Macron réduit en minorité par le lobby maroco-sioniste, de l’extrême droite française, qui a déterré, encore une fois, la hache de guerre contre l’Algérie.
Après une petite lueur d’espoir de normalisation entre l’Algérie et la France, le président du Sénat, monsieur Larcher, vient de faire exploser cette perspective prometteuse d’un retour à des relations saines, en faisant recevoir, au sein de son hémicycle, le terroriste Ferhat Mhenni et son adjoint Aksel Belabbas, tous deux condamnés et recherchés par la justice algérienne et par Interpol.
Encore une fois, après un feuilleton macabre d’une escalade anti-algérienne, menée par des voleurs de l’extrême droite française, accusés de détournement de fonds publics, la droite et l’extrême droite viennent de récidiver en déterrant la hache de guerre contre l’Algérie, qui en a pris bonne note.
Le Sénat algérien vient d’être conforté dans sa décision de suspendre toute relation avec le Sénat français, qui joue un jeu très dangereux en entraînant la République française dans de nouvelles expéditions coloniales en Afrique.
La France doit en assumer les conséquences.
La France est enfoncée dans une crise politique sans fin, aggravée par des scandales financiers qui détruisent le peu de réputation qui reste à cette République française choucroutière.
Marine Le Pen, lourdement condamnée par la justice française, a réussi à faire éclipser l’Algérie dans les rédactions françaises de la propagande sioniste.
La droite française au secours de l’extrême droite française, qui vient au secours de Marine Le Pen pour détourner l’attention de l’opinion publique française, choquée par le niveau de corruption de ses gouvernants et de son élite politique, gangrenée par le vice, la débauche et la kleptomanie.
Retailleau ne sera pas reçu en Algérie. Darmanin et Barrot, s’ils doivent se déplacer en Algérie, ne seront pas reçus par le président Abdelmadjid Tebboune.
Le président Macron, qui a sollicité une grâce pour le plus grand espion de la France en Algérie, Boualem Sansal, ne sera pas libéré… sauf si la France accepte de faire un deal avec l’Algérie pour extrader toutes les personnes criminelles condamnées par la justice algérienne.
Biographie M. Hassen Kacimi :
- 1984 – 1998 – directeur administration territoriale
- Sous directeur de la circulation des personnes, ministere de l’intérieur , 1998- 2008.
- Directeur ministère de l’intérieur, 2008 – premier trimestre 2020.
- Président du comité interministériel , chargé de l’étude et du suivi des problématiques migratoires ( 2015 – premier trimestre 2020)
- Gestion des crises au sein du centre opérationnel ( 2015 – premier trimestre 2020)
- Expert international des flux migratoires, reconnu par des organisations onusiennes. Expert du Sahel et de la gestion des crises .
- Représentation de l’Algérie , à l’étranger , en tant qu’expert.
- Plusieurs communications, à l’université de sciences politiques et l’école des sciences politiques, ainsi qu’à l’école de guerre de Tamentfoust et l’institut des études stratégiques globales ( INESG )
- Distinction de l’institut fédéral allemand des hautes études de sécurité .
Source : Hassen Kacimi
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Citation:
“Le président Macron, qui a sollicité une grâce pour le plus grand espion de la France en Algérie, Boualem Sansal, ne sera pas libéré… sauf si la France accepte de faire un deal avec l’Algérie pour extrader toutes les personnes criminelles condamnées par la justice algérienne.”
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Un extrait d’un de mes commentaires:
“Certains spéculent en avançant même l’idée de l’échanger contre d’autres Algériens recherchés par la justice algérienne ! C’est un sale procédé ! Cela donne l’impression d’une transaction « donnant-donnant » entre malfaiteurs impliquant une forme de prise d’otage ! C’est cette perception que les autorités françaises semblent véhiculer concernant l’affaire Sansal, plutôt qu’une question de violation des lois. Les principes, l’état de droit, les lois imposent que tous doivent répondre de leurs actes, tôt ou tard, devant la justice algérienne où qu’ils se trouvent sans aucune condition !”
Il est IMPORTANT d’insister sur cette affaire Sansal lorsque le recteur de la Mosquée de Paris y a mis son nez!!
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Le gracier ou le libérer mettra dans la gêne tout le peuple algérien et surtout tous les journalistes et analystes algériens qui ont pris parti dans cette affaire en ne cessant de défendre l’Algérie et ses principes par des centaines d’articles et de commentaires!
– Le recteur a dit: “Emmanuel Macron, a envoyé des émissaires à Alger, sans donner plus de détails. Hafiz, qui dit être en contact avec le président Tebboune, n’a pas voulu s’étaler davantage sur cette révélation, voulant vraisemblablement éviter de parasiter des pourparlers qui seraient en cours entre les dirigeants des deux pays.”
C’est ce que veulent justement ces dirigeants français… la “DISCRÉTION” et quand ils réussissent ils laisseront leurs fantasmes s’exprimer dans la presse pour l’opinion française au détriment de l’opinion algérienne qui se sentira grugée, humiliée !!
C’est les voyous qui dirigent la France qui auront gagné. Ils crieront haut et fort leur succès ! A leur tête le bougre Retailleau !
L’Algérie perdra alors tout en crédibilité (y compris le Président).
Que la France s’occupe de sa Mosquée. C’est une affaire pénale algérienne et non française.