“Tenez-vous loin des gens négatifs, ils ont un problème pour chaque solution”
(Albert Einstein)
Jamais au cours de ces dernières années aurons-nous assisté à un tel déferlement d’articles persifleurs, diffamatoires, à un tel battage. Sans l’ombre d’un doute, nous assistons bel et bien à une offensive médiatique sans précédent.
Il suffit de recenser les occurrences du mot Algérie pour se rendre compte de cette campagne de sape contre le moral des Algériens. Pas un jour ne se passe sans qu’un entrefilet ne s’escrime à dénigrer les solutions, les réalisations, ou ne s’évertue à créer un climat de sinistrose et de défaitisme.
Qu’est-ce qui justifie un tel acharnement ? que nous reproche-t-on ?
La corruption
Certes, il est vrai que le pays en a terriblement souffert et a subi des préjudices considérables.Toutefois, la plupart des prévaricateurs sont aujourd’hui jugés et placés sous les verrous. En outre, la lutte contre la corruption est désormais institutionnalisée au travers d’articles de la nouvelle constitution.
Du reste, aucun pays au monde ne peut se prévaloir d’en être exempt. Combien de scandales a-t-on révélés impliquant des personnages politiques français (Mitterrand, par exemple qu’on soupçonne même d’être le commanditaire de l’exécution de certaines personnalités, ou le neveu de Mitterrand, Chirac, Sarkozy, etc).
Jusqu’à la 1ère démocratie de la planète où, souvenez-vous, Bush junior avait fait procéder au re-comptage des voix en Floride, état dont le gouverneur n’était autre que… son cousin. Ce qui lui avait valu d’être élu.
Plus récemment, l’élection du futur président américain serait entachée de fraudes : “des morts et des migrants auraient voté” (https://www.youtube.com/Watch?v=nBcKI1SN_a0&feature=share) Cela n’est-il pas digne d’une république bananière ?
La démocratie et les droits de l’homme
Il n’a échappé à aucun être doué de raison, que ces concepts à géométrie variable sont conçus par les interventionnistes néocoloniaux comme un chantage et des armes destinées à détruire les pays qui ne se plieraient pas à leur diktat.
Or aucune entorse à ces principes ne dérangera nos amis occidentaux du moment qu’ils se soumettent à leurs exigences.
Les vassalisés pourront modifier les constitutions au gré des donneurs d’ordre et même réprimer impunément leur population sans qu’on y trouve à redire. En revanche, lorsqu’ils commencent à contester leur diktat, on les relègue au ban de la société:
– RCA : découverte de pétrole par les Chinois, qui proposent à Bozizé 55% à la RCA et 45% pour eux. Bozizé, qui accepte cette offre, est renversé, mais manque de chance Touadera continue avec les Chinois et plus tard avec les Russes => un conflit musulmans/chrétiens surgit subitement pour le punir..
– RDC : Kabila fait voter le nouveau code minier qui est en défaveur des multinationales => il est l’homme à abattre.
– Cameroun : Paul Byia fait voter le nouveau code minier en 2016 “contre le pillage des ressources” (dans le texte) => début de la crise anglophone, attaques de Boko Haram.
– Côte d’Ivoire : durant le mandat Gbagbo, c’est l’ancien code minier qui était en vigueur et qui a permis l’essor de ce secteur. Mais après la découverte de grosses réserves pétrole, ce code devait être changé (exigence de la France) et Gbagbo a refusé => coup d’État. Pourquoi ici, les contestations de la population et son rejet de Ouattara n’est-il pas même évoqué par les médias francophones alors que les manifestations algériennes en font la une quotidienne, et on y invite uniquement des anti-armée, anti-dialogue, anti-tout, ce qui a toutes les apparences d’une propagande ?
– Mali : découverte de pétrole au nord du pays en 2010, Amadou Toumani Touré est renversé (trop proche des Russes) => 2011, Daesh au nord du Mali
– Soudan : Omar Bachir octroie de gros contrats uniquement aux chinois (au détriment des USA) => conflit au Darfour, plus grande région pétrolifère du pays. Bachir ne cède toujours pas => partition du pays, le sud Soudan comprend la région du Darfour
Etc, etc, les exemples ne manquent pas pour rendre compte de l’offensive actuelle des états impérialistes pour re-coloniser l’Afrique.
