue, maintenant, par ses scandales retentissants et à répétition, où la pauvreté et la misère sont le lot quotidien de tous les Marocains.
Le despotisme d’une famille regnante est une véritable violence, infligée au peuple, à son honneur et à sa dignité.
Les temps ont changé, le monde a changé et le roi continue à exiger de son peuple, à courber l’échine, devant leur pharaon, peu honorable et bien abîmé.
Un peuple et des sujets Marocains, sacrifiés sur l’autel d’une fausse divinité, cruelle, impure, qui refuse à son peuple, par de telles usages moyennageux, la fierté et la dignité.
L’ONU vient de frapper, avec la main de la légalité internationale, un makhzan, qui croit encore que la Sahara occidental est sans maître et sans propriétaire.
Les Nations Unies viennent de publier la nouvelle carte des États Africains, avec l’Etat de la République Sahraouie, disposant de frontières distinctes du Maroc, comme cela a été mentionné dans toutes les résolutions de cette organisation internationale, notamment l’arrêt de la Cour Internationale de Justice.
Les manoeuvres du makhzan, devant faire croire que le Sahara occidental est une partie du Maroc, sont piteusement tombées à l’eau.
Les quelques pays qui soutiennent les thèses farfelues du roi Mohamed 6, ont été publiquement désavoués.
L’Algerie observe, de manière impassible, les manoeuvres répétitives et hostiles, d’un roi qui a ordonné à sa cour de parasiter l’action de l’Algerie, pour nuire à son prestige et à ses intérêts.
Le meilleur mépris est l’indifférence de l’Algérie, qui anticipe et voit l’ennemi ramper, pour le laisser, seul, s’enfoncer, dangereusement, dans le marécage des trahisons.
Biographie M. Hassen Kacimi :
- Chef de bureau ministère des transports- 1978 -1980
- Chargé de mission wilaya Tamanrasset, 1980 – 1984 .
- 1984 – 1998 – directeur administration territoriale
- Sous directeur de la circulation des personnes, ministere de l’intérieur , 1998- 2008.
- Directeur ministère de l’intérieur, 2008 – premier trimestre 2020.
- Président du comité interministériel , chargé de l’étude et du suivi des problématiques migratoires ( 2015 – premier trimestre 2020)
- Gestion des crises au sein du centre opérationnel ( 2015 – premier trimestre 2020)
- Représentation de l’Algérie , à l’étranger , en tant qu’expert.
- Expert international des flux migratoires, reconnu par des organisations onusiennes. Expert du Sahel et de la gestion des crises .
- Plusieurs communications, à l’université de sciences politiques et l’école des sciences politiques, ainsi qu’à l’école de guerre de Tamentfoust et l’institut des études stratégiques globales ( INESG )
- Distinction de l’institut fédéral allemand des hautes études de sécurité .