Il n’y a pas si longtemps, d’innombrables médias, comme obéissant à une ligne éditoriale occulte, reprenaient à l’unisson : “Qui gouverne l’Algérie ? ”
N’y a-il pas lieu de s’étonner de cette fixation sur le pays aux 1,5 millions de chahids, quand cette question serait tout aussi légitime pour la quasi-totalité des pays de la planète, particulièrement les “grandes démocraties” occidentales ?
En France par exemple, il nous paraît bien suspicieux que toutes les lois ayant conduit à la privatisation des entreprises publiques (et donc à une perte de souveraineté) ont été votées en catimini à des heures indues et en présence d’un très petit nombre de parlementaires certainement informés pour l’occasion (Saint-Gobain, privatisation partielle de Total, France Télécom, Aéroport de Paris, les banques, etc), seul Areva échappe encore à cette vague qui a débuté dans les années 80, secteur sans doute par trop stratégique (70% de l’énergie en France est d’origine nucléaire).
On notera également (fait gravissime) la suppression des textes relatifs “à la haute trahison et à l’atteinte à la sûreté de l’état” qui figuraient dans l’article 68 de la constitution traitant des responsabilités du président de la république (suppression opérée quelques semaines avant l’élection de Sarkozy).
Que dire par ailleurs de la loi anti-casseurs donnant pleine autorité aux préfectures en matière d’autorisation des manifestations populaires, et destinée, vous l’aurez compris, à museler la contestation sociale ; ceci, dans un contexte où le mouvement des gilets jaunes bénéficiait du soutien de 80% de la population française.
Et les politiques discriminatoires et de stigmatisation des musulmans.
Que dire encore :
– des “restructurations” avec leur corollaire les licenciements,
– des entreprises qui délocalisent du jour au lendemain à l’autre bout du monde où la main d’œuvre est moins chère et plus docile, laissant sur le carreau des milliers de salariés désespérés et sans recours (les bienfaits du libéralisme et de la libre entreprise !)
– des grands groupes qui sont exonérés de taxes, ne paient quasiment pas d’impôts et font de l’évasion fiscale une profession de foi alors que le simple citoyen est écrasé de taxes et d’impôts
– etc…
Singulière interprétation de la démocratie, vous en conviendrez.
Ne serait-on pas en droit, n’est-ce pas , de s’interroger sur les véritables rouages du pouvoir ? Qui gouverne en effet la France lorsque :
– des milliers de citoyens sont laissés au bord de la route tandis que les entreprises du CAC 40 font des bénéfices astronomiques
– qu’il suffit à certains élus de n’occuper leur fonction qu’une paire d’années pour bénéficier d’une retraite confortable alors que le simple citoyen doit comptabiliser au minimum 42 années pour espérer obtenir, si tout va bien et s’il évite d’innombrables écueils, une mince retraite, de quoi à peine survivre,
– que le régime, au grand dam de l’opinion publique, fait montre d’un suivisme servile en s’alignant sur la politique agressive étasuniennes,
– etc,
De l’autre côté de l’Atlantique, Eisenhower mettait en garde, dès 1961, contre la mainmise du complexe militaro-industriel sur l’appareil de l’état et son danger pour la nation et la démocratie.
Aujourd’hui, plus d’un demi-siècle plus tard, près de 50 millions d’Américains vivent sous le seuil de pauvreté, soit plus que la population totale algérienne, avec peu ou prou d’aide de l’état ou de couverture sociale tandis que le régime :
– octroie tous les avantages aux multinationales US,
– pollue et détruit l’environnement (gaz de schiste, etc)
– dépense plus de 500 milliards de dollars en armement
– bref, encore plus pour les riches et toujours moins pour les pauvres
Nous ne nous attarderons pas ici sur les anomalies et incohérences de la version officielle du 11 septembre (ayant conduit, en toute illégalité à la destruction de plusieurs états), il nous suffira d’évoquer une loi telle le célébrissime patriot act attentant graduellement aux libertés civiles.
Dans la plus grande démocratie du monde, vous pouvez être détenu plusieurs jours sans jugement. Yes indeed, some kind of progress !
Qui gouverne en effet nos pays ? Une chose est sûre cependant : c’est au fruit que l’on reconnaît l’arbre.
Ainsi, on pourra constater que d’un côté, un état adopte une stratégie visant à :
– recouvrer la pleine souveraineté sur son appareil de production en instaurant des barrières à son contrôle par les sociétés étrangères (loi 51/49 pour les secteurs stratégiques) et en procédant à une série de nationalisations (Djezzy, El Hadjar, Sider, etc) et donc à sauvegarder les emplois entre autres
– à alléger les charges fiscales des foyers (peu ou prou d’impôts),
– loyers aménagés,
– soins, universités, éducation, cantines scolaires gratuits, etc
– désendetter l’Etat,
– subventions des produits de première nécessité sans lesquelles la plupart des Algériens ne pourraient pas même s’offrir le pain,
– prix dérisoire du carburant,
– programme de logements (sans doute l’un des plus ambitieux au monde), dont distribution d’appartements moyennant sommes symboliques pour certaines catégories sociales,
– dons de fonds nécessaires pour construire une maison à destination de citoyens disposant d’un terrain,
– consommation d’électricité et d’eau subventionnée (et qu’une large frange de la population ne paie pas)
– prêts à taux zéro (voire sans remboursement pour certains cas) consentis aux jeunes créateurs de PME (Ansej),
– etc, etc…
et de l’autre, des pays
– menant une campagne de privatisations
– se désengageant de la sphère sociale
– votant, en catimini, des lois liberticides,
– etc,
A noter par ailleurs que ces pays sont si endettés qu’ils en sont réduits à tous les mensonges et toutes les bassesses pour perpétrer, tels des gangsters, de véritables vols à main armée afin de s’accaparer les richesses de pays tiers, dont les populations n’ont pas su déceler les manipulations dont il ont été l’objet et n’ont pas su rester unies.
Vous l’aurez compris l’Algérie rechigne à rentrer dans le moule qu’on lui a assigné, et lutte pour préserver sa souveraineté, son indépendance. Elle est manifestement un modèle qu’il faut s’empresser de faire disparaître de peur qu’elle ne fasse tache d’huile car, décidément, c’est un mauvais élève du nouvel ordre mondial.
Dès le lendemain de son indépendance, elle avait affiché et affirmé son originalité en optant pour le modèle socialiste, qui nous a, il faut le reconnaître, permis de devenir, malgré de multiples entraves, LA puissance régionale.
Ce, au grand dam d’ennemis qui nous prédisaient un échec programmé et qui s’en réjouissaient à l’avance. Car, en vérité, la tâche s’avérait titanesque, voire insurmontable eu égard aux moyens dérisoires et à l’état des lieux en 1962 :
– 3 grands hôpitaux, un nombre insignifiant de médecins, dentistes, pharmaciens
– 1 université à Alger, 1 annexe à Oran et à Constantine
– un taux l’analphabétisme dépassant les 90%
– une infrastructure et une économie de type coloniale tournée vers la métropole et la minorité européenne vivant en Algérie, se traduisant par un tissu industriel très peu développé et une agriculture centrée sur des cultures destinées à l’export vers la métropole (agrumes, vins).
Boumediène, une vision inachevée
Houari Boumediène est sans doute, de tous les présidents algériens, voire africains, la figure la plus honnie. C’est sous son impulsion que l’Algérie a opéré un bon prodigieux vers le développement, notamment au travers de l’adoption du modèle économique inspiré de la théorie dite de l’industrie industrialisante. Celle-ci est fondée sur l’idée que l’intervention de l’Etat est nécessaire pour orienter la croissance dans l’intérêt de la nation et développer toute la chaîne de production de l’amont (extraction minière) à l’aval (produit fini de haute technologie), en misant en premier lieu sur les industries lourdes.
L’histoire nous apprend dans quelles conditions il a accédé au pouvoir en 1965, cependant elle ne nous en communique pas les raisons.
Il nous semble qu’au moins 2 événements ont sans doute motivé son coup d’état :
– 1963 : la loi régissant l’investissement et qui avait pour effet d’octroyer des avantages et la préférence aux investisseurs français aux dépens des nationaux.
– 1964 : la charte d’Alger qui proclamait :”La nationalisation des richesses nationales est un but à long terme.”, ce qui revenait à dire le pétrole continuera à appartenir à la France pour longtemps.
De plus, l’armée française était toujours présente à Mers el Kebir et au sahara.C’était plus qu’il n’en fallait pour un nationaliste de la trempe de Boumediène. Aussi ne tardera-t-il pas à mettre de l’odre dans la maison.
– 1967 : nationalisation des activités pétrolières ; départ des troupes françaises ; coup d’État contre Boumediène ; création de l’académie berbère de Paris à l’instigation de Jacques Bénet
– 1971 : nationalisation des hydrocarbures ; création du drapeau berbère par l’académie berbère de Paris.
– 1978 : décès de Boumediène ; dissolution de l’academie berbère de Paris
Et comme un malheur n’arrive jamais seul, peu après la mort de Boumediène, on mit un terme à la politique d’industrie industrialisante et l’Algérie entama sa lente descente aux enfers:
– 1985 : chute brutale des hydrocarbures, provoquée, à la demande des USA, par l’Arabie Saoudite, qui a inondé le marché en pétrole pour étouffer l’économie de l’URSS.(Voir le livre d’Éric Laurent “La Face Cachée du Pétrole”),
– 1986 : début des troubles sociaux dus au tarissement des recettes d’hydrocarbures,
– 1988 : émeutes ; effondrement de l’URSS, principal allié de l’Algérie ; chute du mur de Berlin ; début de la décennie noire,
– 1994 à 1997 : réformes sous pression du FMI, suite aux emprunts de l’Algérie auprès de cette institution, visant à “restructurer” (lire : privatiser) les entreprises étatiques et débouchant sur une explosion du nombre de chômeurs.
– 1999 : arrivée de Bouteflika au pouvoir ; concorde civile
– 2000 : arrêt des importations de biens produits localement. Pressions et critiques internationales
– 2001 : visite de Bouteflika en Russie. Effacement de la dette. Important contrat d’armement. Signature d’un accord de partenariat stratégique.
– 2004 : remboursement par anticipation de la dette au FMI
– 2005 : promulgation de la loi 51/49. Pressions et critiques des institutions internationales (FMI, OMC, UE) et de l’opposition.
– 2006 : remboursement de la dette aux clubs de Paris et de Londres. La dette extérieure de l’Algérie s’élevait à 33 milliards de dollars en 1996.
– 2008 : effondrement du prix des hydrocarbures
– 2010 et 2011 : tentatives d’introduction du printemps arabe en Algérie, mises en échec grâce au matelas confortable constitué par les réserves de change.
– 2014 : partenariat stratégique global signé avec la Chine (premier du genre signé avec un pays arabe) ; chute drastique du prix des hydrocarbures
– 2017 : financement non conventionnel ( recours à l’émission de monnaie nationale pour financer l’économie et les grands projets d’infrastructures, etc) plutôt qu’un emprunt au FMI. Pressions et critiques internationales et de l’opposition.
– 2019 : Hirak ; tentative de printemps arabe ;
– 2020 : pandémie mondiale de Covid-19 ; crise économique mondiale
Cependant, malgré les innombrables vicissitudes qu’a connu l’Algérie, on pourra noter un bilan relativement positif de l’action des gouvernements. On pourra ainsi citer :
– un maillage sanitaire satisfaisant sur l’ensemble du territoire national
– au moins une université dans chaque wilaya (études gratuites)
– un programme de logements inédit dans le monde
– pays le moins endetté de la région
– IDH (Indice de Développement Humain) le plus élevé d’Afrique
– un taux d’alphabétisation, d’électrification dépassant largement les 90 %. A titre de comparaison, sans faire un point de fixation sur le voisin de l’Ouest, le nombre d’étudiants au Maroc est de 900 000 et il est de 1, 6 millions en Algérie, soit près du double pour une population quasi égale.
– Sonatrach, major africaine, première entreprise, et de loin, du continent.
– etc.
A la fin des années 1970, l’Algérie disposait d’une base industrielle conséquente (résultat de la politique de l’industrie industrialisante), que seule une vaste campagne de restructuration sous la pression du FMI a fini par démanteler.
A signaler que cette situation a été le fait de la convergence de plusieurs facteurs : de la chute du prix des hydrocarbures notamment mais également de l’accroissement spectaculaire de la population (de 11 millions en 1960, la population est passée à 22 millions en 1985, soit un doublement en 25 ans, 45 millions aujourd’hui), ce qui a considérablement réduit les efforts et les marges de manœuvre des gouvernants.
De nos jours encore, l’industrie industrialisante adoptée par la jeune république essuie régulièrement les critiques sarcastiques de nombreux experts, qui occultent les réussites et se plaisent à focaliser sur les échecs, inéluctables eu égard aux ressources du pays.
En effet, les équipes chargées des plans quinquennaux accusaient un déficit cruel en compétences nationales (manque de cadres qualifiés, d’ingénieurs, etc) pour diriger et entretenir des entreprises livrés clés en main dans la majorité des cas.
Comment alors s’étonner ou s’indigner de ces échecs, somme toute prévisibles et inévitables pour une république à peine naissante, qui revenait de loin et qui devait combler des déficits abyssaux dans tous les domaines de la société.
Qu’en aurait-il été si cette politique économique avait été poursuivie jusqu’à son terme ? Il est fort probable, qu’aujourd’hui, l’Algérie figurerait parmi les 20 premières puissances mondiales, ce qui aurait été inacceptable pour nos ennemis.
Comment en effet accueillir dans ce club select, un membre fier de sa souveraineté et jaloux de son indépendance et, qui plus est, avait lutté et lutte encore contre cet ordre mondial “qui s’était constitué sans lui”, pis encore, contre lui ?
En outre l’Algérie entretient des relations amicales avec tous les états anti-impérialistes, anti-sionistes du globe (elle est un soutien inconditionnel de la cause palestinienne et saharaoui, qu’elle a constitutionnalisée) : Chine, Russie, Iran, Syrie, Cuba, Venezuela, Corée du Nord, Bolivie…ceux que l’on nomme communément l’axe de la résistance.
L’Algérie n’entend pas non plus qu’on lui dicte qui doit être son ennemi ou son ami : elle condamne et refuse de reconnaître l’entité ou de classer le Hezbollah comme organisation terroriste. On se rappellera également la sortie de Ramtane Lamamra qui qualifiait l’opposition syrienne de terroriste, aux grands cris de la diplomatie française.
Elle avait quelque temps plus tôt opposé un refus catégorique à la proposition de la France d’utiliser le territoire algérien pour établir des bases militaires, d’où partiraient ses attaques en direction de la Libye. Ce qui a provoqué l’ire de la France et quelques articles incendiaires à l’adresse de l’Algérie, arguant que cette dernière était une dictature qui en soutenait une autre.
C’est aussi cela la fierté d’être Algérien.
4 comments
Un pur régal merci Miloud
Je ne saurai ne pas être fier d’être algérien
Excellent article !
L’Algérie pays singulier qui ne rentre et ne rentrera dans aucun moule.
C’est un pays rebelle dans le sens noble du mot. Symbole de résistance dans le passé et symbole d’Espoir pour les peuples Africains d’aujourd’hui !
Bien dit Blanche… Wallah notre pays est unique
ON EST PAS N’IMPORTE QUI, ON EST LES ALGERIENS !
ET J ‘EN SUIS FIER !